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Jules Dalou

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Jules Dalou
Jules Dalou dans son atelier en 1899.
Biographie
Naissance
Deces
Sepulture
Cimetiere du Montparnasse , Tombe de Jules Dalou ( d ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Aime-Jules Dalou Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalite
Formation
Activites
Autres informations
A travaille pour
Ecole des beaux-arts ( en ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Mouvements
New Sculpture ( en ) , realisme , Neo-Baroque ( en ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Personnes liees
Genre artistique
Distinctions
Œuvres principales
Le Triomphe de la Republique , Mirabeau repondant a Dreux-Breze , La Fraternite ( d ) , monument a Delacroix ( d ) , Triomphe de Silene ( d ) Voir et modifier les données sur Wikidata
signature de Jules Dalou
Signature de Jules Dalou.
Vue de la sepulture.

Jules Dalou , ne a Paris le et mort dans la meme ville le , est un sculpteur francais .

Biographie [ modifier | modifier le code ]

Aime Jules Dalou est ne dans une famille d’artisans gantiers. Ses parents protestants l’elevent dans la laicite et l’amour de la Republique .

Jeunesse [ modifier | modifier le code ]

Jules Dalou montre tres jeune des dons pour le modelage et le dessin, ce qui lui vaut l’attention de Jean-Baptiste Carpeaux , lequel le fait entrer en 1852 a la Petite Ecole, future Ecole nationale superieure des arts decoratifs de Paris , ou il suit les cours d' Horace Lecoq de Boisbaudran .

En 1854, il est admis a l’ Ecole des beaux-arts de Paris ou il etudie la peinture dans l'atelier d' Abel de Pujol et la sculpture dans l'atelier de Francisque Duret [ 1 ] . Il commence a gagner sa vie en travaillant pour des ornemanistes . C'est chez l'un d'eux que debute son amitie avec Auguste Rodin [ 2 ] . Paris est alors en pleine mutation, Dalou se forge une experience en travaillant dans les grands chantiers de la capitale en produisant de la sculpture decorative pour des immeubles sur les grandes avenues parisiennes : a ce titre il participe a la decoration de l'hotel de La Paiva avenue des Champs-Elysees . Il travaille egalement pour l'atelier d’orfevrerie des freres Auguste et Joseph Fanniere.

Il se presente quatre fois, sans succes, au concours du prix de Rome [ 3 ] . Il en concoit de la rancœur envers les institutions artistiques officielles.

Il presente au Salon de 1869 un Daphnis et Chloe , et La Brodeuse au Salon de 1870. Ces deux pieces sont acquises par l'Etat [ 4 ] .

Durant ces annees obscures de formation, Dalou epouse Irma Vuillier, une femme de fort caractere qui le soutiendra toute sa vie. Le couple n’a qu’un enfant, Georgette (1867-1915), une fille nee avec un handicap mental qui necessite, jusqu’a sa mort pendant la Premiere Guerre mondiale , la presence a ses cotes d’un adulte responsable. C’est pour assurer le financement de l'hebergement a vie de sa fille par l’ Orphelinat des Arts que Dalou a legue le fonds de son atelier a cette institution ; ainsi les chercheurs disposent-ils actuellement de plus de 300 œuvres achetees par la ville de Paris a l’orphelinat en 1905.

La Commune de Paris [ modifier | modifier le code ]

Le conflit franco-prussien bouleverse l’ordre du Second Empire et la defaite de Sedan provoque la proclamation de la Troisieme Republique . Dalou s’engage dans le combat. On le retrouve officier au 83 e  bataillon des federes. Le , la Commune de Paris met en place un gouvernement insurrectionnel. Gustave Courbet que l’on vient d’elire a la Federation des artistes de Paris , appelle Dalou aupres de lui et le fait nommer administrateur provisoire adjoint au musee du Louvre , au cote d' Henry Barbet de Jouy [ 5 ] , avec pour mission de proteger les collections du vandalisme. Le , Dalou et sa famille, pour mener a bien sa surveillance, s’installent dans le musee.

L’exil a Londres (1871-1879) [ modifier | modifier le code ]

Lawrence Alma-Tadema , Dalou, sa femme et sa fille (1876), Paris , musee d'Orsay .

Au lendemain de la Semaine sanglante de , Dalou, sa femme et leur fille sont menaces en tant que Communards, contraints a l'exil et demandent le droit d'asile. Le de la meme annee, ils peuvent rejoindre l' Angleterre et sont accueillis par son ancien condisciple de la Petite Ecole, le peintre et graveur Alphonse Legros .

A Londres les premieres annees sont difficiles mais grace a l'aide bienveillante que lui apporte Legros [ 6 ] , tres introduit a la City , il realise une serie de statuettes en terre cuite inspirees par les paysannes boulonnaises ou par des sujets intimistes ( Liseuse , Berceuse ), et des portraits de l'aristocratie anglaise. A la fin de 1874, Dalou trouve un emploi de professeur de modelage a la National Art Training School et a la City and Guilds of London Art School   (en) . Son influence est determinante aupres des sculpteurs britanniques de la New Sculpture   (en) . Il recoit commande d’une fontaine publique en marbre intitulee Charity (1877) [ 7 ] pres du Royal Exchange a Londres, et d'un monument pour la reine Victoria dedie a ses petits-enfants situe dans la chapelle privee de Frogmore au chateau de Windsor .

Pendant cet exil, le gouvernement francais choisit d'envoyer en 1876 le bronze de La Brodeuse dans sa selection officielle de la France pour l' Exposition universelle de Philadelphie . Mais malgre toutes les propositions qui lui sont faites par ses confreres anglais, il refuse d'exposer dans la section anglaise du Salon en France, ne voulant pas etre abrite par un drapeau etranger dans son propre pays.

Le , le 3 e  Conseil de guerre de Paris le condamne aux travaux forces a perpetuite par contumace pour ses fonctions d'officier dans la Commune et son poste d'administrateur adjoint du Louvre. Ayant refuse de demander grace, ce n’est qu’en , apres avoir ete amnistie sous la presidence Jules Grevy que Dalou et sa famille rentrent enfin d’exil [ 8 ] .

Retour en France [ modifier | modifier le code ]

Boulonnaise allaittant (vers 1890), Atlanta , High Museum of Art .
Henri Rochefort (1890), Paris , musee d'Orsay .
Bacchanale (1898), Paris , fontaine du jardin des serres d'Auteuil .

Dalou retourne en France apres avoir concouru pour une statue monumentale de la Republique destinee a la place de la Republique a Paris. L’envoi de Dalou ne correspondant pas aux criteres requis, le jury choisit finalement le projet des freres Morice , le Monument a la Republique . Cependant son groupe Le Triomphe de la Republique est commande par la municipalite pour etre erige sur la place du Trone, renommee place de la Nation en 1880. Dalou consacrera vingt ans a la realisation de ce monument.

En 1890, sous la presidence de Meissonier , avec un comite compose notamment de Jules Dalou, une nouvelle Societe nationale des beaux-arts recommence a organiser des expositions annuelles au Salon du Champ-de-Mars [ 9 ] .

Les annees 1881 et 1882 sont difficiles : pendant cette periode il reprend une activite de sculpteur-decorateur pour l'ornemaniste Michel-Victor Cruchet . Il collabore a plusieurs occasions avec le ceramiste Ernest Chaplet [ 10 ] , mais le Salon de 1883 le revele enfin au grand public francais. Il y expose les platres de ses deux hauts reliefs : La Fraternite des Peuples (egalement connu sous le titre la Republique ) [ 11 ] et Mirabeau repondant a Dreux-Breze , pour lequel on lui remet la medaille d'honneur. Aujourd'hui et le bronze du Mirabeau repondant a Dreux-Breze , acheve en 1890, acquis par l'Etat, orne la salle Casimir-Perier du Palais Bourbon a Paris.

Fuyant le monde et vivant en famille, Dalou se livre a un labeur considerable. En hommage au peintre dont il admire l'œuvre, Il execute le Monument a Eugene Delacroix , Jardin du Luxembourg (1890). Il realise les Monuments a Alphand , avenue Foch (1891-1896, inaugure en 1899), a Boussingault a l'Ecole des arts et metiers (1895), a Jean Leclaire au square des Epinettes a Paris (1896), a Charles Floquet au cimetiere du Pere-Lachaise (1897), a Sidi-Brahim a Oran [ 12 ] (1898), a Lazare Hoche a Quiberon (1902). Il concoit un projet de Monument a Victor Hugo au Pantheon (1886), un projet de Monument a la Justice pour le Palais Bourbon (1892), et un projet de Monument aux Orateurs destine au Pantheon (1896-1898), tous les trois non realises.

On lui commande les gisants d' Auguste Blanqui (1885), celui de Victor Noir (1890), et le medaillon en bronze de Charles Amouroux (1885), tous visibles au cimetiere du Pere-Lachaise .

Il fait sentir toute son admiration pour la peinture de Rubens dans son groupe du Triomphe de Silene place au jardin du Luxembourg (1885). La ville de Paris lui commande la statue d' Antoine Lavoisier pour le grand amphitheatre de la Sorbonne (1887), la fontaine de La Bacchanale du Jardin des serres d'Auteuil (1895-1898), la statue de La Chanson a l' hotel de ville de Paris , qui reproduit les traits de la chanteuse Yvette Guilbert (1895).

Parmi les nombreux bustes qu'il produit apres son retour en France, on peut citer ceux de Charcot (1884), Auguste Vacquerie (1885), Henri Rochefort (1888), Gustave Courbet (1890), Albert Liouville (1890), M lle  Gilardi (1890), Jules Jouy (1892) [ 13 ] , Ernest Cresson (1897), Paul Richer (1900), Jean Gigoux (1900), et Marie Laurent (inacheve, 1901).

Pour l' Exposition universelle de 1889 , dite Exposition du Centenaire, on inaugure sur la place de la Nation le platre (teinte couleur bronze) du groupe allegorique du Triomphe de la Republique commande par la ville de Paris en 1879. Bien que la version bronze du groupe ne fut inauguree qu'en 1899 [ 14 ] , cette œuvre remporte le grand prix de sculpture de l'exposition.

Dalou quitte la Societe des artistes francais en 1890 pour exposer desormais a la Societe nationale des beaux-arts , dont il est membre fondateur avec Ernest Meissonier , Auguste Rodin et Pierre Puvis de Chavannes .

Nomme chevalier de la Legion d'honneur en 1883, puis promu officier par le president Carnot en 1889, il est eleve au grade de commandeur du meme ordre en 1899 par le president Loubet lors de l'inauguration de son monument du Triomphe de la Republique .

Mort et inhumation [ modifier | modifier le code ]

Jules Dalou meurt le a son domicile au 22, avenue du Maine dans le 15 e  arrondissement de Paris [ 15 ] d'une affection cardiaque [ 16 ] . Il est inhume a Paris au cimetiere du Montparnasse ( 4 e  division) [ 17 ] .

Le Monument aux Travailleurs [ modifier | modifier le code ]

Buste de terrassier avant l'application de la patine dans la fonderie Hebrard en 1910. Photographie de l' agence Rol .

Il n'a pas le temps de mener a bien son dernier grand projet, un Monument aux Travailleurs (ou Monument aux Ouvriers ), dont l'idee lui vient en 1889 au lendemain de la premiere inauguration du Triomphe de la Republique . Le formalisme de la ceremonie et les defiles militaires avaient tenu le peuple a l'ecart de cette manifestation officielle. Dalou en avait ete decu. Fidele a son ideal republicain, il eut souhaite que cette inauguration soit l'occasion d'une grande fete populaire et democratique (ce qu'elle fut lors de l'inauguration du bronze en 1899). Son idee est de rendre un hommage au monde des ouvriers, des artisans et des paysans en leur dediant cette œuvre dont ils constituent le sujet central. A la fin de sa carriere il decrit ce projet en ces termes [ 18 ]  : ≪ Je crois avoir enfin trouve le monument aux Ouvriers que je cherche depuis 1889. La disposition generale tiendrait de l'insigne de Priape , Dieu des Jardins, embleme de la creation, de la borne, berceau et tombe du pauvre, enfin du tuyau de l'usine, prison ou se passe sa vie. Sobre, sans moulure ni ornement, je desire qu'il ait l'aspect grave et imposant, s'il se peut, que le sujet comporte. L'executerai-je ? La est la question. Je suis bien age et de plus ma sante est bien debile ≫ .

Les nombreuses esquisses de ce monument trouvees dans son atelier apres son deces sont maintenant conservees au Petit Palais . La statue du Grand paysan (vers 1897-1902, Paris, musee d'Orsay ) prefigure, a une echelle moindre, les personnages qu'il projetait de placer dans les seize niches entourant la colonne, le tout devant mesurer 32 metres de haut [ 19 ] .

Distinctions [ modifier | modifier le code ]

Œuvres [ modifier | modifier le code ]

Œuvres monumentales [ modifier | modifier le code ]

Monument a Boussingault (1895), dans son etat original dans la cour du Conservatoire national des arts et metiers a Paris , aujourd'hui au CNAM a La Plaine Saint-Denis [ 20 ] .

Œuvres dans les collections publiques [ modifier | modifier le code ]

Etats-Unis [ modifier | modifier le code ]

France [ modifier | modifier le code ]

Gustave Courbet (1890), musee des Beaux-Arts et d'Archeologie de Besancon .
Jules Jouy (1899), Paris , cimetiere du Pere-Lachaise .

Royaume-Uni [ modifier | modifier le code ]

Suisse [ modifier | modifier le code ]

Autres œuvres [ modifier | modifier le code ]

Le Progres entrainant le Commerce et l'Industrie (1895), fronton des Grands Magasins Dufayel , Paris , rue de Clignancourt .

Œuvres posthumes [ modifier | modifier le code ]

Apres sa mort, Camille Lefevre termine le Monument a Gambetta de Bordeaux (1904) [ 39 ] .

Camille Lefevre execute d'apres les esquisses de Dalou le Monument a Emile Levassor , appele aussi Monument de l'Automobiliste (1907), visible dans le square Alexandre-et-Rene-Parodi a Paris.

Le Monument a Scheurer-Kestner , senateur dreyfusard , est acheve par les praticiens de Dalou d'apres les modeles en platre des figures a grandeur d'execution qui sont entierement de la main de l'artiste [ 40 ] , il est inaugure en 1908 a Paris au jardin du Luxembourg .

Expositions [ modifier | modifier le code ]

  • Les sculptures de Dalou. Soixante sculptures : bronzes, terres-cuites, platres originaux , Galerie Delestre, Paris, [ 42 ] .

Reception critique [ modifier | modifier le code ]

  • ≪ Fidele au sens du monumental jusque dans ses petites figurines, il a su eviter les pieges du realisme et marier le naturalisme aux conquetes de l'impressionnisme. ≫ - Gerald Schurr [ 42 ]

Hommages [ modifier | modifier le code ]

Les municipalites de Paris ( rue Dalou , 15 e  arrondissement ), Beziers , Brive-la-Gaillarde , Evry , La Rochelle , Malakoff , Perpignan , Toulouse ( rue Jules-Dalou ), Vitry-sur-Seine et Montreal (quartier de Snowdon) lui ont dedie des voies portant son nom.

Le nom du cafe-brasserie Le Dalou au 30, place de la Nation dans le 12 e  arrondissement de Paris , constitue un hommage plus populaire.

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

  1. Duret fut aussi le maitre de Carpeaux.
  2. Gustave Coquiot , Rodin a l'Hotel de Biron et a Meudon , Ollendorff, Paris, 1917, p.  109 ( en ligne ).
  3. Biographie Insecula .
  4. Ces marbres resterent inacheves et les platres furent detruits.
  5. Henri Barbet de Jouy (1812-1896), fils de Jacques-Juste Barbet de Jouy .
  6. Agence France-Presse, ≪  Les impressionnistes a Londres, un regard sur l'Angleterre, a la Tate Britain  ≫, sur francetvinfo.fr , (consulte le ) .
  7. Le marbre original (non localise) s'etant degrade rapidement, il fut remplace par une copie en bronze en 1897.
  8. Maurice Dreyfous, ≪  Dalou, sa vie et son œuvre  ≫, sur archive.org (consulte le ) , p.  97.
  9. Carolus Duran, Des amities modernes [ref. incomplete] .
  10. Dont l'atelier se trouve au 153, rue Blomet a Paris.
  11. Le platre original orne la salle des mariages de la mairie du 10 e  arrondissement de Paris . Le marbre (1908) est conserve dans les reserves du Petit Palais a Paris.
  12. a et b Compose d'un obelisque supportant une statue de la Victoire a son sommet et, au niveau de la petite base, d'une statue de la France. Cet ensemble a ete transforme en Monument a la gloire d' Abd el-Kader apres l'independance de l'Algerie : la statue de la France et le cartouche commemoratif ont ete retires et quatre medaillons en bas-reliefs identiques du portrait d'Abd el-Kader ont ete disposes sur les quatre faces de l'obelisque au niveau de la petite base en 1969. La statue de la Victoire est restee inchangee. La statue de la France et le cartouche commemoratif ont ete integres dans un nouveau monument inaugure le a Perissac . Voir les photographies du nouveau monument a Perissac .
  13. Une epreuve en bronze de 1899 orne la tombe du chansonnier au cimetiere du Pere-Lachaise.
  14. Pascal Ory, L'Expo universelle, 1889 , Ed. Complexe, 1989.
  15. Archives de Paris 15 e , acte de deces n o  1639, annee 1902 (vue 18/31) .
  16. Necrologie dans le journal L'Aurore du 16 avril 1902 via Gallica .
  17. Registre journalier d'inhumation de Paris Montparnasse de 1902, en date du 17 avril (page 3/31) .
  18. Le , ≪ Journal de Dalou ≫ transcrit par Maurice Dreyfous dans : Dalou, sa vie et son œuvre , p.  256.
  19. ≪ Grand paysan ≫ , notice du musee d'Orsay.
  20. Le cartouche en bronze de la colonne a disparu.
  21. Le cartouche en bronze en haut de la colonne a disparu.
  22. Detruit en 1941 par l'occupant allemand pour refonte destinee a l'armement. Refondu et reerige en 1971 , mais il manque le seau que tenait l'ouvrier dans sa main droite.
  23. Base Mistral
  24. Le buste de Delacroix a ete deplace en face de la maison natale du peintre, devenue mediatheque. La stele, privee de ses ornements en bronze, a ete transformee en monument aux morts de Saint-Maurice .
  25. Realise avec l'architecte Jean Camille Formige
  26. Georges Belleiche, Statues de Paris - Les rues de la Rive Droite , Massin Editeur, Paris, 2006.
  27. Le monument est aujourd’hui conserve dans les reserves du musee d'Aquitaine a Bordeaux.
  28. ≪ Statuette of the Marquis de Lafayette ≫ , notice sur le site du Johnson Museum of Art.
  29. Notice sur /collections-musees.bordeaux.fr.
  30. Projet du monument de Gambetta notice sur /collections-musees.bordeaux.fr.
  31. La Sagesse soutenant la Liberte notice sur /collections-musees.bordeaux.fr.
  32. Notice sur musee-orsay.fr.
  33. ≪ Jules Dalou ≫ dans les collections du Petit Palais.
  34. ≪ Vase L'Age d'or  ≫ sur parismuseescollections.paris.fr .
  35. Musee du Touquet-Paris-Plage , Lumiere d’Opale : Les peintres etrangers de la colonie d’Etaples (1880-1920) , Le Touquet-Paris-Plage, Aprim & Henry 62170 Montreuil, , 75  p. ( ISBN   978-2-9580069-0-7 ) , p.  15 .
  36. (en) Alphonse Legros , notice sur collections.vam.ac.uk.
  37. Pierre Kjellberg, ≪ Promenade autour de quelques statues de Paris ≫, La Gazette de l'Hotel Drouot , n°23, 6 juin 1975, p. 24-25.
  38. ≪ Le Progres entrainant le Commerce et l'Industrie, fronton pour la maison Dufayel ≫ , notice de la maquette en platre sur parismuseescollections.paris.fr .
  39. Remis a la ville de Bordeaux le , ce monument est inaugure un an apres par le president de la republique Emile Loubet , le .
  40. ≪ Comme s'il eut eu conscience de ne pas vivre assez longtemps pour donner a ce marbre le dernier coup de ciseau, Dalou en avait fait le modele avec une perfection de details si meticuleuse que de la reproduction rigoureuse de ce modele devait resulter un marbre aussi impeccable que si le maitre eut pu le terminer de sa main ≫ ? Maurice Dreyfous, Dalou, sa vie et son œuvre , Paris, Laurens, 1903, p.  271 ( en ligne sur archive.org ).
  41. Depose dans les reserves du musee d'Aquitaine a Bordeaux.
  42. a et b Gerald Schurr, ≪ Les sculptures de Dalou ≫, La Gazette de l'Hotel Drouot , n°44, 17 decembre 1976, p. 23.

Annexes [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

Monographie [ modifier | modifier le code ]

  • Maurice Dreyfous , Dalou, sa vie et son œuvre , Paris, Laurens, 1903.
  • Paul Cornu , Jules Dalou , Paris, H.Fabre, n o  8 de la collection ≪ Portraits d'hier ≫, .
  • Henriette Caillaux , Aime-Jules Dalou, L'homme - L'œuvre , Paris, Delagrave, 1935.
  • (en) John M. Hunisak, The sculptor Jules Dalou - Studies in Style and Imagery , New York et Londres, Garland Publishing, 1977.
  • Amelie Simier, Daniel Imbert, Guenola Groud, Dalou a Paris , Paris, Editions Paris Musees, 2010 ( ISBN   978-2-7596-0121-9 ) .
  • Amelie Simier, Marine Kisiel, Jules Dalou : le sculpteur de la Republique , Paris, Editions Paris Musees, 2013 ( ISBN   9782759601899 ) .
  • Ute Hunigen, Le Triomphe de la Republique. Das Republikdenkmal von Aime-Jules Dalou im Kontext der kunstpolitischen und kunstlerischen Stromungen der III. Republik von 1870 bis 1899 , ed. Katrin Pollems-Braunfels, Munich, Hirmer Verlag, 2021 ( ISBN   9783777436838 ) .

Article de presse [ modifier | modifier le code ]

Ouvrage generaliste [ modifier | modifier le code ]

  • Stanislas Lami , Dictionnaire des sculpteurs de l'Ecole francaise au XIX e  siecle , Paris, 4 volumes, 1914-1921.
  • Maurice Rheims , La sculpture au XIX e  siecle , Paris, Arts et Metiers Graphiques, 1972.
  • Therese Burollet, ≪ Deux grands fonds de sculptures du Musee du Petit Palais : Dalou et Carries ≫, in La sculpture du XIX e  siecle, une memoire retrouvee. Les fonds de sculpture , Paris, Rencontres de l’ Ecole du Louvre , La Documentation francaise, 1986 ( ISBN   2110016698 ) .
  • Collectif, Sculptures, de Carpeaux a Rodin : Exposition, Mont-de-Marsan, Musee Despiau-Wlerick, - , [catalogue], Musees de Mont-de-Marsan, 2000 ( ISBN   9782914098021 ) .
  • Bertrand Tillier, La Commune de Paris, revolution sans images ? Politique et representations dans la France republicaine, 1871-1914 , Seyssel, Champ Vallon, 2004 ( ISBN   9782876733909 ) .
  • Georges Belleiche, Statues de Paris - Les rues de la Rive Droite , Paris, Massin Editeur, 2006.
  • Guillaume Peigne, Dictionnaire des sculpteurs neo-baroques francais (1870-1914) , Paris, CTHS, coll.  ≪ Format n o  71 ≫, , 559  p. ( ISBN   978-2-7355-0780-1 , OCLC   828238758 , BNF   43504839 ) , p.  159-169 .

Travail universitaire [ modifier | modifier le code ]

  • John Michael Hunisak, The sculptor Jules Dalou: studies in his style and imagery , these de la New York University, 1976.
  • Cloe Viala, La reception de l'art d'Aime-Jules Dalou entre 1883 et 1889 : une reconnaissance apres l'exil , memoire d'etude de l'Ecole du Louvre, 2009.
  • Vladimir Nestorov, Jules Dalou et Rubens : histoire d'une inspiration , memoire d'etude de l'Ecole du Louvre, 2013.
  • Jennifer Getson, Jules Dalou and the Problem of Monumental Commemoration in Third-Republic Paris , these de l'Ohio State University, 2013.
  • Andrew Eschelbacher, Labor in the cauldron of progress: Jules Dalou, the inconstant worker, and Paris's memorial landscape , these de l'University of Maryland, 2013.

Varia [ modifier | modifier le code ]

  • Adolphe Giraudon, Catalogue de l'œuvre de Jules Dalou , catalogue n o  18, Chartres, Bibliotheque Photographique A.Giraudon, 1904.

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Liens externes [ modifier | modifier le code ]

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