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Germaine Lubin

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Germaine Lubin
Portrait photographique realise par Philippe Abel Siguier en 1924.
Biographie
Naissance
Deces
Nom de naissance
Germaine Leontine Angelique Lubin
Nationalite
Formation
Activite
Conjoint
Paul Geraldy (a partir de ) Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Tessiture
Genre artistique
opera classique et moderne
Condamnation

Germaine Lubin , nee le dans le 8 e  arrondissement de Paris et morte le dans le 7 e  arrondissement de Paris [ 1 ] , est une soprano francaise , une des divas internationales de l' entre-deux-guerres .

Biographie [ modifier | modifier le code ]

Formation (1890-1911) [ modifier | modifier le code ]

Germaine Lubin nait a Paris , fille d'une metropolitaine et d'un pharmacien masogan de Guyane , Samuel Lubin , qui lui enseigne le piano des l'age de six ans. Elle fait sa scolarite au college Sevigne et se destine a des etudes de medecine.

A dix huit ans, elle se presente au Conservatoire national de musique et de declamation , ou elle est recue a l'unanimite et fait l'admiration de Gabriel Faure [ 2 ] . Son premier professeur de chant y est Auguste Martini [ 2 ] . Elle est formee a la declamation dans la classe d' opera comique [ 3 ] de Jacques Isnardon . De 1909 a 1912, elle suit l'enseignement de Felia Litvinne a Paris et de Lilli Lehmann a Berlin [ 4 ] .

Peu avant la Premiere Guerre mondiale , elle se dispute avec son pere, auquel elle reproche d'etre trop present et de faire obstacle a sa carriere. Depite, ce dernier retourne vivre en Guyane . Pour la jeune femme, c'est une liberation. Sa ≪ perfection plastique ≫ , classique et sculpturale [ 5 ] , sa taille haute, ses yeux bleus et sa chevelure blonde ne peuvent que la predestiner a incarner les grandes heroines wagneriennes .

De l'Opera-Comique a l'Opera (1912-1919) [ modifier | modifier le code ]

En 1912 , elle obtient trois premiers prix (chant, opera et opera-comique) au Conservatoire de Paris. Aussitot engagee par Albert Carre , elle commence le sa carriere a l' Opera-Comique dans le role d'Antonia des Contes d'Hoffmann d' Offenbach [ 4 ] , [ 2 ] . Elle est l'interprete favorite de Gabriel Faure , qui se plait a l'appeler ≪ ma belle statue ≫ et n'hesite pas a lui dire : ≪ J'aime votre voix, elle ne ressemble a aucune autre ≫ .

En 1913 [ 1 ] , elle epouse Paul Geraldy , auteur du recueil de poemes Toi et Moi , dont Germaine Lubin est probablement l'inspiratrice. De leur amour nait en 1916 un fils, Claude, qui se suicidera le , d'un coup de revolver dans la tete [ 6 ] .

Elle rejoint le palais Garnier en 1914 [ 4 ] pour y effectuer, jusqu'en 1944, presque toute sa carriere. Elle interprete des roles lyriques tels que Marguerite du Faust de Charles Gounod , Thais de Jules Massenet , joue le role de Camille dans Zampa ou La fiancee de marbre de Ferdinand Herold , celui de Koethe dans Le Pays de Guy Ropartz avant d'aborder des roles plus difficiles : les roles titre de Aida , de Verdi , et Salammbo , de Reyer , la Marguerite de La Damnation de Faust de Berlioz et ses premiers Wagner , Elsa, Elisabeth, Eva, Sieglinde.

En 1919, elle donne a Pierrefitte un concert de soutien aux ≪  Poilus  ≫ rescapes en presence de Philippe Petain [ 7 ] , vainqueur nouvellement honore du titre de marechal . S'ensuit une correspondance intime de plusieurs annees [ 7 ] , seul indice d'une rumeur au sujet d'une liaison , qui deviendra a la fin de l' Occupation une accusation. Detruite par la destinataire, il n'en restera que le faible echo qu'elle en donnera oralement, qu'elle ne cessera d'admirer le heros de Verdun , qu'il avait l'age de son pere et qu'elle le trouvait tres bel homme [ 8 ] .

Vedette creatrice de roles (1920-1939) [ modifier | modifier le code ]

Toujours en quete de perfection, Germaine Lubin s'interdit de se reposer sur ses succes et poursuit tout au long des annees vingt un travail pour parfaire sa voix, avec Jean De Reszke et Felia Litvinne, ainsi que sa presence scenique, avec Lilli Lehmann [ 2 ] , [ 9 ] . Les jalousies professionnelles sont feroces [ 8 ] et son perfectionnisme, son ambition aussi, lui valent la reputation d'etre hautaine. Avec la celebrite vient l'isolement moral, celui d'une deesse inaccessible [ 10 ] . En 1926, elle se separe de son mari. Deux ans plus tard [ 7 ] , elle refait sa vie avec un des directeurs des editions Larousse , Jacques Moreau [ 11 ] . Ils ont une fille, Dominique [ 11 ] . Ces tribulations personnelles l'empechent [ 12 ] de donner suite aux propositions venues d'Outre-Atlantique et notamment du Metropolitan Opera.

Elle cree plusieurs roles de l'opera moderne. Sa voix, devenue un fleuve immense et somptueux, aux grave et medium de velours et a l'aigu lumineux, lui donne acces aux grands roles dramatiques : Donna Anna, la Marechale, Alceste, Iphigenie, Fidelio, Brunnhilde, Kundry et Isolde, ≪ le role de sa vie ≫ [ 8 ] , qu'elle chante pour la premiere fois en 1930 , en francais , et dont elle assure en allemand une triomphale centieme au palais Garnier en 1938 sous la direction de Wilhelm Furtwangler .

Vedette internationale, elle est ovationnee sur toutes les grandes scenes europeennes. Le , elle incarne Sieglinde au Staatsoper Unter den Linden a Berlin. Dans sa loge, elle recoit le compliment d' Hermann Goering , que lui presente l'ambassadeur Andre Francois-Poncet . En juillet 1938 , sa Kundry , interpretee sous la direction de Franz von Hoesslin a Bayreuth , fait d'elle une veritable idole. Elle est recue a la villa Wahnfried par Winifred Wagner , qui la presente a deux hotes intimes, Hitler et Goebbels . Cette meme annee, elle a rejoint la ≪ section des artistes ≫ du Parti populaire francais , organisation d’extreme droite radicale creee en 1936 par Jacques Doriot [ 13 ] . Elle est invitee derechef l'annee suivante, en aout 1939 , pour chanter sous la direction de Victor de Sabata encore une fois Isolde , mais a Bayreuth , aux cotes de Max Lorenz . Hitler , qui assiste au concert, la complimente : ≪ De toute ma vie, je n'ai jamais vu ni entendu une telle Isolde ≫ .

Sous l'Occupation (1940-1944) [ modifier | modifier le code ]

Germaine Lubin et Herbert von Karajan le 17 mai 1941, devant l'entree des artistes de l' Opera de Paris , ou il s'apprete a diriger L'Enlevement au Serail de Mozart .

Apres la defaite , Jacques Rouche essaye de rouvrir l' Opera et invite Germaine Lubin a revenir chanter Alceste. C'est elle qui le , dans le role de Leonore, inaugure le premier opera allemand chante a Paris sous occupation , Fidelio . Suit le la representation du Chevalier a la Rose , ou elle est une Marechale admiree du general Hans Speidel , qui huit mois plus tot, le , faisait visiter Paris a Hitler et huit mois plus tard, le , commencera la serie d'execution d'otages . Introduit aupres d'elle par le journaliste allemand Hans Joachim Lange, il est la tous les soirs.

Le , elle chante a nouveau Isolde encore une fois au cote de Max Lorenz mais avec la troupe de la Staatsoper de Berlin en visite a Paris , sous la direction de Herbert von Karajan [ 14 ] . La representation celebre le jour anniversaire de la naissance de Richard Wagner (ne le ). Elle a lieu en presence de Winifred Wagner , qui l'avait recue a Bayreuth , et s'inscrit dans un programme de propagande collaborationniste organisee par le secretaire d'Etat Fernand de Brinon [ 15 ] . Germaine Lubin devient une des vedettes de Radio Paris puis de Radio nationale [ 16 ] . Elle ne rompt pas ses amities nouees avant-guerre avec des Allemands.

Le [ 17 ] , elle se produit au musee de l'Orangerie lors d'un concert cloturant l'exposition d' Arno Breker , sculpteur quasi officiel de l' ideologie nazie . Pour bien marquer en cette occasion la collaboration culturelle franco-allemande et le depassement des conflits grace a la musique, elle est accompagnee par le Francais Alfred Cortot quand elle chante des lieder en allemand et par l'allemand Wilhelm Kempff quand elle chante en francais des melodies [ 18 ] . Elle declarera apres-guerre avoir accepte cette participation pour obtenir la liberation de Maurice Franck , chef des chœurs de l' Opera tombe sous le coup du ≪  statut des Juifs  ≫ [ 19 ] , qui beneficie du soutien d'un comite d'artistes et est effectivement libere du camp de Royallieu , mais en ce mois d' , c'est par une amitie toute personnelle qu'elle accepte l'invitation de Wilhelm Kempff d'accompagner celui ci dans son retour vers la Lanhaus de Potsdam [ 18 ] qu'il habite avec sa famille, en face de Cecilienhof . Le virtuose repondra a son invitation de sejourner au chateau de La Carte [ 20 ] , castelet [ 21 ] qu'elle possede a Ballan-Mire , en Touraine , et qui avait ete, au XIII e  siecle, la residence du futur pape Martin IV [ 22 ] avant d'etre reconstruite au XVI e  siecle .

Condamnation et exil (1944-1950) [ modifier | modifier le code ]

En 1944 , apres la Liberation , Germaine Lubin, comme Marie Laurencin ou Betty Bouwens , epouse de Ramon Fernandez , est arretee et emprisonnee a Drancy [ 11 ] . Si elle echappe au sort de la seconde, qui a ete tondue , elle n'a pas les appuis de la premiere, sauvee par Marguerite Donnadieu (Duras) . Des charges de collaboration avec l'ennemi sont retenues contre elle et elle est transferee a Fresnes .

A l'issue de son proces, en , elle est lavee de cette seule accusation mais pas d'avoir livre a la Gestapo son jardinier et sa femme, qui etaient des sympathisants de la Resistance [ 11 ] . Son argument que ces domestiques lui servaient d'intermediaires pour aider des individus persecutes par le regime ne convainc pas [ 11 ] . Si elle a en effet pu avancer les temoignages de plusieurs personnes qu'elle avait aidees pendant la guerre [ 23 ] , elle n'en est pas moins frappee d' indignite nationale a vie, dans un contexte politique appelant a ≪ apaiser la tension populaire ≫ [ 24 ] . Elle est interdite de sejour en France et ses biens sont confisques. En 1947, apres trois annees de prison [ 11 ] , elle trouve refuge chez des amis en Suisse , puis en Italie .

Pour sa part, elle continuera de nier tout lien avec l'Allemagne nazie, et gardera une grande amertume de la facon dont le gouvernement francais l'a traitee. Elle dit un jour :

≪ J'ai souffert d'une enorme injustice. Mon propre peuple m'a vole dix ans de carriere ! C'est un fait que je connaissais certains Allemands quand ils sont venus a Paris pendant l'Occupation. Cela a donne a mes ennemis une occasion de satisfaire leur jalousie... Si j'ai vu les Allemands a Paris - et ils ont ete plus que corrects avec moi ? c'etait pour sauver mes compatriotes. C'etait ma facon de servir mon pays dans ce moment difficile. Personne ne saura combien de prisonniers j'ai fait liberer... Quand j'ai passe trois ans en prison, on a confisque mon chateau a Tours avec mes biens. Quelqu'un s'est-il donne la peine de me demander pourquoi je n'ai pas accepte les invitations de Winifred Wagner pour chanter en Allemagne pendant l'Occupation ? Mais mon proces n'a ete rien d'autre qu'une basse vengeance : j'ai ete completement effacee. Il est vrai qu'on m'a rendu la plus grande partie de ce qu'on m'avait pris. ≫

Elle declarera dans un entretien donne au Quotidien de Paris en 1974 : ≪ Je crois qu'on m'a fait payer tres cher les dons que j'avais recus et que je n'ai pas su faire oublier ≫ .

Professeur de chant a Paris (1950-1979) [ modifier | modifier le code ]

Apres-guerre , Paul Geraldy , qui eut pour maitresse la secretaire de Jean Moulin , s'active pour reduire la peine de Germaine Lubin et le la condamnation a l' indignite nationale a vie est ramenee a cinq ans [ 25 ] . En 1950, les biens de la cantatrice lui sont en partie restitues et l'interdiction de sejour est limitee au departement d' Indre-et-Loire . En 1953, elle cede a l'Etat son chateau tourangeau de La Carte.

Apres une tentative de retour sur scene dans le domaine de la melodie (Schumann, Brahms, Hugo Wolf, Faure, Duparc...) qui la voit se produire en recital en 1952 a Zurich, Geneve et Paris, Germaine Lubin renonce. Sa voix n'est plus ce qu'elle avait ete [ 11 ] et le suicide de son fils la touche profondement. Dans son appartement parisien du 5 quai Voltaire , elle se consacre a l'enseignement du chant. Elle forme notamment Regine Crespin , Udo Reinemann , Jocelyne Taillon et Nadine Denize .

En , manifestant son soutien a la demarche de M gr Ducaud-Bourget , elle participe, aux cotes de Michel Droit , Jean Dutourd , Paul Guth , Louis de Funes , Gabriel Matzneff , Laurent Terzieff et d'autres figures du monde des Lettres ou du spectacle, a l'occupation de l' eglise Saint-Nicolas-du-Chardonnet par des catholiques traditionalistes [ 26 ] .

Elle continue son activite d'enseignement jusque peu avant sa mort. Elle est enterree a Tours dans l'anonymat le plus complet [ 11 ] .

Creations [ modifier | modifier le code ]

Discographie [ modifier | modifier le code ]

Germaine Lubin chantant Isolde enregistree en mono sur un 78 tours [ 27 ] .

Germaine Lubin enregistra des parties de son repertoire en 1929 et 1930, notamment des roles comme Elisabeth de Tannhauser , Sieglinde de Die Walkure , Brunehilde de Siegfried de Wagner, Gotterdammerung , scene finale, de R. Wagner, Tosca de Puccini , Der Freischutz , air d'Agathe de Carl Maria von Weber et Faust , Ballade de Marguerite , de Charles Gounod , Sigurd d' Ernest Reyer , ainsi qu'un aria de la Cantate de la Pentecote (J.-S.Bach), une melodie sur une etude de Chopin ( Tristesse , paroles de Felia Litvinne), quelques melodies de Schubert , Schumann et Faure . Parmi ses derniers enregistrements en 1944, deux melodies de Jacques Leguerney et Blangini en duo avec le jeune Gerard Souzay . Dans les annees 1950 , elle enregistra deux melodies d' Hugo Wolf . En tout, elle laissa plus d'une vingtaine de melodies enregistrees [ 28 ] .

La derniere parution de la quasi-totalite du legs discographique de Germaine Lubin est republie sous le titre Her Finest Recordings en 2012, par le label Andromeda (ANDRCD9113) [ 29 ] . En 2020, The Complete Recordings est edite par le label Marston.

  • Bach, Cantate de la Pentecote n o  68
  • Blangini , Duo : Per valli, per boschi - Gerard Souzay ( Odeon )
  • Chopin, Tristesse (Etude op. 10 n o  3 arr. Fella Litvinne - Jeanne Krieger, piano (1930)
  • Debussy, Je tremble en voyant ton visage (1954)
  • Durante, Virgin' tutto amore (1954)
  • Faure, Au bord de l'eau ( Odeon )
  • Gounod, Il etait un roi de Thule ( Faust )
  • Leguerney , Signes ( Odeon )
  • Puccini, Vissi d'arte ; Notre doux nid ( Tosca )
  • Reyer , Sigurd (acte III) ( Odeon )
  • Schubert, Der Erlkonig - Eric Itor Khan, piano ( , Odeon )
  • Schumann, Liebeslied , op. 51 n o  5 - Eric Itor Khan, piano ( )
  • Schumann, Lied der Suleika - Eric Itor Khan, piano ( )
  • Wagner, Elsas Traum (Elsa, extrait de Lohengrin acte I, sc. 2) - Henri Defosse (1929, Odeon )
  • Wagner, Elisabeths Begrussen (Elisabeth, extrait de Tannhauser , acte II, sc. 1) - Henri Defosse (1929, Odeon )
  • Wagner, Liebestod (Isolde, extrait de Tristan und Isolde , acte III, sc. 3) - Henri Defosse ( , Odeon )
  • Wagner, Liebestod (Isolde, extrait de Tristan und Isolde , acte III, sc. 3)- Orchestre du festival de Bayreuth , Victor de Sabata (concert 1939)
  • Wagner, Ein Fremder (Sieglinde, extrait de Die Wakure , acte I, sc. 3 - Henri Defosse (1929)
  • Wagner, Helligster Minne hochste Not (Sieglinde, extrait de Die Wakure , acte I, sc. 3 - Henri Defosse (1929)
  • Wagner, Ewig war ich... (Brunnhilde, extrait de Siegfried , acte III, sc. 3 - Henri Defosse (1929, Odeon )
  • Wagner, Brunnhilde Schlussgesang (Brunnhilde, extrait de Die Gotterdammerung , acte III, sc. 3 - Henri Defosse (1929) [ 30 ]
  • Weber, Wie nahte mir des Schlummer (Agathe, extrait de Der Freischutz , acte 2, sc. 2) (1927) [ 31 ]
  • Wolf, Num wand're Maria (1954)
  • Wolf, Um Mitternacht (1954)
  • Wolf, Verborgenheit ( Odeon )

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

  1. a et b Archives numerisees de l'etat civil de Paris , acte de naissance n o  8/201/1890, avec mention marginale du deces, date indiquee : 27 octobre 1979 (consulte le 11 juin 2012).
  2. a b c et d Paris 2004 , p.  545.
  3. ≪ Les professeurs de chant au Conservatoire de Paris ≫ , in Encyclopedie de l'art lyrique francais , Association L'art lyrique francais, Dammarie-les-Lys .
  4. a b et c Theodore Baker et Nicolas Slonimsky ( trad.  de l'anglais par Marie-Stella Paris, pref.  Nicolas Slonimsky, adaptee et augmentee par Alain Paris ), Dictionnaire biographique des musiciens [≪  Baker's Biographical Dictionary of Musicians  ≫], t.  2 : H-O , Paris, Robert Laffont , coll.  ≪ Bouquins ≫, ( reimpr.  1905, 1919, 1940, 1958, 1978), 8 e   ed. ( 1 re   ed. 1900), 4 728  p. ( ISBN   2-221-06787-8 ) , p.  2492. .
  5. In Lyrica , 1922, cite in R. Martet , Les Grandes divas du XXe siecle , p.  60, Buchet/Chastel , Paris, 2015 ( ISBN   978-2-283-02853-7 ) .
  6. Casanova 1974 , p.  235.
  7. a b et c Ch. Bourseiller , ≪ Germaine Lubin, la cantatrice preferee d'Hitler. ≫ , in Musicus politicus , France Musique , Paris, 21 decembre 2014.
  8. a b et c G. Lubin, cite in J. Chancel , ≪ Germaine Lubin ≫, in Radioscopie , France Inter , Paris, 24 juillet 1975.
  9. Paris 2004 , p.  546.
  10. R. Martet , Les Grandes divas du XXe siecle , p.  61, Buchet/Chastel , Paris, 2015 ( ISBN   978-2-283-02853-7 ) .
  11. a b c d e f g et h Pierre Raynaud, ≪ Germaine Lubin, star de l’Opera de Paris dans l’entre-deux-guerres, a vecu a Saint-Babel. ≫ , in La Montagne , Clermont-Ferrand , 25 decembre 2015.
  12. Roland de Cande et Roger Blanchard, Dieux et divas de l'opera , Plon, , p. 413
  13. Philippe Gumplowicz , ≪  Myriam Chimenes et Yannick Simon (dir.) La musique a Paris sous l'Occupation Paris, Fayard/Cite de la musique, 2013, 288 p. - Karine Le Bail La musique au pas. Etre musicien sous l'Occupation Paris, Cnrs editions, 2016, 440 p.  ≫, Annales. Histoire, Sciences Sociales , vol.  72, n o  3,‎ , p.  902?905 ( ISSN   0395-2649 et 1953-8146 , DOI   10.1017/s0395264918000446 , lire en ligne , consulte le ) .
  14. P. Ory , Les Collaborateurs 1940-1945 , p.  60, coll. Points Histoire, Seuil , Paris, 1976.
  15. Cahiers franco-allemands , CFA , Paris, mai-juin 1941.
  16. Francoise Taliano-des-Garets, Villes et culture sous l'Occupation. Experiences francaises et perspectives comparees. , p.  183, Hors Collection, Armand Colin , Paris, 2012 ( ISBN   9782200281816 ) .
  17. M. Schwartz, ≪ Musique et diplomatie : Wilhelm Kempff et la propagande culturelle des pianistes allemands ≫, in La musique a Paris sous l' Occupation , p.  163, Fayard , Paris , octobre 2013 ( ISBN   978-2-213-67721-7 ) .
  18. a et b M. Schwartz, ≪ Musique et diplomatie : Wilhelm Kempff et la propagande culturelle des pianistes allemands ≫, in La Musique a Paris sous l' Occupation , p.  164, Fayard , Paris , octobre 2013 ( ISBN   978-2-213-67721-7 ) .
  19. Casanova 1974 , p.  181 sqq., 211.
  20. M. Schwartz, ≪ Musique et diplomatie : Wilhelm Kempff et la propagande culturelle des pianistes allemands ≫, in La Musique a Paris sous l' Occupation , p.  175, n.  26 , Fayard , Paris , octobre 2013 ( ISBN   978-2-213-67721-7 ) .
  21. C. Chevalier , ≪ Le chateau de la Carte a Ballan ≫, in Memoires de Societe archeologique de Touraine , vol.  XIII, p.   265-272 , SAT , Tours , mars 1860.
  22. Edmond Quincarlet, ≪ Excursion de la societe archeologique a Chinon le 20 juillet 1881 ≫, in Bulletin de la Societe archeologique de Touraine , t.  V , p.  96 , L. Pericat , Tours , 1881.
  23. Casanova 1974 , p.  211.
  24. Casanova 1974 , p.  220.
  25. Casanova 1974 , p.  221.
  26. Thibaud Chalmin, Une affaire d’Eglise : les debuts de l’occupation de Saint-Nicolas-du-Chardonnet (27 fevrier-4 juillet 1977). , p.  144, universite Paris-Sorbonne , Paris , 1994 ( memoire de maitrise ).
  27. Un hommage a Germaine Lubin , Germaine Lubin, 1975 , Tristan et Isolde : Mort d'Isolde, https://www.discogs.com/fr/Germaine-Lubin-Un-Hommage-A-Germaine-Lubin/release/6026386 , Vinyl, LP:EX, 78 tours, mono, fascicule, compilation, EMI , La voix de son maitre , C 061-96 242, Paris .
  28. On trouve, selon les parutions, diverses critiques, toujours elogieuses, notamment dans Diapason n o  200 ( OCLC 54350927 ) et Repertoire n o  32.
  29. Pour la parution la plus complete, voir ( OCLC 725883920 ) .
  30. Die Gotterdammerung lire en ligne sur Gallica .
  31. Weber lire en ligne sur Gallica .

Annexes [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

Liens externes [ modifier | modifier le code ]

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