Marie-Josephine Gerin-Lajoie
, nee le
a Montreal et decedee le
dans la meme ville, est une travailleuse sociale, fondatrice de communaute religieuse et pionniere du service social dans le milieu francophone au
Quebec
. Au meme titre que sa mere,
Marie Lacoste Gerin-Lajoie
, elle est une figure incontournable de l'histoire du feminisme au Quebec. Elle est egalement la premiere Quebecoise a obtenir un diplome d'une universite francophone et catholique, en 1911 (
Universite Laval a Montreal
)
[
1
]
.
Marie Lacoste Gerin-Lajoie
, figure marquante du feminisme quebecois et mere de Marie Gerin-Lajoie. Elle aura une grande influence sur son parcours.
Marie Gerin-Lajoie est nee a
Montreal
, dans une famille de ≪ cette petite bourgeoisie cultivee et laborieuse, loyale a l'Eglise, mais remuante et critique a ses heures... ≫
[
2
]
. Elle voit le jour a domicile et entouree des domestiques de la famille, dans le bloc Rolland, un complexe d'habitations victoriennes qui etait situe au 146 de la
rue Berri
, entre les
rues Craig
et
Dorchester
[
3
]
. Le lendemain, elle est baptisee a l'
eglise Saint-Jacques-le-Majeur
, la premiere cathedrale de Montreal et la meme eglise ou se sont maries ses parents
[
4
]
.
Son pere,
Henri Gerin-Lajoie
, est avocat (batonnier de Montreal, puis
batonnier general du Quebec
[
5
]
) et fils aine de l'ecrivain
Antoine Gerin-Lajoie
; sa mere,
Marie Lacoste-Gerin-Lajoie
, est une pionniere de la defense des droits des femmes au Quebec
[
6
]
. Du cote maternel comme paternel, Marie Gerin-Lajoie a des arriere-grands-parents (
Etienne Parent
et
Louis Lacoste
) s'etant impliques dans les
Rebellions des Patriotes de 1837-1838
[
7
]
. Ses trois freres, Henri, Alexandre et Leon, sont nes entre 1892 et 1895
[
8
]
.
Elle vit une enfance heureuse, aimee de ses parents. Ces derniers lui inculquent le sens de la discipline et de l'effort
[
9
]
. L'education qu'elle recoit laisse une place a la liberte, mais vise surtout a obtenir de l'enfant l'obeissance, qui est, selon sa mere, ≪ le fondement de la paix sociale ≫
[
10
]
. Des ses jeunes annees, sa mere l'initie a son engagement feministe
[
11
]
. Lorsque Marie a sept ans, la famille, a l'image du reste de la petite bourgeoisie canadienne-francaise, quitte la rue Berri pour se rapprocher du
Mont-Royal
[
12
]
. Ils s'installent alors au 577 de la
rue Sherbrooke
, entre les
rues Clark
et
Saint-Laurent
[
12
]
. Ils ont alors pour intention d'inscrire Marie a l'Academie Saint-Urbain, un etablissement scolaire dirige par les Dames de la
Congregation Notre-Dame de Montreal
[
13
]
.
Malgre la mefiance de sa mere vis-a-vis des ≪ rabatteuses de vocations ≫
[
14
]
, c'est la que la jeune Marie fait son cours primaire, de 1897 a 1905. Elle y etudie en externat mais peut rentrer a la maison chaque midi en raison de la proximite de l'institution et du foyer familial
[
13
]
. Ce detail, la rapprochant de ses parents, aura son importance dans son education
[
13
]
. Ces derniers favorisent le developpement intellectuel de leur fille en encourageant les debats et son interet pour les grands auteurs. A l'automne 1900, elle est inscrite dans les classes anglaises de la meme institution. En 1905-1906, elle suit, en depit de son jeune age, une formation intensive en etudes litteraires a l'
Universite Laval de Montreal
[
15
]
.
Universite Laval a Montreal, en 1903.
Par la suite, de 1906 a 1908, elle complete, en externat, ses etudes secondaires au Mont-Sainte-Marie, autre maison d'enseignement de la Congregation Notre-Dame. La superieure du Mont-Sainte-Marie est
Mere Sainte-Anne-Marie
, une femme d'action qui mene un combat en faveur de l'enseignement superieur feminin. Elle aura une profonde influence sur la jeune Marie. Mere Sainte-Anne-Marie et la Congregation Notre-Dame obtiennent l'accord de
M
gr
Bruchesi
, archeveque de Montreal, pour creer l'Ecole d'enseignement superieur pour jeunes filles, affiliee a l'
Universite Laval
, qui ouvre officiellement ses portes l'automne suivant
[
16
]
. Au printemps 1910, Marie Gerin-Lajoie est la premiere, et la seule, de son institution a se presenter aux examens de la Faculte des Arts de l'Universite Laval de Montreal
[
17
]
. Elle aura les meilleures notes de tout le
Quebec
ainsi que la mention ≪ grande distinction ≫
[
17
]
. Les
autorites de l'Universite Laval
lui refuserent toutefois le Prix Prince de Galles auquel elle avait droit pour l’attribuer au garcon le plus meritant, ceci en refusant de publier les resultats
[
18
]
,
[
19
]
. Son
baccalaureat es arts
de l'Universite Laval a Montreal lui sera decerne en octobre
1911
. Elle est la premiere diplomee de l'histoire de l'ecole ainsi que la premiere Quebecoise a obtenir un baccalaureat d'une universite francophone et catholique
[
1
]
.
Alors qu'elle etudie a l’Ecole d’enseignement superieur, elle cree un cercle d’etudes qui constituera l'embryon d'un mouvement qui menera a la creation de la Federation des cercles d’etudes des Canadiennes francaises, qu'elle presidera de 1916 a 1923
[
20
]
. Comme il etait d'usage pour les jeunes filles de la bourgeoisie canadienne-francaise de l’epoque, elle s'astreint a un programme d'activites mondaines qui doit en principe la conduire jusqu'au mariage
[
20
]
: ≪ Le matin j’etudiais dans ma chambre ; l’apres-midi je visitais des familles pauvres, le soir j’allais au bal ≫, avoue-t-elle
[
21
]
. Assez vite, elle confie a sa mere qu'elle optera pour le celibat
[
20
]
. Sa mere craint alors de la voir abandonner l'action sociale pour s'installer dans un couvent: il lui faudra trois ans pour la convaincre
[
1
]
. Elle s'inspire alors de sa tante, Antoinette Gerin-Lajoie, qui, demeuree celibataire, a pu poursuivre ses etudes en Europe et consacrer sa vie a l'action sociale, notamment en fondant l'Ecole d'enseignement menager
[
1
]
.
Parallelement a ses etudes, Marie Gerin-Lajoie est egalement formee a la religion, notamment aupres du jesuite Stanislas Loiseau (puis par Samuel Bellavance a la mort de Loiseau en 1919). Les Jesuites auront une grande influence sur sa pensee et sur son œuvre et l'aideront plus tard a creer l'Institut Notre-Dame du Bon-Conseil
[
1
]
. Au meme titre que sa mere, elle sera inspiree par leur vision et leur engagement au sein de la nouvelle doctrine sociale de l'eglise, proclamee notamment par l'
encyclique
Rerum Novarum
de 1891
[
1
]
. C'est au contact de cette doctrine que Marie Gerin-Lajoie developpe la conviction que l'action sociale catholique est le meilleur moyen de venir en aide aux classes defavorisees
[
1
]
.
Durant les douze annees suivantes, elle sera une militante laique en meme temps qu'elle poursuivra sa formation en travail social.
En 1913, lors d'un sejour en Europe avec sa tante Antoinette, elle decouvre plusieurs œuvres sociales feminines en
France
et en
Belgique
[
20
]
. Elle visite egalement l'
Italie
et le
Vatican
[
1
]
. En
Angleterre
, ou sejourne son frere Alexandre, elle est tres impressionnee par les
settlements
, des lieux qu'animent et habitent de jeunes universitaires faisant œuvre d'education dans les quartiers ouvriers
[
1
]
. Ils s'installent alors au cœur des milieux defavorises afin de mettre en branle des reformes sociales
[
1
]
. Ces
settlements
seront pour elle une source d'inspiration a son retour a Montreal, lorsqu'elle donnera une forme plus institutionnelle a ses projets (notamment lorsqu'elle fonde l'Institut Notre-Dame du Bon-Conseil en 1923)
[
1
]
. Marie Gerin-Lajoie s'oppose a la situation de dependance que peut entrainer la charite
[
1
]
. Elle veut des solutions durables en proposant une action sur trois axes: la modification des legislations responsables d'inegalites, le developpement de la solidarite et de l'entraide par le biais des cooperatives et des associations professionnelles et le soulagement de la misere par le biais d’œuvres de bienfaisance (comme les
Gouttes de lait
)
[
1
]
.
En 1913, elle devient directrice et redactrice a
La Bonne Parole
, la revue mensuelle de la
Federation nationale Saint-Jean-Baptiste
[
22
]
. Tres active, elle publie alors de nombreux articles sur le role des femmes en societe, le milieu de l'education ou encore l'engagement feminin dans les milieux catholiques
[
1
]
. Elle prend son role de journaliste a cœur, le considerant comme un important outil de transmission de connaissances
[
1
]
. A cette epoque, elle donne aussi de multiples conferences aupres de publics feminins afin de les sensibiliser a des sujets tels que la psychologie de l'enfant, le role des femmes en milieu familial, la question ouvriere ou encore la formation syndicale
[
1
]
. Elle anime egalement des conferences en anglais et fonde des cercles d'etudes. En 1918 elle suit des cours de service social a l'
Universite Columbia
de
New York
. De retour a Montreal, sous les conseils de Mere Sainte-Anne-Marie, elle developpe un cours public en action sociale destine aux femmes
[
1
]
. L'Universite de Montreal prend alors en charge le programme et s'engage a offrir un certificat d'etudes sociales aux etudiantes qui suivent ce cours
[
1
]
.
En 1920, elle commence a participer aux
Semaines sociales du Canada
, des conferences annuelles organisees par le pere
Joseph-Papin Archambault
et les animateurs de l'Ecole sociale populaire
[
1
]
. Son premier expose s'intitule ≪Le travail des femmes et des enfants dans la province de Quebec≫
[
1
]
. Toujours en 1920, elle fonde le departement de service social de l'
hopital Sainte-Justine
[
22
]
.
Fondation de l'Institut Notre-Dame-du-Bon-Conseil
[
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|
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]
Marie Gerin-Lajoie veut agir sur les causes des inegalites sociales decoulant des transformations de l'epoque industrielle, trouver les moyens d'ameliorer les conditions de vie et de travailler a la promotion des femmes et des familles. A cette fin, elle concoit un projet d'institut qu'elle soumet a
M
gr
Bruchesi et a
M
gr
Gauthier
des l'annee 1917
[
20
]
.
Ultramontain
convaincu, oppose a l'implantation de
syndicats internationaux
, au
droit de vote des femmes
, a l'instruction obligatoire ou meme a l'ouverture d'une
bibliotheque publique
a Montreal, Bruchesi n'est pas immediatement receptif au projet de Marie Gerin-Lajoie.
Elle s'inspire alors notamment des
settlements
qu'elle a decouverts en Angleterre. Son projet aura la forme concrete d'une congregation religieuse dont les membres iront au devant des laics, dans leurs milieux de vie. L'historienne Karine Hebert explique les avantages que considere Gerin-Lajoie dans une telle forme d'organisation:
≪ Pour elle, les religieuses, degagees de toute responsabilite parentale, peuvent se consacrer entierement a l’action sociale et catholique et offrir du soutien aux œuvres laiques. Autrement dit, elle entend former un groupe de religieuses dispensees de toute responsabilite familiale pour qu’elles deviennent auxiliaires d’œuvres catholiques
[
20
]
.≫
L'historienne Helene Pelletier-Baillargeon abonde dans ce sens, soulignant le fait que Marie Gerin-Lajoie voit un gage de stabilite dans la mobilisation de sœurs :
≪Marie veut faire la demonstration du bien-fonde de son entreprise a partir du besoin urgent de stabilite ressenti par les œuvres sociales preconisees par l'Eglise. Ces œuvres (cercles d'etudes, œuvres de presse, associations professionnels, secretariats d’œuvres) sont constamment menacees dans leur efficacite et leur survie par l'instabilite du personnel laic. Obligations familiales des meres, locaux inadequats, manque de ressources financieres ou de releve, carence de formation intellectuelle chez les militantes. Pour epauler ces ≪femmes du monde≫ debordees par la tache, il faudrait un ≪groupe religieux≫ degage de toute obligation familiale et forme en vue de ce service specifique: agir en ≪auxiliaire≫ du laicat feminin en mettant a sa disposition des personnes, des cours, des secretariats d’œuvres, des locaux appropries a l'entreprise de relevement familial et social qui s'impose dans les quartiers populaires
[
23
]
.≫
Rome donne son accord en 1922 et l'Institut Notre-Dame-du-Bon-Conseil est officiellement fonde en
1923
[
24
]
. Marie Gerin-Lajoie doit faire certains compromis, notamment sur la tenue des intervenantes, afin d'accommoder les autorites religieuses. Elle n'est toutefois pas encore une religieuse : elle devra au prealable completer son
noviciat
. Sa profession temporaire aura lieu a l'eglise Saint-Stanislas en
et elle prononce ses
vœux perpetuels
en 1927
[
20
]
. A la premiere maison-mere de l'Institut, qui vient d'etre erigee sur la rue La Roche (a l'angle du
boulevard Saint-Joseph
), elle fait alors vœux de pauvrete, de chastete et d'obeissance
[
25
]
. Pendant pres de quarante ans, Marie Gerin-Lajoie se devouera aux œuvres de l'Institut du Bon-Conseil: fondation de camps de vacances pour enfants defavorises, aide aux immigrants ou encore ouverture de foyers pour ouvrieres, institutrices et adolescente en difficulte, elle menera plusieurs combats contre la misere et les inegalites
[
26
]
.
L'Ecole de service social de l'Universite de Montreal
[
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|
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]
Parallelement a ses activites au Bon-Conseil, Marie Gerin-Lajoie ouvre en 1931 sa propre ecole d'action sociale, qui entend offrir une formation aux intervenantes. Mais, confrontee, en cette periode de
Crise
, a des problemes sociaux sans cesse plus complexes, elle constate l'insuffisance de la formation qu'elle dispense. Elle participera donc, en 1939, a la fondation de l'Ecole de service social de l'
Universite de Montreal
ou elle dispense les premiers cours
[
27
]
. Selon l'historienne Karine Hebert, ≪ Cette initiative pave la voie a la professionnalisation du travail social au Quebec
[
20
]
. ≫
Marie Gerin-Lajoie assume la direction de l'Institut Notre-Dame-du-Bon-Conseil de 1923 a 1956. A partir de 1958, elle s'attelle a la redaction de l'histoire de l'Institut
[
28
]
. Elle y demeure active jusqu’a son deces en 1971, a Montreal. Elle est enterree au
Cimetiere Notre-Dame-des-Neiges
[
29
]
.
- Dans la base de donnees de la Commission de toponymie du Quebec, une rue, a Terrebonne, a ete nommee en l'honneur de Marie Gerin-Lajoie
[
30
]
.
- De plus, dans la region de Quebec, un parc a ete nommee en son honneur en 1992 dans la ville de Quebec et une rue en 1995 dans l'ancienne-ville de Cap-Rouge et est maintenant presente dans la ville de Quebec.
- La fondation Les Œuvres Marie-Gerin-Lajoie a ete creee le
par l’Institut Notre-Dame du Bon-Conseil de Montreal afin de poursuivre l’œuvre d'education et d'action sociale de Marie Gerin-Lajoie
[
31
]
.
- Un centre de formation sociale cree par l'Institut Notre-Dame du Bon-Conseil en 1996 porte son nom
[
32
]
.
- En 1993, Postes Canada a emis un timbre en son honneur
[
33
]
.
Archives
Un outil de recherche imprime, le
Repertoire numerique detaille du fonds Marie Gerin-Lajoie, SBC, 1890-1971
(Montreal, 2002), redige par Mireille Lebeau et Marcienne Proulx, permet de naviguer dans les Archives de l'Institut Notre-Dame du Bon-Conseil de Montreal
[
34
]
.
Ecrits
Recueil
- Femme de desir, femme d'action : ecrits spirituels de Marie Gerin-Lajoie, 1890-1971
/ [recherche et conception, Marcienne Proulx, Therese Routhier, Gisele Turcot ; postface, Bernard Carriere]. Montreal, Paulines, 2003, 205 p.
Pedagogie
- Sainte Elisabeth et la charite
, Montreal : Editions "S.-Louis", 1943, 35 p. [presentation du pere Ferdinand Coiteux.]
- Le retour de la mere au foyer
, Montreal : Secretariat de l'Ecole sociale populaire, 1932, 30 p. [Cours professe a la Semaine sociale de Montreal, le 1er septembre 1932.]
- Les Cercles d'etudes feminins
, Montreal : Secretariat de l'Ecole sociale populaire, 1916, 29 p. (
en ligne
)
- La Federation nationale Saint-Jean-Baptiste et ses associations professionnelles
, Montreal : Secretariat de l'Ecole sociale populaire, 1911, 32 p. (
en ligne
)
Preface
- ≪Preface≫, dans Yvonne Charette,
Nuances
, Montreal : Imprime au Devoir, 1919,
p.
7-8
.
Articles
- L'auteure collabore a
La Bonne parole
, le journal de la Federation nationale Saint-Jean-Baptiste.
- ↑
a
b
c
d
e
f
g
h
i
j
k
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m
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Marie Gerin-Lajoie : un nom, deux œuvres - La Fondation Lionel-Groulx
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Helene Pelletier-Baillargeon,
Marie Gerin-Lajoie. De mere en fille la cause des femmes
, Montreal, Boreal Express,
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Helene Pelletier-Baillargeon,
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Helene Pelletier-Baillargeon,
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Helene Pelletier-Baillargeon,
Marie Gerin-Lajoie. De mere en fille la cause des femmes
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Helene Pelletier-Baillargeon,
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88
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Extrait d'une note de Marie Gerin-Lajoie. Cite par Helene Pelletier-Baillargeon, dans
Marie Gerin-Lajoie. De mere en fille la cause des femmes
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Helene Pelletier-Baillargeon,
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sur le site des Sœurs du Bon-Conseil
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Repertoire des personnages inhumes au cimetiere ayant marque l'histoire de notre societe
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Rue Marie Gerin-Lajoie (Terrebonne)
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Repertoire numerique detaille du fonds Marie Gerin-Lajoie, SBC, 1890-1971
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![Document utilisé pour la rédaction de l’article](//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/b/bc/Icon_flat_design_plume.svg/20px-Icon_flat_design_plume.svg.png)
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