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Suisse allemand

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Suisse allemand
Pays Liechtenstein , Suisse
Nombre de locuteurs 4 640 000 (2012) [ 1 ]
Classification par famille
Codes de langue
IETF gsw-CH
ISO 639-2 gsw
ISO 639-3 gsw  ( alemanique ) [ 2 ]
Glottolog swis1247

Le suisse allemand ( Schwi(i)zerdu(u)tsch, Schwy(y)zerdutsch , Schweizerdeutsch ) designe l'ensemble des dialectes alemaniques parles en Suisse . Generalement, le terme comprend aussi les dialectes du Liechtenstein . Les dialectes suisses allemands sont etroitement apparentes a l' alsacien (plus particulierement du Sundgau , et a l'exception des regions de Wissembourg et de Sarre-Union , de dialecte francique ), aux dialectes de la region sud-ouest de l' Allemagne (notamment Fribourg-en-Brisgau ), aux dialectes du Vorarlberg autrichien et a ceux des villages Walser des Alpes italiennes .

Variation et distribution [ modifier | modifier le code ]

L'aire de diffusion traditionnelle des signes dialectaux d'allemand superieur occidental (alemanique) aux XIX e et XX e  siecles.

Les dialectes suisses allemands presentent entre eux des differences phonologiques , lexicales et syntaxiques marquees. Le fort cloisonnement topographique de la Suisse et la mobilite relativement limitee de la population jusqu'au debut du XX e  siecle ont favorise la differenciation dialectale. Toutefois, l' intercomprehension entre locuteurs de dialectes alemaniques differents est le plus souvent possible, a l'exception de varietes peripheriques particulierement archaiques comme le dialecte haut-valaisan ( Wallisertitsch ). En revanche, les dialectes suisses allemands sont difficilement comprehensibles par la plupart des germanophones d' Allemagne ou d' Autriche  ; quand on maitrise une variation de l'alemanique parlee dans ces deux pays-la, il est neanmoins possible de comprendre plus ou moins un Suisse du nord, tandis que les dialectes du sud sont plus differents et leur comprehension demande de l'exercice. En meme temps, un Suisse maitrisant le suisse allemand comprend normalement plus ou moins les dialectes alemaniques des autres pays.

Les dialectes suisses allemands se divisent, du nord au sud, en trois groupes : bas alemanique, haut alemanique et alemanique superieur [ 3 ] .

Bas alemanique [ modifier | modifier le code ]

En Suisse, ce groupe est represente par le dialecte traditionnel de la ville de Bale ( Baslerdytsch ), bien que cette variante soit supplantee presque totalement par un dialecte plus contemporain ( Baslerdutsch ) ayant subi une forte influence du haut alemanique. En dehors des frontieres helvetiques, les dialectes alsaciens , en France, et la plupart des dialectes de l'ancien Pays de Bade , en Allemagne, en font egalement partie. Tous ces dialectes se caracterisent notamment par le maintien du /k/ initial (par exemple dans Kind , ≪ enfant ≫), devenu /kx/ puis /x/ (ecrit ch , Chind ) en haut alemanique et en alemanique superieur [ 4 ] , ou la seconde mutation consonantique a ete plus poussee.

Haut alemanique [ modifier | modifier le code ]

Ce groupe comprend la majorite des dialectes parles sur le Plateau suisse , ainsi que ceux de la principaute de Liechtenstein ( liechtensteinois ). Les dialectes du land autrichien du Vorarlberg , ceux de l'extreme sud de l'ancien Pays de Bade et celui sud-alsacien du Sundgau en font aussi partie. Le groupe se subdivise en dialectes orientaux ( zurichois , saint-gallois et appenzellois notamment) et occidentaux ( bernois notamment).

Alemanique superieur [ modifier | modifier le code ]

Les dialectes valaisans ( Wallisertitsch ), singinois ( Seyslerdutsch , canton de Fribourg ), ceux de l' Oberland bernois et d'une partie de la Suisse centrale ( canton d'Uri et d' Unterwald , notamment), ainsi que ceux des villages fondes par les Walser au Moyen Age dans les Alpes italiennes, tessinoises ( Bosco/Gurin ) et grisonnes ont conserve de nombreux traits archaiques.

Usage [ modifier | modifier le code ]

Contrairement a la plupart des dialectes d'Europe, les dialectes suisses allemands sont, aujourd'hui encore, parles par toutes les couches de la population, aussi bien dans les campagnes que dans les grands centres urbains, et dans tous les contextes de la vie quotidienne. L'usage du dialecte n'est jamais percu comme un signe d'inferiorite sociale ou de formation scolaire insuffisante.

L'emploi de l' allemand standard ( Hochdeutsch ) se cantonne pour l'essentiel a la communication ecrite, qu'elle soit formelle (journaux, livres) ou informelle (correspondance privee). C'est pourquoi cette langue est generalement appelee Schriftdeutsch (≪ allemand ecrit ≫) en Suisse alemanique. Cependant, surtout les plus jeunes utilisent aussi le dialecte dans des situations privees, comme des SMS, des e-mails, des cartes postales etc. Pourtant, il n'y a pas de langue standard ni d'orthographe standardisee. Un certain nombre de mots dialectaux sont en outre admis dans la langue ecrite au titre d' helvetismes .

Une telle situation est qualifiee de diglossie ≪ codique ≫ ou ≪ mediale ≫, le dialecte etant la langue parlee, l'allemand standard la langue ecrite. On observe le meme phenomene par exemple dans les pays arabes, ou on parle le dialecte national a l'oral, mais on a recours a l' arabe litteral a l'ecrit.

A l'oral, l'allemand standard se limite a certaines situations a caractere formel, par exemple dans les discours, a l'ecole, dans les parlements multilingues ( Assemblee federale ou parlements de cantons bilingues), dans les principaux magazines d'information radiotelevises (mais le dialecte predomine largement dans les autres emissions), ou en presence d'etrangers s'exprimant en allemand standard.

Intercomprehension linguistique [ modifier | modifier le code ]

La plupart des dialectes suisse allemands sont souvent difficilement comprehensibles de prime abord par un locuteur germanophone d'Allemagne ou d'Autriche non limitrophe. La meme difficulte de comprehension immediate se pose pour les personnes ayant suivi une scolarite en Suisse romande ou italienne et appris l'allemand standard ( Hochdeutsch ) [ 5 ] . Cependant, la comprehension passive est frequente dans les zones de contact interlinguistiques ( Jura bernois , Seeland , Singine , Valais ).

Un Suisse alemanique ayant une connaissance scolaire du francais n'aura pas trop de mal a suivre une conversation informelle entre Romands et a y participer ; l'inverse est bien plus difficile. En regle generale, en presence d'un Romand, les Suisses alemaniques pratiqueront soit le Hochdeutsch , soit le francais ou l'anglais. [ref. necessaire]

Les italophones sont proportionnellement plus ouverts aux dialectes alemaniques [ref. necessaire] [pas clair] , du fait que ceux-ci sont omnipresents au Tessin et qu'eux-memes, s'ils ont fait des etudes, les ont souvent effectuees en Suisse alemanique [ref. necessaire] .

Depuis de nombreuses annees, de grands efforts sont fournis de part et d'autre afin de combler tout possible fosse de comprehension : a la television et radio les nouvelles sont donnees en allemand standard, et bien des politiciens alemaniques se donnent la peine de participer a des emissions romandes.

D’ailleurs, selon Nicole Egger, ≪ La mobilite croissante au cours des dernieres annees renforce un phenomene de melange et conduit a l'emergence d'un Dialakt’gmisch , un melange et affaiblissement des particularites des differents dialectes ≫ [ 6 ] .

Histoire [ modifier | modifier le code ]

Ce sont les Alamans qui ont commence a introduire la langue germanique a partir de la fin de l' Antiquite . Cette langue s'est peu a peu transformee pour arriver au suisse allemand.

Caracteristiques linguistiques [ modifier | modifier le code ]

Prononciation [ modifier | modifier le code ]

Etant donne que l'allemand standard est enseigne comme langue ecrite dans les ecoles en Suisse alemanique , le suisse-allemand se retranscrit generalement sur la base de l'alphabet allemand. Il n'existe aucune standardisation orthographique pour le suisse-allemand [ 7 ]  ; chacun transcrit son propre dialecte a sa maniere. Il existe neanmoins certaines conventions. Les principales differences par rapport a la prononciation de l'allemand standard sont les suivantes :

Voyelles [ modifier | modifier le code ]

  • a = / ? / (entre a et o , comme le a du francais quebecois)
  • a = / æ /  ; / ? / (entre a et e  ; e )
  • y ou ii = /iː/ ( i long)
  • ie  : prononce separement = /j?/ (fr. ye , contrairement a l’allemand standard ou ie est prononce comme un i long)
  • ue ?; ua  : prononce separement = /w?/ (fr. we )?; /wæ/
  • ue ?; ua  : prononce separement = /??/ (fr. ue ) ?; /?æ/

Consonnes [ modifier | modifier le code ]

  • ch = / χ / (comme le j espagnol )
  • chs ?: ch + s = /χs/ (non pas ks comme en allemand)
  • k ?: generalement k + ch = /kχ/ (le k a suivi l’evolution phonetique / k / > /kχ/ > / χ / . Neanmoins on trouve toujours les trois prononciations.)
  • Les occlusives sonores b , d , g sont souvent assourdies en p , t , k .
  • g = / ? / ou / k / , mais jamais / c / comme en allemand.
  • gg = k (non aspire , pas comme en allemand)
  • r ?: roule dans la majorite des regions ( / r / ), prononce comme en francais entre autres a Bale et St-Gall ( / ? / ). Dans tous les cas, le r se prononce clairement comme une consonne, jamais comme le a en fin de syllabe en allemand.
  • s = toujours / s / , jamais / z / .

La lettre eszett (? ß ?) n'est pas utilisee, meme en Schriftdeutsch (elle est remplacee par ? ss ?) [ 8 ] .

Les mots qui se terminent en -en en allemand standard perdent generalement le -n  ; dans certaines regions (plutot alpines), des -n finaux peuvent disparaitre meme apres des consonnes (par exemple moore au lieu de morn = ≪ demain ≫, vore au lieu de vorne = ≪ devant ≫, ou gaare au lieu de garn = ≪ volontiers ≫). Par contre, ce n peut reapparaitre comme consonne de liaison quand deux voyelles se rencontrent a la frontiere de deux mots.

Grammaire [ modifier | modifier le code ]

La langue parlee suisse allemande suit des regles grammaticales qui varient d'un dialecte a l'autre et ne sont pas codifiees. Il existe des grammaires descriptives ainsi que des dictionnaires , au moins pour les variantes principales tels que le zurichois, le bernois, le balois et le lucernois.

Par rapport a celle de l'allemand standard, la grammaire du suisse-allemand se caracterise par une certaine simplification morphologique et syntaxique, ce qui a par contre entraine un ordre des mots plus strict.

Conjugaison [ modifier | modifier le code ]

Le suisse allemand a quatre temps (futur, present, passe compose et passe surcompose ). Pourtant, le futur constitue un emprunt de l' allemand standard et il n'est utilise que rarement dans le discours. Il est generalement remplace soit par la combinaison du present avec la particule da(nn) , soit par une periphrase a l'instar du francais ≪ je vais faire ≫ / ich gang ga mache . Le passe surcompose reprend les fonctions syntactiques d'un plus-que-parfait , mais il est generalement evite dans des situations ou sa formation est ressentie comme trop lourde. Le preterit de l' allemand standard est toujours remplace par le passe compose.

  • Ich wird gah = J'irai
  • Ich gang go/goge [+ infinitif] = Je vais [aller] (futur proche)
  • Ich gange = Je vais
  • Ich bi ggange = Je suis alle
  • Ich bi ggange gsi = J'ai ete alle

Au sujet de la morphologie verbale, on peut mentionner une grande richesse des formes du subjonctif et du conditionnel  ; ces formes ne sont souvent pas derivees de leurs pendants en allemand standard.

Les desinences personnelles suivent le schema suivant ; surtout au pluriel, il y a des differences entre la Suisse orientale (le zurichois) et la Suisse occidentale (le bernois) :

Berne Zurich
i mache i(ch) mache
du machsch du machsch
ar macht er macht
mir mache mir mached
di(h)r machet ir mached
si mache si mached

Dans les Grisons , la terminaison unique pour le pluriel est -nt au lieu de -d , dans certaines regions (surtout en Valais), le pronom personnel de la premiere personne du pluriel est wir comme en allemand standard, contrairement a la plupart des dialectes suisse-allemands ou on dit mir . La forme de politesse etait traditionnellement ? comme en francais ? la deuxieme personne du pluriel, mais dans la plupart des dialectes, cette forme a cede la place depuis longtemps au Sie de l'allemand standard. Dans certaines regions, les deux variantes coexistent, et en bernois, la deuxieme personne du pluriel est encore aujourd'hui la seule forme de politesse possible.

Le participe passe se forme avec le prefixe g- correspondant au ge- de l'allemand, mais en realite prononce comme un k francais. La voyelle -e- du prefixe a disparu partout en Suisse alemanique, sauf en Haut-Valais.

La flexion nominale [ref. necessaire] n'a conserve que tres peu de la complexite [ref. necessaire] de l'allemand standard. En general, les substantifs ne se declinent pas. Toutefois, les adjectifs en position d' epithete ont conserve quelques traces flexionnelles (la seule forme differente du nominatif est le datif ). Les pronoms personnels independants se declinent dans trois cas (nominatif, datif, accusatif ), le genitif etant toujours remplace par von + datif. Il est interessant de noter qu'en bernois il n'y a que deux cas : le nominatif et le datif.

Comme en allemand standard, l'adjectif en position d'attribut n'est generalement pas accorde avec le substantif auquel il se refere. Il peut cependant etre substantive, le cas echeant il s'accorde aussi. On dit par exemple plus aisement De Sepp isch e Gschyde au lieu de De Sepp isch gschyd (≪ Joseph est un intelligent ≫ plutot que ≪ Joseph est intelligent ≫). Dans certains dialectes peripheriques (Haut-Valais, parties des Grisons), l'adjectif attribut est toujours accorde avec le substantif, comme en francais.

Un chapitre relativement difficile pour qui apprend le suisse-allemand est celui des pronoms personnels atones ? qui se deduisent certes facilement de leurs pendants en allemand standard, mais qui sont souvent suffixes, voire incorpores aux verbes. Pour ≪ Est-ce qu'il le lui a dit ? ≫, un Suisse-allemand dira Hatterems gseit? (avec l'accent sur la premiere syllabe, et les e a peine prononces). On peut deduire cette forme de l'allemand standard, grammaticalement faux : Hat er ihm es gesagt?  ; pourtant, ce complexe verbal suisse-allemand est prononce comme un seul mot et on ne saurait comment ecrire ses elements separement.

Les principales differences syntaxiques du suisse-allemand par rapport a l'allemand standard sont :

  • les possibilites reduites a former des subordonnees (causees par l'existence d'un seul pronom relatif invariable wo (= qui/que) qui remplace les pronoms flexionnels allemands der/die/das ou welcher/welche/welches ).
  • differentes regles par rapport a l'ordre des mots (par exemple Ich hanem wele ga halfe au lieu de Ich wollte ihm helfen gehen = ≪ Je voulais aller l'aider ≫).

Les regles de l'allemand standard qui decident dans quels cas le verbe se place a la fin sont en gros les memes en suisse-allemand.

Vocabulaire et locutions [ modifier | modifier le code ]

  • Gruezi [ 9 ] = Bonjour
    • Gruezi mitenand! (Gruezi zsame!) = bonjour tout le monde !
    • Gruezi wool! = bien le bonjour !
  • Uf Wiederluaga [ 10 ] = Au revoir
  • aaluaga [ 11 ] = regarder
  • ranne [ 12 ] = courir
  • Rooschtigraabe = Rostigraben , la barriere de rosti (qui est la frontiere culturelle entre la Suisse allemande et la Suisse romande )
  • Grabe = fosse
  • verussa = dehors
  • chorbla = vomir (degueuler, familier)
  • galed Si? (vouvoiement) gall? (tutoiement) = N'est-ce pas?
  • gletta = repasser
  • Donschtig = jeudi
  • wuescht = moche
  • Schnauz = moustache
  • aa! wie gruusig! = Beurk!
  • Ruebli = carotte
  • Gwand = costume
  • schpinna = devenir fou
  • iischlaafe = s'endormir
  • biigawiis = un tas de...
  • Finka = pantoufle
  • Schtacka = baton
  • gumpa = sauter
  • huere/huere = tres (le e final est prononce). Est, litteralement, une denomination relativement vulgaire pour une prostituee et correspond au francais ≪ un putain de ≫, par exemple ≪ une putain de montagne ≫ pour ≪ une tres grande montagne ≫. Peut s'apparenter au ≪ vachement ≫ francophone.
  • schuttla = secouer
  • trakig = sale
  • graaduus = tout droit (direction)
  • vuure = de l'avant, en avant, equivalent de nach vorne
  • Reebock = chevreuil (masculin)
  • Reegaiss = chevreuil (femelle)
  • Luuti = sonnette
  • Luut = gens
  • Tropf = goutte
  • Buech = livre
  • Schatzli = petit tresor
  • Chami = Cheminee
  • Chlotz = Buche
  • Er hat Chlotz = Il a du pognon
  • Lueg emol! = Regarde-voir !
  • Sag emol! = Dis donc !
  • mol aaluega = voyons voir !

Exemples [ modifier | modifier le code ]

Voici la prononciation de quelques mots suisses allemands de Zurich.

Mot Traduction en allemand Prononciation en zurichois
terre Erde (~erde)
ciel Himmel (~himl [on dit le ≪ h ≫])
eau Wasser (~wasser)
feu Feuer (~fuur)
homme Mann (~maa)
femme Frau (~fraou)
manger essen (~esse)
boire trinken (~trinke)
grand gross (~grooss)
petit klein (~chli [en utilisant le Ach-Laut ])
nuit Nacht (~nacht [en utilisant le Ach-Laut ])
jour Tag (~tag)

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

  1. Ethnologue [gsw] .
  2. Code partage avec l' alsacien .
  3. Nicole Egger, Hoi! Et apres , p. 6.
  4. ≪  Dialectes, Suisse alemanique  ≫ dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne..
  5. Mimi Steffen, Preface du Dictionnaire francais suisse-allemand
  6. Sergio J. Lievano et Nicole Egger, Hoi! Et apres... Manuel de survie en suisse allemand , p. 5
  7. En realite, il en existe, notamment la Dieth-Schreibung   (de) , mais leur usage est minoritaire.
  8. (de) ≪  In der Schweiz wird das ß nicht benutzt, an seine Stelle tritt ss .  ≫ Dreyer & Schmitt, Lehr- und Ubungsbuch der deutschen Grammatik , p.11, Hueber, Munchen, 2000
  9. Mimi Steffen, Dictionnaire francais suisse-allemand , p.156, Ars Linguis, Lucerne , 2006, ( ISBN   978-3-033-01014-7 )
  10. Ibid , p. 230
  11. Ibid. , p. 125
  12. Ibid. , p. 190

Annexes [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

  • Sergio J. Lievano, Nicole Egger, Hoi Et apres... Manuel de survie en suisse allemand , Bergli Books, Bale 2008, ( ISBN   978-3-905252-16-3 )
  • Eliane Gerber-Blaser, Le Suisse alemanique de poche. ≪ Schwyzerdutsch ≫ , Assimil , collection ≪ Langues de poche ≫, 220p. 2004, ( ISBN   978-2-7005-0336-4 )
  • SUISSE ALLEMAND Debutant Methode complete, Victor Ebner institute
  • Le roman contemporain en Suisse allemande, de Carl Spitteler a Jakob Schaffner. Avec une bibliographie du roman de 1900 a 1933

- MOSER (Jean)

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Liens externes [ modifier | modifier le code ]