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Giovanni Gentile

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Giovanni Gentile
Giovanni Gentile.
Fonctions
Directeur de l’Ecole normale superieure
-
Giovanni  D 'Achiardi ( d )
Luigi Russo ( d )
Directeur de l’Ecole normale superieure
-
Giovanni Gentile
Giovanni  D 'Achiardi ( d )
Directeur de l’Ecole normale superieure
-
Giovanni Gentile
Ministre de l'Education publique
-
Senateur du royaume d'Italie
Biographie
Naissance
Deces
Voir et modifier les données sur Wikidata (a 68 ans)
Salviatino ( d ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Sepulture
Nom de naissance
Giovanni Gentile Voir et modifier les données sur Wikidata
Epoque
Fascisme italien ( en ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalite
Formation
Liceo classico statale L. Ximenes ( d ) (jusqu'en )
Scuola Normale Superiore. Classe di Lettere e Filosofia ( d ) (diploma di licenza della Scuola Normale Superiore ( d ) ) ( - )
Universite de Florence ( - ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Activites
Pere
Benedetto Gentile ( d ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Erminia Nudi ( d ) (a partir de ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Federico Gentile ( en )
Giovanni Gentile ( d ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
A travaille pour
Universite Bocconi ( - )
Ecole normale superieure de Pise ( - )
Universite de Rome ≪ La Sapienza ≫ ( - )
Universite de Pise ( - )
Universite de Palerme ( - )
Istituto comprensivo Campobasso "Mario Pagano" ( d ) ( - ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Parti politique
Membre de
Mouvement
Maitres
Influence par
Distinctions

Giovanni Gentile , ne le a Castelvetrano et mort assassine le a Florence , est un philosophe idealiste et neo-hegelien , et homme politique fasciste italien .

Figure majeure de la vie intellectuelle italienne de la premiere moitie du vingtieme siecle, Giovanni Gentile se decrit lui-meme comme le ≪ philosophe du fascisme ≫, et a en grande partie redige pour Benito Mussolini La Doctrine du fascisme en 1932 . Il est egalement a l'origine de l' idealisme actuel , un courant philosophique qui entendait se distinguer de l' idealisme transcendantal de Kant et de l' idealisme absolu de Hegel .

Il occupe plusieurs postes d'importance a partir de la prise de pouvoir de Mussolini, duquel il est le ministre de l’Education entre et . Il est l'un des initiateurs de l' Encyclopedie Treccani , dont il est le directeur scientifique entre 1925 et 1928, et dirige par la suite differentes institutions, notamment l' Ecole normale superieure de Pise , a partir de 1928 [ note 1 ] . Il est assassine le par des partisans des Groupes d'action patriotique .

Biographie [ modifier | modifier le code ]

Jeunesse et etudes [ modifier | modifier le code ]

Fils d'un pharmacien et d'une fille de notaire, il grandit a Campobello di Mazara , en Sicile et etudie au lycee de Trapani . En 1895, il reussit le concours de l' Ecole normale superieure de Pise , ou il s'inscrit a la faculte de Lettres et de Philosophie. Il y a pour professeurs, entre autres, Alessandro D'Ancona (professeur de litterature, attache a la methode historique, au positivisme et aux idees liberales), Amedeo Crivellucci (professeur d'histoire) et Donato Jaia (professeur de philosophie, disciple de Bertrando Spaventa ), qui tous trois influencent notablement la formation de sa pensee philosophique.

En 1897, apres avoir suivi un cours de perfectionnement a Florence , Gentile obtient une chaire de philosophie au lycee Mario Pagano , a Campobasso et trois ans plus tard au lycee Vittorio Emanuele de Naples . Il epouse en 1901 Erminia Nudi, dont il avait fait la connaissance a Campobasso. Ils eurent six enfants, Teresa (1902), Federico (1904), Gaetano e Giovanni (1906), Benedetto (1908) et enfin Fortunato (1910).

Il obtient successivement la libera docenza [ 1 ] en philosophie et en pedagogie, en 1902 et 1903, puis une chaire a l' universite de Palerme  ; il y enseigne de 1906 a 1914, part ensuite a Pise , avant d'arriver a Rome en 1919.

Pendant ses etudes a Pise, il avait fait la connaissance de Benedetto Croce  ; les deux intellectuels entretinrent une correspondance suivie de 1896 a 1923, discutant d'histoire, de litterature et de philosophie. Tous deux idealistes, ils entendaient combattre de l'interieur le positivisme et la degenerescence dont etait selon eux victime l'universite italienne. Ils fondent ensemble en 1903 la revue La critica , pour contribuer a la renovation de la culture italienne, Croce traitant principalement de litterature et d'histoire, et Gentile de philosophie. A cette epoque, Gentile n'avait pas encore mis en place son propre systeme philosophique ; ce n'est que peu avant la Premiere Guerre mondiale qu'il donnera un tour plus systematique a ses idees, en developpant sa theorie de l'actualisme. En 1920, il fonde le Giornalo critico della filosofia italiana .

Lorsque commence la Premiere Guerre mondiale, un vif debat a lieu en Italie au sujet de la non-belligerance ; Gentile se prononce en faveur de l'entree en guerre : pour lui, c'est une maniere de conclure le Risorgimento dans un effort commun capable de souder la nation.

Engagement dans le fascisme [ modifier | modifier le code ]

En 1922 , il est nomme ministre de l'Instruction publique du nouveau regime dans le gouvernement Mussolini , et le reste jusqu'en 1924 , lorsqu'il demissionne. Pendant qu'il est a ce poste, il institue la ≪  Riforma Gentile   (en)  ≫ : une reforme du systeme d'enseignement secondaire qui eut un impact durable sur l'education en Italie [ 2 ] .

Apres sa demission, il est nomme president de la Commission des Quinze (devenue par la suite la Commission des Dix-huit) mise en place en vue d'une reforme de la Constitution italienne . En fait, les travaux de la Commission n'auront pas de consequences concretes.

En 1923, Gentile adhere au Parti fasciste , avec l'ambition de lui fournir un programme ideologique et culturel ; il publie deux ans plus tard le manifeste des intellectuels fascistes , dans lequel il livre sa vision du fascisme, qui pourrait selon lui etre a l'origine de la regeneration morale et religieuse des Italiens, dans la continuite du Risorgimento . Ce manifeste revele egalement l'eloignement croissant entre sa pensee et celle de Benedetto Croce  ; ce dernier lui repond d'ailleurs par un contre-manifeste .

En 1925, Gentile dirigea deux commissions de reforme constitutionnelle qui contribuerent a l'etablissement de l'etat corporatif du fascisme. Il assumera ensuite les fonctions de president du grand conseil d'education publique de cet Etat fasciste (1926-1928) et obtiendra meme l'adhesion au puissant grand conseil fasciste (1925-1929).

Giovanni Gentile a ete decrit par Mussolini et par lui-meme comme ≪ le philosophe du fascisme ≫ ; en outre, il etait le negre de la premiere partie de l'essai La doctrine du fascisme (1932), attribue a Mussolini. Il a ete publie pour la premiere fois en 1932 dans l' Encyclopedie italienne , dans laquelle il decrivait les traits caracteristiques du fascisme italien de l'epoque : le corporatisme d'Etat obligatoire, l'abolition du systeme parlementaire et l'autarcie. Il a egalement ecrit le Manifesto degli intellettuali fascisti   (en) signe par un certain nombre d'ecrivains et d'intellectuels, notamment Luigi Pirandello , Gabriele D'Annunzio , Filippo Tommaso Marinetti , Vittorio Giovanni Rossi et Giuseppe Ungaretti .

Au cours des annees 1920, Gentile exerce une influence considerable sur la culture italienne, en particulier dans le domaine de l'education. Sur sa proposition, un Regio Decreto (Decret royal) du eleve l' Istituto per la Propaganda della Cultura Italiana (IPCI) (Institut pour la Propagation de la Culture Italienne) au rang d' Ente Morale (personne morale). Le conseil d'administration de cette maison d'edition, fondee le par le philosophe et editeur Angelo Fortunato Formiggini comprend beaucoup de noms parmi les plus illustres de la culture italienne. Puis, sur la suggestion de Gentile, l' IPCI change de nom et devient la Fondazione Leonardo per la Cultura Italiana (Fondation Leonard pour la Culture Italienne). Le president du Conseil d'administration est Ferdinando Martini . Martini soutient le projet de Formiggini de realiser une Grande Enciclopedia Italica (Grande Encyclopedie Italica). Elle doit comprendre 18 volumes, ce qui devrait faire d'elle une realisation culturelle italienne de premier plan. Gentile va s'y opposer et organiser la liquidation de la Fondazione Leonardo per la Cultura Italiana . Il ordonne une enquete administrative qui conduit a l'eviction de Formiggini en 1923 . Puis, il fera absorber en 1925 la Fondazione Leonardo per la Cultura Italiana par l' Istituto Nazionale Fascista di Cultura (Institut National Fasciste de la Culture) dont il est alors le president. Le projet d'encyclopedie initie par Formiggini est repris avec l' Enciclopedia Italiana di scienze, lettere ed arti (Encyclopedie Italienne des Sciences, Lettres et Arts), couramment appelee la Treccani dont Gentile sera le premier directeur scientifique de 1925 a 1938 et vice-president de l' Istituto dell'Enciclopedia Italiana qui l'edite de 1933 a 1938. Il contribue a la fondation de l'Institut national fasciste de la culture, en 1925, qu'il va presider jusqu'en 1937. A partir de 1932, il est directeur de l' Ecole normale superieure de Pise , et entre a l' Academie des Lynceens la meme annee.

Pourtant, il lui arrive de manifester son desaccord a l'egard du regime ; meme s'il reconnait le catholicisme comme forme historique de la spiritualite italienne, il est fortement attache a la laicite de l'Etat, et desapprouve les accords du Latran , signes en 1929 entre le regime de Mussolini et l' Eglise catholique romaine . Gentile s'oppose egalement aux lois raciales de 1938 . En 1934, ses œuvres et celles de Benedetto Croce sont mises a l' Index par le Saint-Office . Enfin, en 1936, il engage une longue polemique avec le ministre de l'Education nationale, Cesare Maria De Vecchi , portant notamment sur la centralisation des universites entreprise par ce dernier.

Dernieres annees et assassinat [ modifier | modifier le code ]

Giovanni Gentile, vers 1930.

En 1943, il donne ses deux dernieres conferences, a l'occasion desquelles il livre un resume de sa pensee politique. Dans la premiere, La mia religione , prononcee le , il s'affirme chretien et catholique tout en defendant l'idee d'un Etat laic. La deuxieme, Discorso agli italiani , le 24 juin , exalte l'unite nationale, alors que l'Italie est sur le point de connaitre l'une des plus graves crises de son histoire ; les idees qu'il developpe a cette occasion servent de fondements a la Republique sociale italienne , fondee quelques mois plus tard. Apres cette derniere conference, il se retire a Troghi (pres de Rignano sull'Arno , dans la province de Florence ), ou il ecrit son dernier ouvrage, Genese et structure de la societe , publie apres sa mort.

A l'automne 1943, a la demande de Mussolini , il manifeste son soutien a la Republique sociale, et appelle au renouveau de l'unite nationale. Il devient president de l'Academie d'Italie, qui a pour objectif de remplacer l'ancienne Academie des Lynceens .

Considere par certains courants de la resistance italienne comme l'un des principaux responsables du fascisme, il est assassine le 15 avril 1944 sur le seuil de sa maison, a Florence, par des partisans appartenant aux Groupes d'action patriotique , dont Teresa Mattei et Bruno Sanguinetti .

Son assassinat donne l'occasion a la presse clandestine italienne, antifasciste, de proposer une reflexion sur la responsabilite politique des intellectuels et de reconnaitre la coherence de son parcours politique : les journalistes clandestins rendent ainsi hommage a la constance de son adhesion au fascisme et a sa fidelite a Mussolini, opposant ainsi son personnage aux hierarques qui ont vote la demission de Mussolini le 25 juillet 1943 [ 3 ] .

Philosophie [ modifier | modifier le code ]

Les fondements philosophiques que Gentile pretend donner au fascisme prennent source dans la maniere particuliere dont il envisage l'ontologie et l'epistemologie. Il rejette l'individualisme pour lui preferer le collectivisme : l'Etat est le seul detenteur de l'autorite, et l'individu doit lui etre parfaitement soumis, dans la mesure ou l'individualite n'a pas de sens pris en dehors de l'Etat - ce qui justifie pour lui le totalitarisme .

Œuvres [ modifier | modifier le code ]

Essais d'ordre general et ouvrages philosophiques [ modifier | modifier le code ]

  • La filosofia di Marx, studi critici , Pise, Spoerri, 1899 (trad. francaise, TER, 1995)
  • L'atto del pensare come atto puro ( 1912 )
  • La riforma della dialettica hegeliana ( 1913 )
  • La filosofia della guerra ( 1914 )
  • La teoria generale dello spirito come atto puro , Bari, Laterza e figli, 1916, traduit en francais par A. Lion sous le titre L'Esprit, acte pur , Paris, Alcan, 1925
  • I fondamenti della filosofia del diritto , Pise, Mariotti, 1916
  • Sistema di logica come teoria del conoscere (1917-1922)
  • Guerra e fede ( 1919 , recueil d'articles ecrits pendant la Premiere Guerre mondiale )
  • Dopo la vittoria ( 1920 , recueil d'articles ecrits pendant la Premiere Guerre mondiale)
  • Discorsi di religione ( 1920 )
  • Il modernismo e i rapporti tra religione e filosofia , Bari, Laterza e figli, 1921
  • Frammenti di storia della filosofia ( 1926 )
  • La filosofia dell'arte ( 1931 )
  • Introduzione alla filosofia ( 1933 )
  • Genesi e struttura della societa (postumo 1946 )
  • L'esprit, la verite et l'histoire , recueil d'articles traduits par Joseph Moreau, Paris, Aubier, 1962

Histoire [ modifier | modifier le code ]

  • Delle commedie di Antonfrancesco Grazzini detto il Lasca ( 1895 )
  • Rosmini e Gioberti ( 1898 , tesi di laurea )
  • La filosofia di Marx ( 1899 )
  • Dal Genovesi al Galluppi , Naples, edizioni della Critica , 1903
  • Bernardino Telesio , Bari, Laterza e figli, 1911
  • Studi vichiani , Messine, Principato, 1915
  • Le origini della filosofia contemporanea in Italia , Messine, Principato, 1917
  • Il tramonto della cultura siciliana , Bologne, Zanichelli, 1917
  • Giordano Bruno e il pensiero del Rinascimento , Florence, Valecchi ( 1920 )
  • Frammenti di estetica e letteratura ( 1921 )
  • La cultura piemontese ( 1922 )
  • Gino Capponi e la cultura toscana del secolo XIX , Florence, Valecchi ( 1922 )
  • Studi sul Rinascimento ( 1923 )
  • I profeti del Risorgimento italiano: Mazzini e Gioberti ( 1923 )
  • Bertrando Spaventa ( 1924 )
  • Manzoni e Leopardi ( 1928 )
  • Economia ed etica ( 1934 )

Pedagogie [ modifier | modifier le code ]

  • L'insegnamento della filosofia nei licei ( 1900 )
  • Scuola e filosofia ( 1908 )
  • Sistema di pedagogia come scienza filosofica ( 1912 )
  • I problemi della scolastica e il pensiero italiano , Bari, Laterza e figli, 1913
  • Il problema scolastico del dopoguerra ( 1919 )
  • La riforma dell'educazione ( 1920 )
  • Educazione e scuola laica , Florence, Vallecchi, 1921
  • La nuova scuola media ( 1925 )
  • La riforma della scuola in Italia ( 1932 )

Politique [ modifier | modifier le code ]

  • Manifesto degli intellettuali del fascismo ( 1925 )
  • Che cos'e il fascismo ( 1925 )
  • Fascismo e cultura ( 1928 )
  • Origini e dottrina del fascismo ( 1929 )
  • La mia religione ( 1943 , transcription d'une conference prononcee a Florence)
  • Discorso agli Italiani ( 1943 , transcription d'une conference prononcee a Rome)

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

Notes [ modifier | modifier le code ]

  1. D'abord en la qualite de commissaire, puis en tant que directeur a partir de 1932.

References [ modifier | modifier le code ]

  1. Titre universitaire italien permettant d'etre professeur dans l'enseignement superieur
  2. Richard J. Wolff , ≪  Catholicism, Fascism and Italian Education from the Riforma Gentile to the Carta Della Scuola 1922-1939  ≫, History of Education Quarterly , vol.  20, n o  1,‎ , p.  3 ( ISSN   0018-2680 , DOI   10.2307/367888 , lire en ligne , consulte le )
  3. Claudio Pavone, Une guerre civile, essai historique sur l'ethique de la resistance italienne , 2005, p 590-592.

Voir aussi [ modifier | modifier le code ]

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

  • Giovanni Gentile ou l'interminable traduction d'une politique de la pensee , Charles Alunni, Paris, Lignes , n° 4, [dir.] Michel Surya, Les Extreme-droites en France et en Europe , p.  181-194, 1987
  • Ansichten auf Italien oder der umstrittene Historismus , in Streuung und Bindung uber Orte und Sprachen der Philosophie , Charles Alunni, Wolfenbuttel, Herzog August Bibliothek, 1987
  • Heidegger, la piste italienne , Charles Alunni, Paris, in Liberation , (en collaboration avec Catherine Paoletti pour l'interview de Ernesto Grassi ),
  • Giovanni Gentile - Martin Heidegger. Note sur un point de (non) ‘traduction‘ , Charles Alunni, Paris, Cahier n° 6 du College International de Philosophie , Ed. Osiris, p.  7-12, 1988
  • Archeobibliographie. Eugenio Garin , Charles Alunni, Paris, Prefaces , n°18, p.  96-11, 1990
  • Giovanni Gentile , Ernesto Grassi & Bertrando Spaventa , Charles Alunni, Paris, Dictionnaire des Auteurs Laffont-Bompiani , Robert Laffont, p.  1193, p.  1300-1301 & p.  3034, 1993.
  • Evelyne Buissiere, ≪  Giovanni Gentile reformateur de la dialectique hegelienne  ≫, Les Etudes philosophiques , No. 4, PHILOSOPHIE ITALIENNE (OCTOBRE-DECEMBRE 1994), PUF, pp. 521-542.
  • Attualita, attuosita (le vocabulaire italien de l’actualite-realite) Paris, Vocabulaire europeen des philosophies. Dictionnaire des intraduisibles , [dir. Barbara Cassin], Le Seuil-Robert, p.  145-151, 2004
  • Entre philosophie et politique, Giovanni Gentile : un philosophie engage sous le fascisme , Nadia Allegri Sidi-Maamar, Paris, l'Harmattan, 2001
  • Un seul temoin , Carlo Ginzburg , Paris, Bayard, 2007.
  • Jean-Toussaint Desanti , Elements pour une analyse du fascisme (ouvrage collectif sous la direction de Maria Antonietta Macciocchi ) , vol.  I, Paris, Union generale d’editions, coll.  ≪  10/18  ≫, , 446  p. ( ISBN   2-264-00012-0 ) , ≪ Gentile et les origines philosophiques du fascisme ≫, p.  115-127 .
  • Yohann Douet, " La dialectique et l’Etat. Gramsci, Hegel et les neo-idealistes italiens ", Archives de Philosophie , 2022/1 (Tome 85), p. 121-138.
  • (en) Giovanni Gentile : philosopher of fascism , Anthony James Gregor, New Brunswick, 2001
  • (en) Mussolini's fascist philosopher : Giovanni Gentile reconsidered , Myra E. Moss, New York, 2004
  • (it) Gentile e Heidegger : al di la del pensiero , Francesco Saverio Chesi, Milan, EGEA, 1992
  • (it) Gentile e il neoidealismo , Maria Adelaide Raschini, Venise, Marsilio, 2001

Liens externes [ modifier | modifier le code ]