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Paul Beyer

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Paul Beyer
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Paul Beyer est un ceramiste , maitre verrier et dinandier , ne a Strasbourg le et mort a Bourges le .

Sculpture ceramique, La Borne debut XXe - Musee des arts decoratifs, Paris.

Se considerant lui-meme comme un humble artisan, Paul Beyer consacre une grande partie de son œuvre a la redecouverte de la technique du gres de sel. Son travail, tres epure, met a l'honneur le monde paysan et les animaux. Le "potier" comme il aimait a se faire appeler, produit egalement un nombre important d'objets utilitaires : cruches, pots, vases et ecuelles [ 1 ] . Ainsi que des objets religieux. Il rejette l’aspect inutile des objets decoratifs ce qui le mene a confectionner des formes logiques et robustes, pour l’usage quotidien comme des plats ou des bols [ 2 ] . Paul Beyer est peu connu du grand public alors qu’il est un grand specialiste en la matiere [ 3 ] . Hormis l’influence du travail de son pere on ne sait pas s'il avait un maitre.

Paul Beyer est considere comme un ceramiste creatif de la periode art deco, innovant dans ses verreries, ses dinanderies emaillees et ses gres. Dans ses debuts artistiques, il obtient une bourse de la ville de Besancon pour suivre une formation de peintre-verrier a Munich . De retour en France il se met a son compte et commence a concevoir des vitraux d’arts, de la ceramique d’ architecture , des peintures d’arts et de la terre cuite. S’ensuit un stage de ceramique a Vallauris , il part de Besancon et installe des fours dans le departement de l’ Ain pour ensuite rester en Suisse pendant cinq ans.

Biographie [ modifier | modifier le code ]

Son pere Joseph Beyer (1837-1876) etait maitre verrier, specialise dans les travaux religieux. Peu apres sa naissance, la famille s'installe a Besancon ou son pere etablit son atelier. Apres la mort de celui-ci en 1876, sa mere, nee Sophie Boone, reprend la fabrique familiale avant de s'associer avec son fils aine Joseph Beyer (1871-1936) [ 4 ] . Apres une formation classique a l’Ecole des Beaux-Arts de Besancon, puis un sejour a Munich , il revient a Besancon dans l'atelier familial qu'il quitte en 1906 pour s'installer a Lyon . Paul Beyer a eu deux enfants : Marie-Louise et Lucien Beyer (1908-1983) peintre.

Periode lyonnaise [ modifier | modifier le code ]

Paul Beyer fait ses premieres productions regulieres et essais en Suisse puis a Lyon [ 5 ] ou il s’installe des 1913 et ou il va se distinguer dans le domaine de la poterie en plus de la formation heritee de ses parents jusque dans les annees 1930 ou il expose des verreries et des vitraux dans les Salons en region, et parfois de la dinanderie [ 6 ] . Il prend parti de l’aspect utilitaire plutot que decoratif, de la robustesse necessaire a un usage quotidien [ 6 ] . Il est mobilise en 1914 apres avoir vecu une forte depression nerveuse. Il souffre d’un debut de maladie de Parkinson . Il ne reprend vraiment son travail qu’en 1920 et se concentre sur trois mediums principaux : l’email, le verre et la ceramique [ 7 ] .

Un atelier 1 bis rue de la Quarantaine pres de la Saone au centre des entrepots du quartier Saint-Georges fait office de lieu de creativite pour Paul Beyer, mais aussi d’un lieu frondeur et creatif qui a servi par la suite de refuge a une diversite de metiers et d’artistes attires par l’esprit que procure le cadre de cet atelier. Ce dernier est passe d’un vaste hangar a un cœur populaire de travail. Il loge sa famille dans le quartier Saint-Jean sur le quai de la Bibliotheque ? actuel quai Romain Rolland -. Paul Beyer considere le vieux Lyon comme une reelle commodite professionnelle. Contrairement a Claudius Linossier , considere comme le meilleur Lyonnais de sa categorie qui lui n’abandonnera jamais la colline de sa Croix-Rousse natale. Les deux hommes ont souvent leurs œuvres presentees conjointement, mais les laissent dialoguer seules. Pendant que Claudius Linossier fait une ascension rapide en obtenant le prix Florence Blumenthal des 1922, Paul Beyer doit patienter quelques annees avant d'atteindre une position credible en tant que potier aux yeux des critiques specialises. Sa reconnaissance est progressive [ 8 ] .

Periode parisienne [ modifier | modifier le code ]

La Manufacture Nationale de Sevres en organise un stage de 3 mois ; il s'installe ensuite definitivement a Paris . L'annee suivante, en 1932, la manufacture lui met a disposition des fours et des ateliers, ce qui ouvre une nouvelle carriere a l'artiste, carriere parisienne, ou il retourne a des themes religieux au "gres statuaire oublie" [ 9 ] . En 1938, il est fait Chevalier de l'ordre de la Legion d'Honneur, sur les recommandations de Robert Mallet-Stevens .

L’atelier a Borne et la fin de sa vie [ modifier | modifier le code ]

Georges-Henri Riviere l'invite en 1942 a s'installer au centre de production ceramique de La Borne dans le Cher , ou il met au point un four a flammes renversees [ 10 ] . Pendant la guerre, sa mission est de redonner du dynamisme aux anciens ateliers de la Borne [ 9 ] . Ici il forme des eleves et transforme le village en une communaute artisanale [ 11 ] . Travaillant sans relache jusqu'a ses derniers jours, il meurt a Bourges le .

Sa vision artistique [ modifier | modifier le code ]

Paul Beyer a laisse des entretiens ou il parle de son art et de sa maniere d’etre et de travailler. Ses productions pures et essentielles sont le fruit d’une philosophie ou le travail et le dur labeur priment sur les fioritures et les futilites. Lorsqu’il est interroge dans son atelier a Lyon en 1924 il dit ≪ Je ne parle pas, je travaille, ce n’est pas tout a fait la meme chose. Mes idees sur mon art je les vis et je les exteriorise dans des formes que j’aime. Je ne suis pas un manuel d’esthetique, mais un createur, un createur toujours insatisfait et qui donne la vie a des creatures de terre et de pate coloree, comme Dieu a donne la vie a l’homme en le petrissant dans l’argile avec amour ≫ .

Dans la meme interview il evoque ses origines et les differentes phases artistiques qu’il a vecues : ≪ Je suis alsacien, de vieille souche, fils et petit-fils de verriers. Mon pere etait un grand artiste. C’est lui qui restaura, apres le bombardement de 70, les vitraux de la cathedrale de Strasbourg. Un jour vint ou l’on ne construisit plus d’eglises ou les vitraux ne nourrirent plus leurs hommes. Alors je me lancai dans l’art de la ceramique. Je ne connaissais rien a ce metier delicat et rare, mais tout de suite je fus conquis. L’enthousiasme me gonflait. Sans me retourner je partis, ayant vendu tout ce que j’avais, mes meubles, mes souvenirs, pour faire du feu. Avec de la terre, mes mains et du feu j’ai cree de la beaute, j’ai donne la vie a mes reves, j’ai enferme mon ideal dans des formes souples, la joie de mes yeux. Je ne travaille pas pour le public mais pour moi. Satisfaire les autres ce n’est pas malin du tout, se contenter soi-meme, voila le difficile. Vint un moment ou la ceramique ne me suffit plus. Je me mis au verre, si j’ose m’exprimer ainsi. Avec les tulipes electriques, les globes irises, les decorations d’appartement, l’art du verre est singulierement etendu dans son domaine, ses applications sont a l’infini. […] Cette matiere capricieuse, toujours prete a eclater dans vos doigts et insaisissable comme l’eau ! ≫ .

Il ajoute des precisions sur l’interet de ces materiaux, ≪ Cet art est passionnant plus que nul autre, dis-je. Vous collaborez vraiment avec les elements : l’eau, la terre et le feu. Quelle joie de preparer vos poudres, de melanger le gres aux substances secretes qui donneront aux vases l’eclat des aurores d’automne, et quelle emotion doit etre la votre lorsqu'o ouvrant le four, apres vingt-quatre heures de cuisson acharnee a 1.300 degres vous saisissez l’objet precieux, ne comme un jeune papillon d’une chrysalide de flammes. ≫ . Une ode au gres paysan qu’il affectionne tant s’ensuit, ≪ Ici, a cote de nous, en Bresse, nous avons les plus beaux gres du monde ≫ [ 12 ]

On observe qu'une reference spirituelle est vivante dans ses dires, comparant l’argile a la creation des etres humains par Dieu, par la finissions de ses objets d’arts comme des naissances de personne. Dans cette entrevue de 1924 publiee dans la revue Notre Carnet, il evoque le verre, ≪ Le verre ne se traite pas comme le gres, mais ses metamorphoses ne sont pas moins etonnantes. Avec du sable, de la potasse et de la soude vous preparer votre matiere. La chaleur opere la transmutation et, dans la petite cuve de brique, le verre coule ainsi que du miel. Vous le soufflez comme on souffle sur la bouche d’un noye pour le rappeler a la vie, vous lui donner la forme que vous voulez. ≫ [ 13 ] .

L’intervieweur explique que Paul Beyer ne sort d’aucune ecole et qu’il n’imite personne, que l’artisan a du mepris pour ses pairs de la renaissance. Neanmoins Paul Beyer evoque une reference, le ceramiste Carries, le premier selon lui a avoir sur utiliser le gres. Il insiste encore sur son rejet ≪ des formes tarabiscotees ≫. Pour lui ≪ creer des formes belles et usuelles ≫ est son reve car d’apres lui tout ce qui est utile est beau, ≪ Les couverts ont leurs utilites embellit par la main de l’artiste qui les a faits. ≫ . Son rejet de l’apparat se traduit par le fait qu’il estime que de s’attacher aux apparences, c’est s’attacher aux etres finis et ajoute ceci, ≪ Moi j’aime surtout le commencement, le point initial de la creation : la matiere ≫ [ 14 ] .

Enfin, il parle aussi de ses inspirations en nommant les Chinois, les Coreens et les Japonais en maitres spirituels, car ce sont les seuls qui ont su concevoir dans leur art des merveilleuses choses, un art qui selon Paul Beyer est frere du sien.

Techniques artistiques [ modifier | modifier le code ]

Ceramique [ modifier | modifier le code ]

Concernant la poterie, Paul Beyer dit qu’il veut montrer ce que l’homme pouvait faire des lors qu’il etait maitre des elements et que pour lui, le maitre c’est le feu [ 2 ] . Pour lui, ≪ Un potier doit avoir du feu dans l’ame et mettre son ame au feu ≫ [ 9 ] .

1921 represente une annee importante car il expose dans son atelier pour le salon de l’automne et obtient un article dans le journal La Vie Lyonnaise qui lui est consacre. Cet article parle de son argile extrait du sol de la Bresse . Paul Beyer teste les techniques sur les gres au sel qui tire ses origines de la poterie paysanne. Cette technique consiste a jeter dans le four une poignee de sel lors de la cuisson ce qui provoque une oxydation qui fait retracter l’email laissant ainsi entrevoir la terre cuite a certains endroits de l'objet.

L’email et la technique au gres de sel [ modifier | modifier le code ]

Paul Beyer pratique l'email pour la premiere fois avec l'art du verre, ou il evoque etre un. ≪ createur insatisfait ≫ . Il illustre des objets de geometrie simple comme des bandes et des equerres de couleurs vives avec un ≪ vocabulaire proche du cubisme ≫ . Ces œuvres sont concues vers 1925 et on en compte que tres peu [ 15 ] . En 1937, il expose trois œuvres en gres chamotte avec une figurine de Saint-Bon, Saint-Eloi et Sainte-Claire lors d’une exposition d’art sacre moderne en 1938.

La poterie au service de la religion [ modifier | modifier le code ]

Paul Beyer, Saint-Bon, 1931, Musee des Beaux Arts, Lyon.

Parmi ses œuvres phares, l'une d'entre elles est exposee au Musee des Beaux-Arts de Lyon, il s'agit d'une figurine de Saint-Bon, ou Saint-Bonnet, dit patron des potiers souvent represente en eveques.C'est un Saint qui revet une importance pour Paul Beyer. Ce Saint-Bon confectionne en 1931, est en gres moule et emaille, avec un des decors d'incisions sur la chasuble, une crosse en fer martele. H. 50.8 l. 21.1 et d'epaisseur. 19.7. Signe et date en creux sur la robe ≪ BEYER 31 ≫ Acquis en 1931 Lyon, musee des Beaux-Arts, Inventaire n° E. 690 https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Saint-Bon.jpg .

Son retour a la statuaire religieuse, demontre un investissement certain dans la foi chretienne. En temoignent les interviews ou il fait reference a la creation artistique, a la creation de Dieu.

Le verre [ modifier | modifier le code ]

En 1922, une description de son atelier par un critique le designe comme ≪ magicien du verre ≫. Paul Beyer dit a propos de la pratique du verre ≪ la pate de verre doit transformer la lumiere par translucidite ou transparence ≫ . Il s’interesse au verre-matiere, c'est-a-dire sans son aspect decoratif. Paul Beyer collabore avec Jacquillard, bronzier et ferronnier pour les montures.

La verrerie est aussi une necessite commerciale pour Paul Beyer lorsqu’il fait des productions figuratives comme des personnages ou des canards [ 5 ] . Il cree un verre pateux, comme une substance marbreuse qui lorsqu’elle est eteinte, ressemble a de l’albatre, et lorsqu’elle est allumee cette derniere produit une lumiere douce dans les tons de jaune ou de beige. Il est aussi sollicite pour eclairer les salons de nombreux decorateurs, en particulier avec Sornay pour qui il mettra au point un appareil d’eclairage constitue d’une feuille de verre posee sur un cube en ceramique. Cette œuvre est sans doute unique car elle melange deux techniques.

Parallelement, il expose vases, bouteilles et flacons avec une technique de verre bullee inspiree des approches de Maurice Marinot . Il remporte un certain succes en 1927 car la maison parisienne Simonet et Dieupart edite ses lampes en verre bullee pendant le Salon des Artistes Decorateurs .

Durant sa periode lyonnaise, il expose conjointement de la ceramique et des verreries. Paul Beyer est ainsi considere comme un ceramiste-verrier. Il arretera le verre et l’email apres son depart de Lyon [ 7 ] .

Dinanderie [ modifier | modifier le code ]

Paul Beyer, Plat emaille, 1927

Paul Beyer n’a presque jamais expose de dinanderie de son vivant, les critiques ne disent rien sur son activite de dinanderie. Il a expose deux œuvres en cuivre emaille au Musee des Beaux-Arts de Lyon lors d’une retrospective qui lui est dediee Les recherches de Paul Beyer de 1907 a 1931 . Son œuvre en tant que dinandier demeure minoritaire. Ses dinanderies ne sont jamais figuratives, la plupart sont realisees a Lyon entre 1922 et 1931 et toutes sont emaillees, possedent beaucoup de gaiete avec le contraste du gres qui est formes de couleurs sourdes et austeres [ 5 ] , avec du jaune et du bleu en reference a la verrerie.

Au Musee des Beaux-Arts de Lyon est exposee une de ses pieces; un Plat emaille, une rare piece de dinanderie, achete au Musee des Beaux-Arts pour 18.000 francs, le a Thierry Roche auteur de L'art decoratif a Lyon de 1910 a 1950 , et notamment collectionneur d’œuvres de Paul Beyer dont un Canard emaille . La dinanderie reste une activite peu commentee de la collection Thierry Roche [ 5 ] .

Collection publique [ modifier | modifier le code ]

  • France

Roanne , Musee Joseph Dechelette

Les expositions [ modifier | modifier le code ]

Parisiennes [ modifier | modifier le code ]

1925, Exposition internationale des Arts decoratifs et industriels modernes a Paris [ 6 ]

1926, Salon de l’Automne, exposition liee au verre.

1926, Musee Galliera , ou il confectionne le verre d’un lustre en bronze de Simonet

1927, Salon de l’Automne, exposition liee au verre.

1928, Salon de l’Automne, exposition liee au verre [ 5 ] .

1937, exposition de trois œuvres en gres chamotte, Saint-Bon, Saint-Eloi et sainte Claire.

1937, membre du jury lors de l' Exposition Universelle des Arts et Techniques de 1937  ; il expose aussi a l'etranger ( Belgique , Italie , Canada ).

1938, Exposition d’art sacre moderne en 1938 [ 9 ] .

1947, exposition retrospective au Salon d’Automne de Paris deux ans apres sa mort.

19 et , Art du feu, collection du Monsieur X, 200 ceramiques de la fin du XIX et du debut du XX siecles, Hotel des ventes du palais, palais des congres ? Paris, salle Maurice Rheims. En vente canard couche , gres naturel sur le bec, emaille brun ocre sur le corps estime a 750€/900€.

, exposition a l’espace Tajan pour une vente aux encheres, avec pour commissaire-priseur Elsa Kozlowski. Vente d’un vase en gres de 1937 estime a 20 000€.

, exposition a l’espace Tajan pour une vente aux encheres d’un vase estime a 2 500/3 000€ [ 16 ]

Lyonnaises [ modifier | modifier le code ]

1975, exposition retrospective Les recherches de Paul Beyer de 1907 a 1931, Musee des Beaux-arts, Palais saint-pierre a Lyon, est expose deux œuvres en cuivre emaille, un plat, une assiette et une figurine Saint-Bon, patron des potiers de 1928.

2012, Exposition, LYON ET L’ART MODERNE 1920-1942 DE BONNARD A SIGNAC , Musee municipal Paul-Dini, Villefranche-sur-Saone , 2012, inventaire 41926. Dans la categorie objet d’art il a ete expose un Canard de 1928 en gres emaille et deux vases.

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

  • Thierry Roche , Les arts decoratifs a Lyon 1910 a 1950 , Beau fixe, , 127  p. ( ISBN   978-2910616038 ) .
  • Marion Falaise , ≪  Autour de 1925 : les arts decoratifs lyonnais  ≫, BMO ,‎ .
  • Collectif, Paul Beyer : ceramiste 1873-1945 , Catalogue d'exposition Union Centrale des Arts Decoratifs (Paris), Palais du Louvre, mars- .
  • Anne Lajoix, La ceramique en France, 1925-1947 , editions Sous le vent, 1983.
  • Marc Ducret, Paul Beyer , editions Beau Fixe, 2006.
  • Dominique Forest et Marie-Cecile Forest , La dinanderie francaise 1900 - 1950 , Les editions de l'amateur, .

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

  1. ≪  Œuvres conservees au Musee des Arts Decoratifs, Paris  ≫, sur opac .
  2. a et b ≪  Au Palais Saint-Pierre, Les recherches de Paul Beyer de 1907 a 1931  ≫, Inconnu ,‎
  3. ≪  Poteries de Paul Beyer au musee de Lyon  ≫, Le progres ,‎
  4. Mobilier et Decoration n°3 ,
  5. a b c d et e Forest et Forest 1995 .
  6. a b et c Falaise 2015 .
  7. a et b Roche 1999 , p.  73.
  8. Marc Ducret, Paul Beyer, beau fixe , , p.34
  9. a b c et d Roche 1999 , p.  74.
  10. Notice Ceramique de La Borne sur culture.gouv.fr.
  11. ≪  Exposition de ceramiques de Paul Beyer au Musee des Beaux-Arts  ≫, Le progres ,‎
  12. ≪  Paul Beyer, Maitre-verrier et ceramiste ou l'ami du feu  ≫, Notre Carnet, n°19 ,‎ , p.6
  13. ≪  Paul Beyer, Maitre-verrier et ceramiste ou l’ami du feu  ≫, Notre Carnet, n°19 ,‎ , p.7
  14. ≪  Paul Beyer, Maitre-verrier et ceramiste ou l’ami du feu  ≫, Notre Carnet, n°19 ,‎ , p.8
  15. Roche 1999 , p.  73-74.
  16. ≪  TAJAN  ≫

Liens externes [ modifier | modifier le code ]