L'
historiographie
de Lyon
se rapporte a la perception de l'Histoire par les historiens ayant ecrits et etudies l'
histoire de Lyon
. Lyon possede une tradition historiographique remontant a la Renaissance et est l'une des villes de France les plus racontees par les historiens
[
d 1
]
.
Lyon a des historiens des la Renaissance. De nombreux erudits tels
Pierre Sala
,
Symphorien Champier
ou
Claude de Bellievre
, fascines par les antiquites decouvertes, les accumulerent et se pencherent sur le passe de leur cite, essentiellement l'antiquite.
La premiere trace d'une etude du passe lyonnais est la compilation par l'erudit Pietro Aleandro d'inscriptions antiques de la ville en 1501. Mais le premier erudit lyonnais a travailler sur l'histoire antique de la ville est Pierre Sala. Il collectionne les antiquites decouvertes dans sa maison de l'
Antiquaille
et en dresse l'inventaire dans un manuscrit. A sa suite un reseau d'erudits compilent, etudient et publient sur les decouvertes du passe romain de Lyon. Outre Sala, Champier et Bellievre, il y a egalement
Guillaume du Choul
,
Gabriel Simeoni
ou
Nicolas de Nicolay
[
d 1
]
.
Toutefois, ces passionnes de traces antiques ne se lancent pas dans un veritable travail historique vis-a-vis de leur ville. Le premier erudit a publier une histoire de Lyon est
Guillaume Paradin
en 1573
[
1
]
. Il commence par reprendre les travaux de plusieurs predecesseurs sur les inscriptions antiques de la ville mais il y ajoute une description chronologique des evenements survenus a Lyon, s'arretant en 1559, avec les fetes en l'honneur de la
Paix de Cateau-Cambresis
[
d 2
]
.
Il est suivi quelques decennies plus tard par Claude de Rubys qui publie en 1604 la
Veritable histoire de la ville de Lyon
[
d 2
]
.
Les historiens lyonnais a l'epoque moderne
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]
Ce n'est qu'a partir du milieu du XVIIe siecle que l'histoire de Lyon se developpe reellement. Contrairement a de nombreuses autres villes, le consulat ne finance pas pendant longtemps d'historiens pour relater les chroniques de la vie municipale et glorifier la cite. Ce n'est qu'en 1640 que les elites se decident et demande au milieu jesuite de la ville d'entamer le travail. En 1643, le pere Labbe est retribue pour rediger une histoire dela ville en trois tomes. Il n'acheve pas l'ouvrage mais le
consulat
finance d'autres erudits pour reprendre la tache, surtout des jesuites. Ainsi sont tour a tour publiees :
- Lyon dans son lustre
, en 1650 par Samuel Chapuzeau
- Histoire des martyrs de Lyon
en 1662 par Theophile Raynaud
- Histoire de l'Eglise de Lyon
en 1662 par Jean de Saint-Aubin
- Histoire de la ville de Lyon
en 1666 par le meme
[
d 3
]
.
Aux
XVIII
e
et
XIX
e
siecles, l'historiographie se penche sur les
aqueducs antiques
, notamment
Guillaume Marie Delorme
et
Alexandre Flacheron
[
2
]
.
La question de l'emplacement de l'
amphitheatre des Trois Gaules
est egalement souvent evoquee, pour des raisons religieuses notamment, en raison de son association aux
martyrs de Lyon
. De la Renaissance au
XIX
e
siecle, plusieurs hypotheses placent l'edifice a
Saint-Jean
,
Ainay
ou a la place de l'
odeon
puis celle du
theatre
. L'identification certaine de l'amphitheatre avec les ruines situees
rue des Tables-Claudiennes
ne se fait qu'en 1958 avec la decouverte de son
epigraphe
. Ces ruines etaient reperees des la Renaissance et identifiees depuis 1820, mais la presence de l'
euripe
avaient fait croire a tort a
Francois Artaud
qu'il s'agissait d'un dispositif d’inondation destine a organiser des
naumachies
[
3
]
.
L'etude du Moyen Age lyonnais a partir du
XIX
e
siecle
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]
L'histoire de
Lyon a la Renaissance
commence a etre bien connue, et ses multiples aspects, politiques, economiques, sociaux, religieux ou culturels ont chacun ete etudies. Il reste encore toutefois de nombreux chantiers en suspens, qui attendent des historiens.
Des etudes sur le consulat pourraient etre menees a partir notamment des series des deliberations consulaires
[
N 1
]
. Une etude de la communication dans la ville pourrait ainsi etre menee a l'egal de ce qui a ete fait pour le
XVII
e
siecle
[
4
]
. Les sources fiscales n'ont egalement jamais encore ete exploitees dans leur ensemble, mais seulement lors d'articles sur des points ponctuels. De meme, les testaments des Lyonnais n'ont ete exploites que pour l'epoque anterieure par Marie-Therese Lorcin, dont les travaux pourraient etre poursuivis
[
5
]
,
≪ mais sur un plan plus structurel, c'est toute la question de l'espace sacre qui serait a reprendre ≫
[
a 1
]
.
Sur les aspects economiques et sociaux, beaucoup a ete fait, sauf en ce qui concerne les grands marchands eux-memes et leurs familles. Si la disparition d'une large part des archives notariees pose de lourds problemes, d'autres traces subsistent. Le manque de monographies se ressent egalement dans les domaines des imprimeurs ou des artistes
[
a 2
]
.
Enfin, la position frontaliere de la ville n'a que peu ete etudiee dans ce qu'elle implique.
≪ La nouvelle histoire diplomatique, attentive aux mots de la negociation comme aux choses de l'intendance, apportera sans doute du nouveau sur le role d'une ville dont les Entrees royales ou princieres ne forment que la partie la plus visible de ce dossier en jachere ≫
[
a 3
]
.
Historiographie de l'urbanisme lyonnais a la Renaissance
[
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]
Le patrimoine monumental lyonnais n'a fait l'objet d'etudes de la part d'erudits qu'a partir du
XIX
e
siecle. La figure importante de ce premier mouvement est Pierre Martin, avec son ouvrage de 1855 :
Recherches sur l'architecture : la sculpture, la peinture, la menuiserie, la ferronnerie, etc : dans les maisons du Moyen Age et de la Renaissance a Lyon
[
b 1
]
. Une importante base documentaire a ete constituee a cette epoque et se retrouve dans le fond Pointet des archives municipales
[
b 1
]
,
[
6
]
.
Depuis les annees 1970, les travaux universitaires sur le sujet se multiplient, ainsi que les publications. Les premieres d'entre elles sont publiees au sein des
Documents d'archeologie en Rhone-Alpes et Auvergne
, consacres a des zones ou des themes
[
7
]
. Ces recherches s'inscrivent dans un contexte general de developpement d'etudes archeologiques du bati d'habitation. Un premier bilan est etabli en 1998 par Pesez et Esquina
[
8
]
. Pour Lyon, un premier bilan est fait lors de l'exposition ≪ Au fil du chantier ≫
[
9
]
de 1997
[
b 1
]
.
Historiographie de la peinture a la Renaissance
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]
L'etude de la peinture lyonnaise de la Renaissance a connu plusieurs periodes nettement individualisees.
La premiere d'entre elles concerne les textes ecrits durant la Renaissance elle-meme, les auteurs etant donc plus ou moins contemporains des peintres. Cette periode est surtout caracterisee par le genre de l'eloge. Ce sont souvent des hommes de lettres qui rendent hommage aux peintres de leur temps. Un exemple peut etre pris dans la
Plainte du desire
de
Jean Lemaire de Belges
de 1504 qui y celebre
Jean Hey
et
Jean Perreal
[
10
]
. Au debut du
XVI
e
siecle, ce sont essentiellement des portraitistes qui sont celebres ; puis la tendance evolue et lors de la seconde moitie du siecle, des peintres d'histoire recoivent a leur tour l'honneur de textes litteraires a leur gloire. Ainsi,
Bernard Salomon
est celebre autant par
Jean de Tournes
[
11
]
que par
Antoine du Verdier
[
12
]
,
[
c 1
]
.
La deuxieme periode, qui comprend les
XVII
e
et
XVIII
e
siecles, voit une large chape d'indifference s'etendre sur les ouvrages concernant l'art vis-a-vis de la production lyonnaise. Les seuls noms qui retiennent alors une certaine attention sont ceux de Bernard Salomon et
Corneille de Lyon
[
c 1
]
.
La troisieme phase historiographique, situee entre le milieu du
XIX
e
et le milieu du
XX
e
siecle, connait un foisonnement de recherches portees surtout par des historiens locaux. Cet interet a ete reveille par des artistes et des collectionneurs tels
Pierre Revoil
, Jean-Baptiste Carrand ou
Edouard Aynard
[
13
]
. Les premiers grands defricheurs d'archives lyonnaises consacrees aux artistes sont
Natalis Rondot
[
14
]
, Henri Baudrier,
Andre Steyert
, Louis Charvet, Alfred Cartier ou
Lucien Begule
. Toutefois, ces erudits s'interessent surtout a d'autres arts que la peinture ; les deux figures qui suscitent le plus d'interet dans ce domaine sont Jean Perreal
[
15
]
et Corneille de Lyon
[
16
]
, considere alors comme l'artiste emblematique de la Renaissance lyonnaise. Cette troisieme phase produit les premiers repertoires, dictionnaires
[
17
]
et syntheses
[
18
]
,
[
c 2
]
.
≪ La derniere phase historiographique s'est ouverte a partir des annees 1960 et se caracterise par un changement de point de vue. L'idee n'est plus de definir l'identite d'une ≪ ecole lyonnaise ≫ mais de replacer le foyer dans la dynamique des echanges artistiques ≫
[
c 3
]
. L'exposition au Petit Palais de 1965
Le Seizieme siecle europeen
[
19
]
jour un grand role dans cette evolution. Les chercheurs, tout en replacant les auteurs les plus etudies dans un contexte plus large d'influences croisees se penchent davantage sur des auteurs auparavant delaisses :
Giovanni Capassini
[
20
]
,
Frans Stellaert
[
21
]
ou Noel de Lyon
[
22
]
. L'enluminure a ete particulierement etudiee avec les travaux de
Francois Avril
, Lynn F. Jacobs
[
23
]
et la synthese d'Elizabeth Burin
[
24
]
; de meme que les arts graphiques avec Peter Sharratt
[
25
]
ou Vanessa Selbach
[
26
]
, et notamment les
graveurs sur cuivre
, avec les recherches de
Henri Zerner
[
27
]
et la synthese d'Estelle Leutrat
[
28
]
,
[
c 4
]
.
Gerard Bruyere, ≪ Les historiens lyonnais et leurs modeles litteraires sous la Restauration ≫, dans
Fragments pour l'histoire de Lyon,
actes du colloque du bicentenaire de la societe historique, archeologique et litteraire de Lyon (1807-2007), Lyon, 28 septembre 2007, Lyon, Shall, 2008, p. [21]-33.
Gerard Bruyere, ≪ Menestrier et l'ecriture de l'histoire ≫, dans Gerard Sabatier (dir.),
Claude-Francois Menestrier : les jesuites et le monde des images,
actes du colloque de Grenoble et de Lyon, 27-29 octobre 2005, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2009 (Coll. La pierre et l'ecrit), p. 219-239, fig. 25 et 26.
Gerard Bruyere et Michel Lenoble, ≪ Histoire des recherches ≫, dans
Atlas topographique de Lugdunum,
volume I :
Lyon-Fourviere,
Dijon, Societe archeologique de l’Est, 2018 (Revue archeologique de l’Est ; 47
e
supplement), p. 23-84, fig. 11-69
.
hal-02000723.
Ces ouvrages ont servi de supports principaux pour l'article
- [Jacques Rossiaud 2012]
Jacques
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,
Lyon 1250-1550 : realites et imaginaires d'une metropole
, Seyssel,
Champ Vallon
,
coll.
≪ Epoques ≫,
, 546
p.
(
ISBN
978-2-87673-597-2
)
- [Jacob, Baldassari & Turgis 2013]
Vincent
Jacob
, David
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(collaboration) et Guilhem
Turgis
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Rapport final d'operation d'archeologie preventive : Lyon, 5e arrondissement, 38 rue Saint-Jean - Residence Louise Labe
, Chaponay, Ministere de la culture et de la communication ; Direction regionale des affaires culturelles ; Archeodunum,
- Paul Chopelin et Pierre-Jean Souriac,
Nouvelle histoire de Lyon et de la metropole
, Toulouse,
Privat
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coll.
≪ Histoire des villes et des regions : histoire ≫,
, 958
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ISBN
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)
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, Lyon, L'Araire,
, 136
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(
ISBN
978-2-7297-0683-8
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lire en ligne
)
, ≪ Les etudes anciennes ≫,
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- ↑
Laurence
Tranoy
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Les pentes de la Croix-Rousse a Lyon dans l'Antiquite. Etat des connaissances
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Gallia
, Persee,
vol.
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n
o
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p.
180
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DOI
10.3406/galia.1994.2976
,
lire en ligne
)
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- ↑
Sur ce sujet, voir la these d'Anne Beroujon,
Les ecrits a Lyon au
XVII
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, Presses universitaires de Grenoble, Grenoble, 2009.
- ↑
Voir notamment
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ISBN
2-222-02934-1
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34665370
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- ↑
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8-9
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Voir :
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(
ISBN
2-9516145-9-4
,
BNF
40094739
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Catherine
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Lyon Saint-Jean : les fouilles de l'ilot Tramassac
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coll.
≪ Documents d'archeologie en Rhone-Alpes et en Auvergne / Serie lyonnaise, 4 ≫ (
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, 151
p.
(
ISBN
2-906190-14-4
,
BNF
36681886
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,
Francoise
Villedieu
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Lyon St-Jean : les fouilles de l'avenue Adolphe Max
, Lyon, Association de liaison pour le patrimoine et l'archeologie en Rhone-Alpes et en Auvergne,
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≪ Documents d'archeologie en Rhone-Alpes et en Auvergne / Serie lyonnaise, 2 ≫ (
n
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, 239
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ISBN
2-906190-07-1
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BNF
36640004
)
,
Christine
Becker
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Parron-Kontis
et Sophie
Savay-Guerraz
,
Le Musee Gadagne : archeologie et histoire au cœur d'un projet patrimonial a Lyon
, Lyon, Association de liaison pour le patrimoine et l'archeologie en Rhone-Alpes et en Auvergne,
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≪ Documents d'archeologie en Rhone-Alpes et en Auvergne / Serie lyonnaise, 10 ≫ (
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40959721
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La peinture lyonnaise du
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Peindre en France a la Renaissance. I. Les courants stylistiques...
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, ed. M.Cammerer, Munich, 1992, p. 176-185 ; S. Beguin, ≪ Jean Capassini au service du carnial de Tournon ≫,
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- ↑
E. Leutrat,
Les debuts de la gravure sur cuivre en France ; Lyon 1520-1565
, Geneve, 2007.
|
Histoire par periode
|
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|
Histoire thematique
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Entites politiques
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Personnalites
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Annexes
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