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Kelzang Gyatso

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Kelzang Gyatso
7 e dalai-lama
Image illustrative de l’article Kelzang Gyatso
Thangka du milieu du XVIIIe siecle representant Kelzang Gyatso (1708-1757). Don de Jacques Bacot au musee Guimet .

Nom de reincarnation Kelzang Gyatso
Naissance
Litang , Kham , Tibet
Intronisation

Monastere de Kumbum

Deces (a 48 ans)
Lhassa , Tibet
Successions

Kelzang Gyatso ( tibetain  : ????????????????? , Wylie  : Bskal-bzang Rgya-mtsho , pinyin tibetain  : Gaisang Gyaco ) ( a Litang , Kham - a Lhassa ) est le 7 e dalai-lama , un erudit, meditant, auteur et mystique tibetain . Un poeme attribue au 6 e dalai-lama mentionne sa reincarnation a Litang. Il vecut un moment de grandes turbulences en Asie centrale . L'influence des Mongols au Tibet se reduisait alors, laissant davantage de place a la domination directe de la Chine imperiale mandchoue de la dynastie Qing .

Biographie [ modifier | modifier le code ]

Il est le fils de Sonam Dargye, son pere [ 1 ] , [ 2 ] et de Lobsang Chotso, sa mere [ 3 ] . Certains membres de sa famille furent influents ; sa plus grande sœur est la concubine de Lopzang Danjin et son plus grand frere s'est marie avec la niece de ce dernier et l'a soutenu. Apres la defaite de Lopzang Danjin par l'armee imperiale Qing dans le Kokonor, il a ete remis aux Qing par son propre pere et sera autorise a rester a Dartsedo [ 4 ] .

Retrospectivement, les Tibetains croient que le 6 e dalai-lama a predit sa propre renaissance a Litang dans un poeme [ 3 ]  : ≪ Oiseau blanc (grue blanche) prete-moi tes ailes, Je n'irai pas loin. Ayant fait le tour de Litang Je reviendrai bientot ≫ [ 5 ] .

Contexte de la rivalite entre les Mongols qoshots et dzoungars [ modifier | modifier le code ]

Lkhazan Khan , devenu khan qoshot dont le khanat ( XVI e  siecle ? 1724 ) est autour de Kokonor (nom mongol du lac Qinghai ) en 1703 tue en 1705 Sangye Gyatso , le regent du Tibet , detrone Tsangyang Gyatso , le 6 e dalai lama, qui meurt en 1706 , et prend le titre de roi du Tibet . Il fit nommer Yeshe Gyatso comme nouveau dalai-lama en 1708 avec l'accord de l'empereur mandchou Kangxi [ 6 ] .

Le 7 e dalai-lama est ne en 1708 de Sonam Dargya et Lobsang Chotso a Litang , deux ans apres la disparition du 6 e dalai-lama [ 3 ] .

L'enfant etonne au monastere de Thupten Jampaling par ses prodiges. L'oracle du monastere de Litang predit qu'il serait la reincarnation du precedent dalai-lama [ 3 ] .

Lorsque le jeune garcon atteint l'age de 8 ans, (vers 1716) l'empereur Kangxi , suivant les relations de son pere avec le 5 e dalai-lama, envoie des officiels, et le fait escorter par des troupes chinoises, tibetaines et mongoles au monastere de Kumbum , pres de Xining , dans le Kokonor, ou il est intronise. Une proclamation publique est faite affirmant qu'il est la veritable reincarnation du precedent dalai-lama [ 7 ] .

Les Dzoungars ( Mongols Oirats ) du Xinjiang gouvernes par Tsewang Rabtan prennent a l'aide de 6 000 hommes diriges par Tseren Dondub , son frere, qui traverse la cordillere du Kunlun , puis, le district de Nagtchou-dzong et arrivent a Lhassa en , qu'ils pillent, et tuent Lkhazan Khan [ 8 ]

Les Khalkhas , allies des empereurs chinois mandchous de la dynastie Qing depuis 1691 (et jusqu'a la chute de l'empire en 1911) [ 9 ] se rallient alors a l'empereur mandchou, Qianlong pour chasser les Dzoungars a Lhassa, puis reconquerir les territoires de Mongolie et du Xinjiang .

Relations avec le pouvoir mandchou a Lhassa [ modifier | modifier le code ]

Le , les troupes de l'empereur de Chine, Qing Kangxi prennent Lhassa et en chassent les Dzoungars.

Le 16 octobre de la meme annee, Kelzang Gyatso est intronise au palais du Potala , avec le soutien de la dynastie Qing [ 10 ] , [ 11 ] et recoit les vœux de moine novice du Lobsang Yeshe , 5 e panchen-lama [ 3 ] , qui lui donne le nom de Kelsang Gyatso, puis les vœux complets en 1726, lors de Saga Dawa ( Anniversaire de Bouddha , 4 e  mois du calendrier tibetain ). Il eut pour professeurs : Le 5 e panchen-lama, l'abbe du monastere de Gyurmey, celui du monastere de Shalu , Ngawang Yonten, qui lui apprend les traites philosophiques bouddhistes principaux [ 3 ] .

Reduction des pouvoirs du dalai-lama puis envoi en exil [ modifier | modifier le code ]

Le , l'empereur de Chine, Yongzheng , publie un edit en mandchou, mongol et tibetain, donnant les pouvoirs a Khangchenne , et exige la cooperation de tous a ce dernier et a ses ministres, Polhane , Ngapopa et le pere du dalai-lama, Sonam Dargye. Cette demande semble sans effet puisque des le , Khangchenne est assassine par ses collegues de cabinet. Cela declenche une guerre civile, avec d'un cote, les ministres Ngapopa, Lumpane , Yarawa et Sonam Dargye, et de l'autre cote, Polhane, representant de la province du Tsang, qui avait ete loyal a Khangchenne. Polhane envoie alors une demande d'assistance a l'empereur, accusant ses adversaires de tuer les hommes, de violer les femmes, de bruler les maisons et de detruire les recoltes et surtout accusant le dalai-lama d'etre l'auteur de l'envoi des troupes et donc de ces troubles. Apres la reconquete par les Qing, Polhane est place au pouvoir, avec le titre officiel de wang , ≪ roi ≫ en chinois [ 12 ] . En outre, deux ambans sont mis en place a Lhasa comme representants permanents du pouvoir central et le pouvoir du panchen lama est renforce. Un edit du confie a ce dernier le controle du Tsang et du Tibet occidental jusqu'au mont Kailash , mais il n'accepte de gerer que quelques districts. Le pouvoir seculaire du dalai-lama s'en retrouve d'autant diminue. Une lettre ecrite par l'amban Li Chen , parle de la reticence du panchen lama au pouvoir et precise les droits et devoirs des differents nouveaux dirigeants [ 13 ] .

Le , sur l'ordre de l'empereur, le dalai-lama, escorte de troupes Qing, se retire au Tibet oriental, pour eviter de servir de point de ralliement aux opposants du pouvoir imperial. Bien garde par 2 000 soldats imperiaux, il passe les six annees suivantes pres de Dartsedo, la region de sa famille, vivant la majeure partie de son temps dans un monastere construit hativement [ 14 ] , [ 15 ] . Son pere est egalement envoye en exil puis est pardonne par l'empereur en echange de sa promesse de ne plus s'impliquer dans les affaires politiques. A partir de ce moment est mis en place la tradition d'ennoblir toute la famille des dalai-lamas. Elles sont desormais appelees les familles Yapzhi [ 16 ] .

Fondation du Kashag [ modifier | modifier le code ]

Apres quatre annees d'exil, le dalai-lama est autorise par Polhane a rentrer a Lhassa, a la condition expresse qu'il ne se mele pas des affaires politiques [ 17 ] .

En 1721, a la suite de l'invasion Dzoungar, la cour des Qing supprime le gouvernement civil indigene, institue sous le gouvernement du Ve dalai-lama. Le bureau du sde-srid est remplace par un conseil des ministres appele kashag (bka-bshag). Un commandant de garnison chinoise est stationne a Lhassa, qui interfere frequemment avec les decisions du Kashag, en particulier lorsque les interets chinois sont en jeu [ 18 ] .

A la suite des emeutes de Lhassa de 1750   (en) , l' empereur Qianlong , par l'≪  Ordonnance en 13 articles pour une gouvernance plus effective du Tibet   (en)  ≫, reforme le kashag [ref. necessaire] .

D'apres le Tenzin Gyatso , 14e dalai-lama , en 1751, a 43 ans, il fonde le ≪  Kashag  ≫ ou conseil des ministres pour administrer le gouvernement tibetain et supprime le poste de regent du Tibet ( desi ), car trop de pouvoir sont dans les mains d'un seul homme [ 3 ] , [ 19 ] . A 45 ans , il fonde l'ecole de Tse, situee au sommet du palais du Potala [ 3 ] , [ 20 ] et construit le Norling Kalsang Phodrang au Norbulingka [ 3 ] .

L' ecole de Tse formait les cadres du gouvernement du Tibet. Les diplomes de cette ecole qui voulaient travailler dans la fonction publique devaient subir un entrainement plus pousse dans une ecole religieuse. Les fonctionnaires laics etaient principalement formes a l'ecole de Tse [ 20 ] .

Relations inter-religieuses [ modifier | modifier le code ]

Il autorisa la construction de l' Eglise catholique de Lhassa sur les hauteurs de la ville pour les 25 chretiens de la capitale du Tibet [ 21 ] .

Premiere marque de relations inter-religieuses qui reapparaitront au XX e  siecle, le pape Benoit XIV ecrit une lettre pour le 7 e dalai-lama qu'il remet au pere Francesco della Penna [ 22 ] . Dans un premier temps, les missionnaires catholiques se virent accorder une pleine liberte de culte et de predication, mais, apres la conversion d'une vingtaine de tibetains qui refuserent apres cela de participer aux prieres lamaiques obligatoires, apres un long proces, cinq d'entre eux furent publiquement flagelles le et les missionnaires catholiques durent partir pour le Nepal [A attribuer] [ 23 ] , [ 24 ] .

Ouvrages [ modifier | modifier le code ]

Le 7 e dalai-lama etait un grand lettre. Il a ecrit de nombreux livres, portant principalement sur les tantras. Il etait aussi un grand poete abordant des themes spirituels. Il est mort en 1757 [ 3 ] .

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

  1. (en) Tsepon Wangchuk Deden Shakabpa, One Hundred Thousand Moons : An Advanced Political History of Tibet ( lire en ligne ) , p.  439
  2. (en) Peter Schwieger, The Dalai Lama and the Emperor of China : A Political History of the Tibetan Institution of Reincarnation ( lire en ligne ) , p.  141
  3. a b c d e f g h i et j (en) The Seventh Dalai Lama, Kelsang Gyatso , site du Dalai-Lama
  4. (en) Peter Schwieger, The Dalai Lama and the Emperor of China : A Political History of the Tibetan Institution of Reincarnation ( lire en ligne ) , p.  143
  5. Alexandra David-Neel , Textes tibetains inedits , Editions Pygmalion, 1977, p.  96, (poesie attribuee a Tsangyang Gyatso)
  6. Rene Grousset , ≪  L’Empire des steppes ? Attila, Gengis-khan, Tamerlan  ≫, Classiques de l' Universite du Quebec a Chicoutimi , page 656 : ≪ Depuis la mort du dalai-lama Nag-dbang bLo-bzang, entre 1680 et 1682, l’Eglise lamaique etait administree par le de-srid laique Sangs-rgyas rgya-mcho qui gouvernait a sa guise, d’abord au nom du feu pontife, pretendu toujours vivant, puis (1697) au nom d’un jeune garcon promu par lui dalai-lama. Or Sangs-rgyas etait acquis, contre la Chine, au parti djoungar. L’empereur K’ang-hi, suscita contre lui le khan khochot du Koukou-nor, Latsang-khan, qui, en 1705-1706, entra a Lhassa, mit Sangs-rgyas a mort et deposa le jeune dalai-lama choisi par ce dernier. Apres des intrigues assez compliquees, Latsang-khan et K’ang-hi firent nommer un nouveau dalai-lama, muni de l’investiture chinoise (1708-1710). ≫
  7. (en) ≪  Teacher: Dalai Lama VII , Kalzang Gyatso  ≫, sur himalayanart.org
  8. Rene Grousset , ≪  L’Empire des steppes ? Attila, Gengis-khan, Tamerlan  ≫, Classiques de l' Universite du Quebec a Chicoutimi , page 656-657 : ≪ Tsewang Rabdan vit ces changements d’un mauvais œil. Vers juin 1717 il envoya au Tibet une armee commandee par son frere Tsereng Dondoub qui, de Khotan, par une marche d’une audace inouie a travers le Kouen-lun et les hauts plateaux desertiques, marcha droit sur le district de Nagtchou-dzong […] Latsang reussit jusqu’en octobre a arreter l’ennemi a un defile entre Nagtchoudzong et le Tongri-nor, sans doute au pas de Chang-chong-la ; a la fin il dut battre en retraite sur Lhassa, suivi a la piste par l’armee de Tsereng Dondoub. Le une trahison ouvrit a ce dernier les portes de Lhassa. Pendant trois jours les troupes djoungares massacrerent tous les tenants, reels ou supposes, du parti chinois. Latsang khan, qui avait cherche a defendre le Potala, fut tue dans sa fuite. ≫
  9. Rene Grousset , ≪  L’Empire des steppes ? Attila, Gengis-khan, Tamerlan  ≫, Classiques de l' Universite du Quebec a Chicoutimi , p.  652 ≪ K’ang-hi reunit au Dolon-nor en mai 1691 une diete ou les principaux chefs khalkha et, en tete, le Touchetou-khan et le Setchen-khan, se reconnurent vassaux de l’Empire sino-mandchou, lui payant desormais tribut, recevant en revanche une pension sur la cassette imperiale et unis a lui par un lien de fidelite personnelle qu’allaient cimenter de temps en temps des alliances de famille. […]Le fait est que le jour ou, en 1912, la dynastie mandchoue s’ecroulera, remplacee par la Republique chinoise, les princes mongols, s’estimant delies du serment de fidelite, se declareront independants ≫ .
  10. Glenn H, The Fourteen Dalai Lamas : A Sacred Legacy of Reincarnations , (2001) Clear Light Publishers . ( ISBN   1-57416-092-3 ) .
  11. Ram Rahul, Central Asia : an outline , Concept Publishing Company, , 170  p. ( ISBN   978-81-7022-679-6 , presentation en ligne ) .
  12. (en) Sam van Schaik, Tibet. A History , Yale University Press, Newhaven and London, 2013, p. 282 : ≪  His official tite was Wang, meaning 'King' in Chinese (Petech, 1972:241  ≫ .
  13. (en) Peter Schwieger, The Dalai Lama and the Emperor of China : A Political History of the Tibetan Institution of Reincarnation ( lire en ligne ) , p.  139-144 .
  14. (en) Peter Schwieger, The Dalai Lama and the Emperor of China : A Political History of the Tibetan Institution of Reincarnation ( lire en ligne ) , p.  145 ≪  On December 23, 1728, the Dalai Lama accompanied the retreating Qing troops to eastern Tibet. Well guarded by two thousand soldiers, he spent the next six years in his home area, living most of the time in a hastily constructed monastery not far from Dartsedo  ≫ .
  15. Sam van Schaik, Tibet. A History , op. cit. , pp. 142-143 : ≪  First of all the emperor insisted that the Dalai Lama should leave Lhasa. Though he had played no active role in the uprising, he was considered too dangerous as a rallying point for anti-Manchu rebels. So with the greatest courtsesy it was 'suggested' that the Dalai Lama should travel to Eastern Tibet, for the good of the people. The Dalai Lama ended up in a military garrison in his hom town of Litang  ≫ .
  16. (en) Peter Schwieger, The Dalai Lama and the Emperor of China : A Political History of the Tibetan Institution of Reincarnation ( lire en ligne ) , p.  145 .
  17. Sam van Schaik, op. cit. , p. 143 : ≪  Pollhane was wise enough to allow the Dalai Lama to come back to Lhasa after four years in exile. The Dalai Lama returned to great celebrations and elaborate ceremonies but he was now under firms orders to keep to religious matters  ≫ .
  18. ( Norbu 2001 , p.  76) ≪  Following the Zunghar invasion, the Qing court intervened militarily in Tibet and, in 1721, removed the indigenous civil government that had existed in Lhasa since the V Dalai Lama's rule. The office of sde-srid was replaced by a council of minsisters (bka-bshag). The council was to govern Tibet under the close supervision of the Chinese garrison commander stationed in Lhasa, who frequently interfered with Kashag decisions, especially when Chinese interests were involved.  ≫
  19. Thupten Jigme Norbu & Colin Turnbull , Tibet : An account of the history, the religion and the people of Tibet, p. 311.
  20. a et b Jetsun Pema , Gilles van Grasdorff , Tibet, mon histoire , Ed : Ramsay.
  21. Gilles van Grasdorff , A la decouverte de l’Asie avec les Missions etrangeres , Omnibus, juin 2008 ( ISBN   978-2-258-07693-8 ) , p.  666.
  22. Roland Barraux , Histoire des Dalai-Lamas. Quatorze reflets sur le Lac des Visions , Albin Michel, coll. "Espaces libres", 2002, 393  p. ( ISBN   2-226-13317-8 ) .
  23. Alexandra David-Neel, Voyage d'une Parisienne a Lhassa , edition Omnibus de 1994, p.   280-282 .
  24. (it) Elio Marini, The visit of the Dalai Lama - Pennabilli (PS-Italy) .

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

Œuvres du 7 e dalai-lama [ modifier | modifier le code ]

  • (en) Selected Works of the Dalai Lama VII  : Songs of Spiritual Change , trad. par Glenn H. Mullin , Snow Lion, coll. ≪ Teachings of the Dalai Lamas ≫, 2 e    ed. revisee 1985, 225 p.
  • (en) Gems of Wisdom from the Seventh Dalai Lama , trad. Glenn H. Mullin, Snow Lion, 1999.
  • Gilles Van Grasdorff, Paroles des Dalai-Lamas. Un message spirituel pour les hommes d'aujourd'hui et de demain (1996), trad. Vincent Dupont, Marabout, 1997, 275 p.

Etudes sur le 7 e dalai-lama [ modifier | modifier le code ]

  • Bernard Baudouin, Le grand livre des Dalai-Lamas. Transmission du pouvoir spirituel dans le bouddhisme tibetain , ed. de Vecchi, 2004, 134 p. ( ISBN   2-7328-8185-6 )
  • Roland Barraux , Histoire des Dalai-Lamas. Quatorze reflets sur le Lac des Visions , Albin Michel, coll. "Espaces libres", 2002, 393 p. ( ISBN   2-226-13317-8 )
  • Martin Brauen , Les Dalai-Lamas. Les 14 reincarnations du bodhisattva Avalokiteshvara , Favre, 2005, 303 p.
  • Glenn H. Mullin, Les quatorze Dalai-Lamas (2001), preface du 14 e Dalai-Lama, trad. Philippe Beaudoin, Editions du Rocher , 2004, 616 p.
  • (en) Xiangyun Wang, “The Qing Court's Tibet Connections: Lcang skya Rol pa'i rdo rje and the Qianlong Emperor”, Harvard Journal of Asiatic Studies , vol. 60, n o  1, 2000, p.   125-163 .
  • (en) Dawa Norbu, China's Tibet Policy , Padstow, Curzon, coll.  ≪ Durham East-Asia series. ≫, ( ISBN   978-0-203-82695-9 , lire en ligne ) , p.  76

Voir aussi [ modifier | modifier le code ]

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Liens externes [ modifier | modifier le code ]

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