Frederic
I
er
d'Aragon
, ne le
a
Naples
(
Naples
)
[
1
]
, mort le
a
Montils-lez-Tours
(
Touraine
), prince de Tarente et d'Altamura,
duc d'Andria
par son deuxieme mariage, puis
roi de Naples
(
1496
-
1501
)
[
2
]
, fils de
Ferdinand
I
er
, roi de Naples, et d'
Isabel de Chiaramonte
. Il est le dernier des rois de la
Maison de Trastamare
de la dynastie d'Aragon-Naples, qui avait ete fondee par son grand-pere
Alphonse le Magnanime
au benefice de son fils illegitime
Ferrante d'Aragon
(≪ le Roi Ferrant ≫ pour les chroniqueurs francais).
Parvenu au trone apres le deces de son frere aine
Alphonse II de Naples
et de son neveu
Ferdinand II de Naples
, il dut, comme eux, faire face aux tentatives du roi
Louis XII de France
pour recuperer le Royaume de Naples dont il se considerait le legitime possesseur en tant qu'heritier de son predecesseur
Charles VIII
(cf. l'expedition francaise de 1494-95), lui-meme heritier de la
Seconde dynastie d'Anjou
, et plus particulierement de
Rene d'Anjou
et de
Charles V d'Anjou
,
comte du Maine
.
Attaque, en 1501, par
Louis XII
et ses allies, le Pape
Alexandre VI
et son fils
Cesar Borgia
, trahi par
Ferdinand II
le Catholique
qui feignait d'etre son allie, Federico choisit de traiter avec le
Roi de France
, et echange avec celui-ci ses droits sur le
Royaume de Naples
contre les revenus du
Comte du Maine
[
1
]
.
Il est baptise le
au
Castel Capuano
et son parrain n'est autre que l'empereur
Frederic III
qui rendait alors a Alphonse le Magnanime une visite diplomatique
[
1
]
.
Son pere accede au trone de Naples, a la mort d'
Alphonse le Magnanime
, le
et donne a ses fils les meilleurs maitres : Andrea da Castelforte,
Giovanni Elisio Calenzio
, Baldassare Offeriano et Girolamo Forti
[
3
]
.
Naples au
XV
e
siecle. La
Tavola Strozzi
represente probablement l'entree triomphale de la flotte de Ferdinand
I
er
apres la bataille d'Ischia en 1465.
En 1464, il recoit de son pere, alors qu'il reside a
Tarente
, l'ordre d'organiser l'escorte qui doit conduire de
Milan
a
Naples
,
Ippolita Maria Sforza
, fille ainee de
Francesco Sforza
,
Duc de Milan
que l'on vient de fiancer a son frere aine
Alphonse
, alors Duc de Calabre. Il quitte Naples, le
avec une suite de 320 cavaliers et apprend, alors qu'il est en route, le
, le deces de sa mere. Il est recu a
Rome
, le
par le Pape
Paul II
qui lui remet la traditionnelle rose d'or. Il gagne ensuite
Sienne
, puis
Florence
ou il est recu, le
par
Laurent le Magnifique
. Il gagne ensuite Milan, ou il parvient le
, en passant par
Bologne
. Il quitte Milan le
avec une suite doublee par celle de la fiancee afin de regagner Naples par le meme chemin qu'il avait emprunte a l'aller. Le voyage est interrompu par Francesco Sforza, qui menace de rompre la promesse de noces, a Sienne ou la suite s'arrete jusqu'a ce que la situation diplomatique se debloque. Il est de retour a Naples, le
[
1
]
.
De 1464 a 1473, il exerce les fonctions de lieutenant du roi de Naples dans
les Pouilles
: en
Capitanata
, en
Terre de Bari
et en
Terre d'Otrante
. Son role n'y a rien d'honorifique : il y recoit les
hommages liges
, supervise la perception des impots et veille a l'application des accords commerciaux avec la
Republique de Venise
[
1
]
. Il participe aussi a l'activite diplomatique intense que son pere mene, notamment en recevant les puissants seigneurs dont le roi de Naples desire acquerir l'alliance ou la bienveillance. Il accueille ainsi, en mars
1472
, a
Aversa
puis a Naples,
Jean della Rovere
,
prefet de Rome
, seigneur de
Senigallia
et neveu du Pape
Sixte IV
(Francois della Rovere), et le
, a Naples,
Charles Manfredi
, seigneur de
Faenza
[
1
]
.
Des le mois d'avril 1470, son pere se propose de le marier avec
Marie de Bourgogne
, fille et unique heritiere de
Charles le Temeraire
, et cette esperance semble prendre corps en novembre 1471, apres la signature d'une alliance entre le Duc de Bourgogne et le Roi de Naples
[
4
]
.
Tenter de marier Marie de Bourgogne, l'une des plus riches heritieres de son temps, avec l'un de leurs rejetons constitue un objectif pour de nombreux princes europeens :
Ferdinand le Catholique
,
Nicolas de Lorraine
,
Philibert de Savoie
,
Georges Plantagenet
et
Charles de Guyenne
, ont fait partie des pretendants plus ou moins agrees au fil des projets changeants de Charles le Temeraire.
Louis XI
lui-meme a exprime son interet pour une candidature d'un prince d'Aragon-Naples avec lequel il pourrait echanger les pretentions des Anjou contre des territoires bourguignons des qu'il heritera du
Comte du Maine
[
5
]
.
En fevrier 1472, le roi Ferdinand recoit a Naples, en grande pompe, dans l'objectif de servir ce projet, une delegation bourguignonne qui insiste sur le fait que Charles le Temeraire, pour sa part, n'a pas arrete son choix.
Eleonore de Naples
, la sœur de Frederic se dit confiante dans l'idee que le duc de Bourgogne appellera son frere a le rejoindre avant
Paques
. Mais ces espoirs sont douches pendant l'ete lorsqu'on apprend, a la cour de Naples, les fiancailles de Marie de Bourgogne avec
Nicolas de Lorraine-Anjou
, petit-fils du
roi Rene
, qui se parait des titres de
Duc de Lorraine
,
Marquis de Pont-a-Mousson
,
Duc de Calabre
et
Prince de Gerone
, et qui pretendait heriter non seulement de la
Lorraine
et du
Duche de Bar
mais des Royaumes de Naples et d'Aragon
[
4
]
(heritage angevin de
Louis II
et
Yolande d'Aragon
), fiancailles qui resultent de l'alliance passee entre les ducs de Bourgogne et de Lorraine, alliance que Charles le Temeraire paraphe a
Arras
le
et que Nicolas de Lorraine signe a son tour, le
. Marie de Bourgogne donne son consentement a la promesse de mariage le
et Nicolas lui transmet la sienne, datee de
Mons
-en-
Hainaut
, le meme jour
[
6
]
.
En octobre 1472, une nouvelle ambassade bourguignonne sejourne a Naples qui rassure le roi Ferdinand a propos de l'impact des fiancailles de Marie de Bourgogne sur les relations entre Charles le Temeraire et le roi de Naples. En partant, elle laisse sur place deux jeunes gens qui sont charges d'aider Frederic a ameliorer son
francais
. Charles le Temeraire utilisait l'eventuel mariage de sa fille comme un instrument de sa diplomatie
[
4
]
.
Les fiancailles de Marie de Bourgogne et de Nicolas de Lorraine durent d'ailleurs peu. Le
, au camp de Charles le Temeraire a
Beaurevoir
, Nicolas renonce a la promesse de mariage sans prejudice de l'alliance entre les deux ducs. Marie de Bourgogne y renonce le
[
6
]
, et de toute facon Nicolas meurt subitement des 1473.
L'annee 1473 se passe en recriminations, de part et d'autre, sur le fait que l'allie ne respecte pas ses engagements et quand le bruit se repand que Charles le Temeraire envisage de marier sa fille avec
Maximilien
I
er
de Habsbourg
, le fils de l'empereur
Frederic III
, le roi Ferdinand explore la possibilite d'une union entre Frederic et
Jeanne d'Aragon
, fille de
Jean II d'Aragon
, que le roi de Naples finit par choisir d'epouser lui-meme
[
4
]
. On evoque aussi la possibilite d'un mariage avec une fille de Luca
Sanseverino
, prince de
Bisignano
, avant de revenir a l'hypothese des noces bourguignonnes
[
1
]
.
Le roi Ferdinand decide, afin de favoriser la possibilite d'un mariage avec la fille de Charles le Temeraire, d'envoyer son fils aupres de celui-ci, et de saisir n'importe quelle occasion qui obligera le duc de Bourgogne a accepter de le recevoir. Le
, au
Castel Nuovo
de Naples, il donne l'ordre de depart et delegue a son fils les pouvoirs qui lui permettront de negocier son mariage
[
5
]
. Le
, depuis
Foggia
, Ferdinand donne a Francesco Bertini, eveque de
Capaccio
, son ambassadeur a la cour de bourgogne, les pleins pouvoirs afin de conclure la negociation
[
5
]
.Le
,
Alphonse
,
duc de Calabre
, depuis
Cassano
, confirme les pouvoirs conferes par son pere a son frere et a l'eveque de Capaccio
[
5
]
.
Portrait de
Marie de Bourgogne
vers 1500 par
Michael Pacher
.
Frederic quitte Naples le
, accompagne d'une suite princiere et multiplie les visites courtoisie en dans la peninsule italienne, en attendant que l'occasion de se rendre a
Dijon
se presente. Il est recu a Rome et a
Urbino
, puis a
Ferrare
chez son beau-frere
Hercule d'Este
. Le
, il est accueilli, accompagne par 400 personnes de sa suite, par le
doge de Venise
Pietro Mocenigo
, dans le cadre d'une splendide reception, a l'occasion de laquelle la Serenissime Republique l'accueille a bord du
Bucentaure
.
L'occasion de rejoindre la cour de Charles Le Temeraire lui est fournie par la signature d'un accord militaire entre celui-ci et
Galeas Marie Sforza
, le
. Au debut de fevrier 1475, Il quitte Milan pour
Turin
ou
Yolande de France
[
7
]
, qui est a l'origine de l'alliance entre les ducs de Bourgogne et de Milan, lui confie la conduite d'un contingent d'hommes d'armes et d'arbaletriers. Il parvient a
Besancon
a la fin du mois de fevrier, alors que Charles le Temeraire assiege
Neuss
.
L'equipee possede des aspects rocambolesques, mais elle s'inscrit avant tout dans la complexite de la diplomatie et des methodes de communication de l'epoque. Le periple italien sert a propager la nouvelle parmi les cours italiennes, et
Guy de Brimeu
, conseiller du duc de Bourgogne s'etonne que l'on ait fait circuler la nouvelle du mariage parmi les cours italiennes
[
1
]
. Ferdinand savait que les projets de mariage etait des questions fluctuantes et soumises aux aleas politiques, et que ceci etait plus vrai encore qu'ailleurs a la Cour de Bourgogne. Aussi confiait-il a son fils deux autres missions : la premiere consistait a remettre a Charles le Temeraire le collier de l'
Ordre de l'Hermine
qu'il avait fonde et dans lequel il avait admis le duc de Bourgogne pour lui rendre l'honneur qu'il lui avait fait de l'accueillir au sein des
Chevaliers de l'ordre de la Toison d'Or
[
4
]
, la seconde consistait a supplanter, dans l'entourage de Charles, Nicola Pietravalle di Monforte,
Comte de Campobasso
[
4
]
, un ancien vassal de Ferdinand qui avait servi
Rene d'Anjou
et lie son destin a celui de
Jean de Calabre
pere du duc
Nicolas de Lorraine
, recruteur de mercenaires en
Piemont
, en
Lombardie
et en
Emilie
pour qu'ils servent dans les armees bourguignonnes, et dont Charles le Temeraire vient de faire l'un de ses chambellans
[
8
]
.
Tandis que Frederic d'Aragon parvient a la cour de Bourgogne,
Antoine de Bourgogne
, le demi-frere de Charles le Temeraire, se met en route pour Naples accompagne de son fils
Philippe
, de Francois d'Este, un fils illegitime de
Lionel d'Este
et de
Guillaume de Rochefort
, et d'une centaine de personnes afin de remettre au roi Ferdinand le collier de
l'Ordre de la Toison d'or
dans lequel il a ete admis, au Chapitre de
Valenciennes
, en 1473, a la demande insistante de Charles le Temeraire
[
9
]
. Parti de
Malines
aux environs du
, Antoine de Bourgogne sejourne a
Moncalieri
du
au
chez la duchesse Yolande. Il rencontre peut-etre a cette occasion Frederic d'Aragon qui se rend a
Chambery
[
10
]
.
Antoine de Bourgogne est somptueusement recu a la cour milanaise du
au
, puis reprend la route de Naples ou il est accueilli par le duc de Calabre
Alphonse
, le
. Le
, le roi Ferdinand annonce qu'il a ete investi dans l'
Ordre de la Toison d'or
et qu'il a prete serment d'en respecter les statuts. Le sejour de l'ambassade bourguignonne est l'occasion de grandes festivites et notamment de joutes
[
9
]
.
Mais finalement, ce sera
Maximilien de Habsbourg
qui epousera
Marie de Bourgogne
en 1477, annee de la mort ignominieuse du Temeraire vaincu par
Rene II de Lorraine
, cousin germain de Nicolas et petit-cousin de Louis XI.
Quant a Frederic, le
, il epouse a
Milan
,
Anne de Savoie
, fille du
duc de Savoie
Amedee IX
et de
Yolande de France
. Il reside alors avec sa jeune epouse a la cour de son oncle maternel, le roi
Louis XI de France
. Apres le deces de son epouse, en 1480, il rentre a Naples.
Frederic recut en 1485, le titre de Prince de
Squillace
, et fut employe par son pere dans plusieurs missions diplomatiques.
En 1496, il succede a son neveu
Ferdinand II
qui avait du combattre les pretentions du roi
Charles VIII de France
, fils de Louis XI, sur son royaume.
Il recoit solennellement la couronne royale le 26 juin 1497.
Louis XII
, le successeur de Charles VIII, reprit ces pretentions a son compte et entreprit la conquete du royaume a partir de
1499
et s'en rendit maitre en
1501
. Frederic dut faire appel a son cousin
Ferdinand II
le Catholique
,
roi d'Aragon
pour repousser les Francais, mais ce dernier, apres avoir vaincu Louis XII, conserva le royaume pour lui. Depouille de ses Etats, Frederic est condamne a implorer la generosite du roi de France, qui lui avait constitue une rente de trente mille livres sur le
duche d'Anjou
.
Un traite secret est signe a
Grenade
, le
, entre les representants de
Louis XII
, et ceux de
Ferdinand le Catholique
et d'
Isabelle la Catholique
dans lequel les souverains francais et aragonais s'engagent a attaquer simultanement le Royaume de Naples et de le partager entre eux des qu'il sera conquis. Louis XII recevra Naples, la
Terre de Labour
et les
Abruzzes
et les titres de
Roi de Jerusalem
et de Roi de Naples. La part de Ferdinand comprendra les
Pouilles
et la
Calabre
avec les titres de Duc qui leur sont attaches. Chacun des deux souverains s'engageait a solliciter l'investiture du Pape qui etait theoriquement le suzerain de ces territoires
[
11
]
.
Ferdinand le Catholique arma a
Malaga
une flotte de 50 vaisseaux qui portait 1 200 chevaux et 8 000 fantassins, placee sous le commandement de
Gonzalve de Cordoue
qu'il envoya soutenir les Venitiens dans leurs combats contre les Turcs et qui revint mouiller pour l'hiver 1500-1501 en
Sicile
[
12
]
..
A la faveur du roi
Louis XI de France
, Frederic avait epouse en
1478
[
13
]
Anne de Savoie
(1455 † 1480), fille d'
Amedee IX
duc de Savoie
et de
Yolande de France
.
- Charlotte d'Aragon
(1480 † 1506), fille ainee, mariee en
1500
a
Guy XVI de Laval
,
comte de Laval
(†
1531
). Etant donne que Charlotte descendait du roi
Charles VII de France
par sa grand-mere
Yolande de France
, apres le trepas d'Anne de Savoie, le roi
Louis XI
, frere de feu Yolande de France, assigna en aout 1480, les
12 000
livres tournois de rente, constituee a Anne de Savoie auparavant, au profit de Charlotte sur les seigneuries de
Villefranche-de-Rouergue
, Villeneuve, Peyrusse et autres lieux, par
lettres patentes
de la Motte-d'Egry
[
14
]
, puis du Plessis-du-Parc-lez-Tours en janvier 1483
[
15
]
. Vraisemblablement en raison de cette rente, elle dut quitter l'Aragon, apres le deuxieme mariage de son pere.
Puis, en deuxiemes noces en
1486
avec
Isabelle des Baux d'Andria
(Isabella del Balzo) (1465 † 1533), d'ou :
Ascendance de Frederic I
er
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Petit Larousse
sub
Frederic
I
er
(Sicile peninsulaire)
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Teramo
, et mort en 1489, est surtout connu pour un poeme epique intitule
L'innamorimento di Renaldo di Monte Albano
(Renauld de Montauban Amoureux) qu'il traduisit probablement d'un roman en francais vers le Toscan (Manuel du Libraire et de l'Amateur de livres, Jacques-Charles Brunet, Tome 4, page 91, Sylvestre, Paris, 1843
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dicendo aveva auto aviso che don Federico passava per Chiamberi e non per qui, e lui lo andaria a trovarlo, dove non staria che una nocte, et un giorno con Madama
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≪ disant qu'on lui avait fait savoir que Don Frederic passait par Chambery et non par ici, qu'il irait le voir la ou il ne restera qu'un jour et une nuit avec Madame [de Savoie] ≫
). Giovanni Pietro Panigarola, Geneve
in Fonti per la storia d'Italia. Carteggi Milano (Ducato) - Relazioni con il Ducato di Borgogna - Fonti - 1453-1475, publies par Ernesto Sestan, Istituto storico italiano per l'eta moderna e contemporanea, Roma, 1985, page 411.
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Le contrat de mariage fut signe le
1
er
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12 000
livres tournois de rente, hypothequee sur les comtes de Roussillon et de Cerdagne a charge d'hommage. Cependant, les celebrations auraient ete effectuees plus tard a
Montrichard
, car, selon deux lettres de Louis XI expediees du
Plessis-du-Parc-lez-Tours
les 22 et 24 mars (il etait en Oise en mars 1478), Anne de Savoie y etait afin de passer Paques avec la reine
Charlotte de Savoie
en 1479 ou 1480. (Joseph Vaesen et Etienne Charavay,
Lettres de Louis XI
, tome VIII,
p.
163, note
n
o
2, et
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167-168
, Librairie Renouard, Paris 1903)
- ↑
https://www.books.google.fr/books?id=j3kUAQAAMAAJ&pg=PA569
Ordonnance de Louis XI, aout 1480
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Archives nationales, J 893,
n
o
1, apres Joseph Vaesen et Etienne Charavay,
Lettres de Louis XI
, tome VIII,
p.
163, note
n
o
2, Librairie Renouard, Paris 1903
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