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Prison de l'Entrepot des cafes

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Prison de l'Entrepot des cafes
Plaque commemorative situee sur la facade de l'ancien entrepot, au 2 rue Lamoriciere
Presentation
Type
Ancienne prison
Construction
Fonctionne comme prison du 1 er  decembre 1793 a la fin janvier 1794
Localisation
Pays
Departement
Commune
Coordonnees
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La Prison de l'Entrepot des cafes etait une prison de Nantes sous la Revolution , construite en 1788 [ 1 ] . Environ 8 000 a 9 000 Vendeens, hommes, femmes et enfants y sont enfermes de decembre 1793 a janvier 1794, apres avoir ete faits prisonniers essentiellement lors de la Viree de Galerne . Presque tous trouvent la mort, victimes des noyades dans la Loire , des fusillades dans les carrieres de Gigant ou du typhus .

Situation et historique [ modifier | modifier le code ]

L'Entrepot des cafes etait situe en bordure du port de Nantes . Apres la bataille de Savenay ( - 3 nivose an II), 8 000 a 9 000 hommes, femmes et enfants y sont enfermes. Les noyades , les fusillades , le froid, la faim et une epidemie de typhus vident le lieu en quelques semaines. Le bilan sera terrible : en , seules quelques-unes des milliers de personnes emprisonnees a l'entrepot auront echappe a la mort [ 2 ] .

L'enorme batiment s'etendait au bout du port, a l'ecart du centre-ville et a egale distance des carrieres de Gigant (ou les pelotons d'executions operent) et de la Loire [ 3 ] . C'est le departement qui prend l'initiative d'ecarter le choix du couvent des Petits-Capucins, juge trop exigu, et de lui preferer l'Entrepot. Le site presente tous les avantages et les batiments, formant un quadrilatere autour d'une cour fermee, sont assez vastes pour abriter environ six mille prisonniers.

Fonctionnement de la prison [ modifier | modifier le code ]

Le comite revolutionnaire de Nantes nomme Dumais, ancien proprietaire de l’Entrepot, comme gardien, cependant ce dernier meurt rapidement, touche par l’ epidemie de typhus et est remplace par Musson [ 4 ] . Quant a la garde de la place, elle est forte de 200 soldats [ 5 ] .

L’Entrepot, requisitionne par le departement, commence a etre employe comme prison dans les derniers jours d’ , mais c’est surtout a partir de decembre qu’il voit arriver un grand nombre de prisonniers vendeens pris pendant la Viree de Galerne , notamment apres la defaite de Savenay [ 6 ] , engendrant une surpopulation carcerale. Des milliers de prisonniers y connaissent alors la faim, la souffrance et la mort. L'absence d'ecrou [ 7 ] , le flou des responsabilites, la consigne de silence imposee a tous ceux qui ont affaire a l'endroit, tout predispose au pire denouement. Les possibilites de sortir vivant de l'Entrepot semblent avoir ete des plus minimes.

Selon un rapport de Carrier , une revolte frappe l’Entrepot a cette periode ; elle est matee a la suite d'une mitraillade qui coute la vie a 900 brigands. Cependant, cette declaration, qui tendrait pour Carrier a justifier les fusillades de Nantes , a ete dementie par de nombreux temoins. Ceux-ci precisent meme que les prisonniers marchaient avec ≪ docilite ≫ au supplice [ 5 ] .

Par ailleurs, la prison est rapidement ravagee par les epidemies, notamment le typhus , qui tuent environ 2 000 prisonniers [ 8 ] .

Le docteur Pariset ecrit :

≪ Cette affreuse maladie les emporte chaque nuit par centaines ; le matin, on jette les cadavres par les fenetres, on en fait des tas qu'on couvre de voiles, puis on en charge des charrettes qui les portent aux carrieres du faubourg de Gigant [ 9 ] . ≫

La commission Bignon a l'entrepot [ modifier | modifier le code ]

Memorial situe au 7 rue des Martyrs, a Nantes

Apres avoir juge et fait fusiller les prisonniers vendeens apres la bataille du Mans et la bataille de Savenay , la commission militaire Bignon est appelee a Nantes. Elle s'installe a l'Entrepot des cafes et y tient ses seances presque chaque jour, de huit heures du matin a dix heures du soir, du au [ 10 ] .

  • Le , 100 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 97 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 120 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le 1 er janvier, 118 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 289 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 99 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 199 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 250 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 202 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 62 femmes et filles condamnees a mort pour avoir suivi l'armee vendeenne [ 10 ] .
  • Le , 45 femmes et filles condamnees a mort pour avoir suivi l'armee vendeenne. Quelques femmes enceintes obtiennent cependant un sursis [ 10 ] .
  • Pas de seance du 9 au [ 10 ] .
  • Le , un chef vendeen, Jandonnet de Langreniere est condamne a mort [ 10 ] .
  • Pas de seance du 14 au [ 10 ] .
  • Le , 97 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , 57 prisonniers condamnes a mort. Un premier acquittement est prononce par la commission, Pierre Turpin, 16 ans, est mis en liberte [ 10 ] .
  • Le , 207 prisonniers condamnes a mort. Deux accuses, Joseph Joly et Jacques Camus, sont acquittes [ 10 ] .
  • Le , 26 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , un seul jugement, Jean Barbin, acquitte [ 10 ] .
  • Le , 6 prisonniers condamnes a mort [ 10 ] .
  • Le , un chef vendeen, Giroud de Marcilly, est condamne a mort [ 10 ] .
  • Le , la veuve de Marcilly est condamnee a mort, elle obtient un sursis en se declarant enceinte [ 10 ] .
  • Le , trois accuses sont acquittes [ 10 ] .
  • Le , trois accuses sont condamnes a la deportation [ 10 ] .
  • Le , un noble, Dailly, est condamne a mort [ 10 ] .
  • Pas de seance du au [ 10 ] .

Lors de cette periode, la commission Bignon prononce au total 1 978 condamnations a mort contre trois peines de deportation et sept acquittements. Les condamnes sont fusilles dans les carrieres de Gigant, principalement par des soldats allemands de la Legion germanique . La commission quitte ensuite l'entrepot a cause du typhus [ 10 ] .

Temoignages [ modifier | modifier le code ]

Parmi les temoignages de quelques rescapes, celui de Julienne Goguet de Boisheraud. Elle entre a L'Entrepot le et sort le , grace a la complicite du medecin Augustin Darbefeuille [ 11 ] . Beaucoup plus tard elle relate ses souvenirs :

≪ En vain essayerais-je de faire le tableau de ce sejour affreux : je ne connaissais pas d'expression suffisante. Il faut y avoir habite pour s'en faire une juste idee. Je dirai seulement que partout on voyait l'image de la mort : ce n'etait que mort et mourants. Ceux-ci n'avaient pas encore expire que ces monstres venaient les prendre par un membre pour les trainer comme des betes hors de la maison. S'ils vivaient encore, ils les roulaient avec le pied et disaient froidement : "ce sera pour demain..." [...] Nous voyions paraitre des prisonniers qui disparaissaient a l'instant. Un soir, on en amena trois cents, le lendemain, il n'y en avait plus. Deux, trois fois par jour, l'on fusillait sans interrogatoire et sans jugement [ 11 ] . ≫

Les medecins autorises a entrer dans l'Entrepot en gardent un souvenir douloureux et inalterable. Thomas, qui le parcourt a l'epoque de son plus grand engorgement raconte lors de sa deposition au proces de Carrier [ 12 ] , [ 13 ]  :

≪ La maladie etait si intense a l'Entrepot, que de 22 sentinelles qui y monterent la garde, 21 perirent en tres peu de jours, et que les membres du Conseil de salubrite qui eurent le triste courage d'y aller, en furent presque tous les victimes... Ils y trouverent par centaines des malheureux etouffes ou morts de faim ; des femmes qui avaient succombe dans les douleurs de l'enfantement, et que les rats avaient devorees ; des squelettes d'enfants encore cramponnes au sein des squelettes qui avaient ete leurs meres. [...] Je trouvai, dans cette affreuse boucherie, une grande quantite de cadavres epars ca et la ; je vis des enfants palpitants ou noyes dans des bailles pleines d'excrements humains... Je traverse des salles immenses, m'efforcant de parler un langage d'humanite, qui semblait nouveau aux malheureuses femmes dont j'etais charge de constater l'etat. Mon aspect les fait fremir ; elles ne voyaient d'autres hommes que leurs bourreaux. Je les rassure. Je constate la grossesse de trente... Quelques jours apres, je vins revoir ces femmes, que leur etat rendait sacrees et cheres a l'humanite... Ces malheureuses avaient ete precipitees dans les flots [ 14 ] . ≫

Le chef de bataillon Picard ecrit dans le registre des declarations :

≪ A Noel dernier, etant alle conduire des soldats a l’Entrepot, la curiosite de voir les prisonniers me fit monter dans tout le local ; j’y vis plusieurs enfants morts, de l’age de dix a douze ans, parmi les autres vivants. Passant par les greniers, je vis une femme qui me dit, ainsi qu’a ceux qui etaient avec moi, de prendre son enfant qu’elle nourrissait, disant qu’elle allait mourir [ 15 ] . ≫

Un autre medecin, Pariset, relate dans une lettre :

≪ On m'avait beaucoup parle de l'infection de l'Entrepot ; je crus que j'y rencontrerais une de ces odeurs qui revoltent. Pas du tout. En mettant le pied sur l'escalier de ce malheureux batiment, je ne sentis qu'une odeur fade et douce qui me portait a vomir. Je traversai lentement les salles : elles avaient perdu, dant la nuit plus de cent de leurs tristes habitants ; spectres pales, decharnes, couches, abattus sur les planchers, on s'y trainant en chancelant comme dans l'ivresse ou la peste [ 16 ] . ≫

Fonbonne, directeur general des hopitaux, est informe de la presence dans l’entrepot d’une famille de sa connaissance, il se rend sur place :

≪ On nous indique un cachot affreux par sa puanteur et son obscurite. Nous demandons une chandelle, et, en cherchant cette famille, jusque dans la paille, ou ces infortunes se pressaient les uns contre les autres pour se garantir du froid, nous trouvames des femmes mortes dans cette paille, et la jeune fille cachee, moitie d’epouvante et de froid, dans les habillements de sa mere. Celle-ci loin d’accepter nos offres et nos secours : Non, dit-elle, ma fille perira avec moi ; nous perirons toutes ensembles [ 13 ] . ≫

Le pharmacien Hectot est charge de faire des fumigations guytoniennes au chlore pour desinfecter l'entrepot, il ecrit :

≪ Il me vint un ordre pour aller faire des fumigations guytonniennes dans diverses maisons de detenus. Je ne citerai que l'Entrepot... Je le trouvai dans un tel etat d'infection et de desordre qu'il est difficile de le peindre. Il y avait de la paille en quantite assez minime et coupee menue. C'etait pourtant sur cette paille qu'etaient couches les detenus... Les portes et les fenetres etaient fermees ; des baquets en bois etaient places ca et la et contenaient de l'urine et des matieres fecales : d'autres etaient a l/4 ou 1/2 pleins d'eau, c'etait celle que ces detenus buvaient ; quelques morts, places de distance en distance, une femme, entre autres, etait accouchee sans etre delivree, puisque son enfant y etait encore adherent... L'enfant et la mere etaient d'une couleur violet-noiratre. Les autres morts etaient deja en putrefaction. L'odeur qui s'exhalait etait, en general, de matiere fecale et de putrefaction.

Je placai mes fourneaux allumes avec du charbon sur lequel je mis des terrassons contenant du muriate de soude (sel de cuisine) et de l'oxide de manganese, dans lesquels je versai, en m'eloignant, de l'acide sulfurique.

Je m'en retournai a l'Hotel-Dieu; mais, des ce soir, plusieurs infirmiers que j'avais amenes avec moi tomberent malades, et plus tard deux en moururent... Mes aides en pharmacie furent malades ; les docteurs Blin et Laennec le furent aussi. Bacqua eut la maladie et s'en guerit, ainsi que M. Deshays, attache a la chirurgie. Enfin, je fus pris a mon tour [ 17 ] . ≫

Fermeture de l'Entrepot [ modifier | modifier le code ]

Porche de la conciergerie de l'ancien entrepot des cafes. Ancienne savonnerie Bretonne occupant le site de l'ancienne Prison, au 2 rue Lamoriciere

Par crainte de voir le typhus deborder sur la ville, les autorites revolutionnaires decident d’evacuer les prisonniers qui ne sont plus que quelques survivants a la suite des noyades , fusillades et a l'epidemie qui ont decime les detenus. Le , le district ecrit a la municipalite que ≪ A l’Entrepot, il existe une odeur si fetide que plusieurs de nos freres qui y montaient la garde, y ont perdu la vie ; citoyens, freres et amis, voila le mal, nous vous confions le remede, au nom de l’humanite, du bien public et de notre patrie. Activite, exactitude et surveillance [ 18 ] . ≫

Jean-Baptiste Carrier lui-meme s'alarme et reclame ≪ un prompt nettoiement par les brigands eux-memes afin de point compromettre la sante des bons citoyens ≫ .

Demephitiser (desinfecter) l'Entrepot demande plus de trois semaines [ 11 ] . Les cadavres sont places sur des tombereaux puis envoyes au nouveau cimetiere de Gigant, appele la Salle-Verte. Le , Pariset, qui supervise l'operation, ecrit : ≪ J’ai apercus les cadavres amonceles ; je les ai fait couvrir d’une mauvais voile ; le tombereau s’est rendu a midi et demi juste, huit brigands ont aide a le charger, et, au bout de quelques minutes ils sont partis pour la Salle-Verte [ 19 ] . ≫

Le , il ajoute : ≪ Je me suis rendu ce matin a l'Entrepot ; le travail allait son train ; je n'ai pas vu plus de cinq a six tombereaux ; le fumier exhalait une odeur execrable. J’ai fait deplacer les onze ouvriers qui chargeaient les tombereaux, je les ai conduits aux bateaux qui avaient chacun besoin de six hommes, pour etre promptement vides ; onze a douze brigands ont charge eux-memes les tombereaux [ 20 ] . ≫

La prison de l’Entrepot est videe pendant ce nettoyage, puis, deux massacres sont a nouveau commis : de l’eau empoisonnee avec de l’ acide sulfurique est donnee aux detenus [ 21 ] , et des prisonniers sont envoyes a la noyade du 29 au [ 22 ] . Le 1 er  fevrier , les derniers rescapes sont transferes sur les navires [ 20 ] .

Consequence hypothetique [ modifier | modifier le code ]

Apres une etude detaillee de l'epidemie, le Dr Le Borgne a emis en 1851 une hypothese sur un lien eventuel reliant cette epidemie aux noyades ordonnees par Jean-Baptiste Carrier . Selon cette hypothese, la necessite de debarrasser la ville au plus vite des prisonniers atteints du typhus, a la demande de la municipalite representee par les citoyens Dufo et Devauge (evacuation par bateau sur la Loire) aurait pu donner a Carrier l'idee de faire d'une pierre deux coups, marquant ainsi le debut des noyades et des fusillades de Nantes . Cette hypothese n'est cependant fondee sur aucun element probant [ 23 ] .

Reconversion et destruction [ modifier | modifier le code ]

Apres la fermeture de la prison, le batiment est nettoye et un atelier de salaisons y est etabli fin [ 20 ] . L'entrepot fut ensuite converti en caserne de cavalerie [ 1 ] . C'est dans la nuit du 21 au qu'il est detruit lors d'un incendie [ 1 ] , faisant 5 morts et de nombreux blesses [ 24 ] . Apres l'incendie seule la facade demeura. Le site est ensuite reconverti en savonnerie, aujourd'hui desaffectee.

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

  • Charles Berriat-Saint-Prix , La justice revolutionnaire, aout 1792 : Prairial an III, d'apres des documents originaux , t.  I, Michel Levy freres, editeurs, ( lire en ligne ) , p.  20-25 .   Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Jean-Joel Bregeon, Carrier et la Terreur nantaise , Paris, Perrin , coll.  ≪ Tempus ≫, , 368  p. ( ISBN   978-2-262-06616-1 ) .   Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Alfred Lallie , Les noyades de Nantes , Nantes, Imprimerie Vincent Forest et Emile Grimaud, , 104  p.   Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Alfred Lallie , Les prisons de Nantes pendant la Revolution , Imprimerie Vincent Forest et Emile Grimaud, , p.  52-60 .   Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article.
  • Annales de la Societe academique de Nantes et du departement de la Loire-Inferieure , t.  XXIII, Imprimerie de Camille Mellinet, . texte en ligne sur google livres
  • Gildas Salaun et Jean-Luc Guihard , ≪  Medaille commemorant l’incendie de l’Entrepot des Cafes a Nantes  ≫, Armor-Numis , n o  121,‎

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

  1. a b et c ≪  Medaille commemorant l’incendie de l’Entrepot des Cafes de Nantes  ≫, sur loire-atlantique.fr (consulte le )
  2. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  53.
  3. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  54.
  4. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  54-55.
  5. a et b Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  58.
  6. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  53-54.
  7. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  55.
  8. Alfred Lallie, Les noyades de Nantes , p.  79
  9. Auguste Billaud , La Guerre de Vendee , mpr. Lussaud, 1977, p.  169.
  10. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa et ab Charles Berriat-Saint-Prix, La justice revolutionnaire , p.  12-30
  11. a b et c Bregeon 2016 , p.  139.
  12. Alfred Lallie, les Noyades de Nantes , 90.-Campardon, Histoire du Tribunal revolutionnaire de Paris (Proces de Carrier), II, 55. Deposition de l'officier de Sante Thomas.
  13. a et b Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  57.
  14. Annales de la Societe academique de Nantes et du departement de la Loire-Inferieure, Volume XXIII , p.  230-231.
  15. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  56.
  16. Annales de la Societe academique de Nantes et du departement de la Loire-Inferieure, Volume XXIII , p.  214.
  17. Annales de la Societe academique de Nantes et du departement de la Loire-Inferieure, Volume XXIII , p.  216-217.
  18. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  58-59.
  19. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  59.
  20. a b et c Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  60.
  21. Alfred Lallie, Les prisons de Nantes , p.  59-60.
  22. Alfred Lallie, Les noyades de Nantes , p.  74.
  23. Societe Academique de Nantes et du Departement de la Loire-Inferieure 1851 , p.  234-235
  24. F.J. Verger, Archives curieuses de la ville de Nantes tome III, 1840

Voir aussi [ modifier | modifier le code ]

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Liens externes [ modifier | modifier le code ]