한국   대만   중국   일본 
Fernand Leger ? Wikipedia Aller au contenu

Fernand Leger

Un article de Wikipedia, l'encyclopedie libre.
Fernand Leger
Biographie
Naissance
Deces
Sepulture
Pseudonyme
Lezhe, Fernan Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalite
Formation
Activite
Conjoint
Autres informations
Membre de
Conflit
Mouvement
Mecene
Represente par
Eleve
Genres artistiques
Influence par
Distinction
Grand prix de la Biennale a Sao Paulo
Archives conservees par
Œuvres principales
signature de Fernand Léger
Signature

Fernand Leger , ne le , a Argentan ( Orne ) et mort le a Gif-sur-Yvette ( Essonne ), est un peintre francais , aussi createur de cartons de tapisseries et de vitraux , decorateur , ceramiste , sculpteur , dessinateur et illustrateur .

Il a ete l’un des premiers a exposer publiquement des travaux d’orientation cubiste [ 3 ] , meme si on a parfois qualifie son style de ≪ tubiste [ 4 ]  ≫.

La Grande Parade sur fond rouge (1953), mosaique, Melbourne , National Gallery of Victoria .
Vitraux a l'universite centrale du Venezuela.
La Grande fleur qui marche (1952), La Haye ( Pays-Bas ).

Biographie [ modifier | modifier le code ]

Jeunesse et formation [ modifier | modifier le code ]

A dix-neuf ans, apres une enfance a Argentan et des etudes d'architecture a Caen , il decouvre le Paris de 1900. Fernand Leger n’y accomplit jamais la formation d’ architecte qu’il est venu y poursuivre. Lentement, s’impregnant patiemment du mouvement dynamique de la ville, il troque son tire-ligne pour les pinceaux : l’assurance d’un metier stable contre la promesse d’une liberte perilleuse.

Des 1903, Fernand Leger partage un atelier avec le peintre Andre Mare . Apres son echec aux Beaux-Arts , il s’exerce dans diverses academies. Daniel-Henry Kahnweiler , qui devient son marchand, se souvient ainsi de Leger allant dessiner le nu presque tous les soirs a l’ academie de la Grande Chaumiere . Il reste difficile de savoir a quoi ressemblaient ces dessins. Fernand Leger dit effectivement avoir detruit entre 1902 et 1908 une grande partie de ses travaux au fur et a mesure de leur production. Peut-etre contenaient-ils encore quelques traces du sentimentalisme du Jardin de ma mere , peint en 1905, ou de ces Gamins au soleil (1907) que Guillaume Apollinaire qualifia de ≪ baignades du soir postimpressionnistes ≫ . Sans interpretation abusive, on peut assimiler la destruction de ces dessins a un acte proprement artistique : en s’attaquant a ses tentatives desuetes, Fernand Leger brutalisait deja la tradition.

Œuvre au musee international de la ceramique de Faenza .

En 1907, comme de nombreux peintres parisiens, il est tres marque par la retrospective consacree a Cezanne qui oriente definitivement sa peinture. La meme annee, il decouvre le cubisme de Picasso et de Braque .

Carriere artistique [ modifier | modifier le code ]

Leger defie Cezanne dans le Compotier sur la table (1909). Sans doute y inscrit-il deja sa peur de la grande influence du peintre d’Aix sur lui. Le peintre se fond bientot dans l’effervescence de la vie artistique parisienne et, des 1908, travaille aux cotes de Modigliani , Laurens , et surtout Alexandre Archipenko . Installe a la Ruche en 1908, il se lie avec Blaise Cendrars , Max Jacob et Guillaume Apollinaire et dialogue, entre autres, avec le peintre Robert Delaunay , et aussi avec Marc Chagall , Chaim Soutine , Chaim Jacob Lipchitz , Pierre Reverdy et Maurice Raynal [ 5 ] .

Fresque a l'universite centrale du Venezuela.

Cette influence se ressent, en 1910, dans ces Nus dans la foret qui font dire a Guillaume Apollinaire  : ≪ M. Fernand Leger a encore l’accent le plus inhumain de cette salle. Son art est difficile. ≫ Il les acheve apres presque deux ans de lutte.

Il peint en 1910 La Couseuse , qui ouvre sa periode cubiste. Amas de lignes geometriques loge dans un espace court, la toile est proche des figures massives de Picasso peintes la meme annee. Pourtant, des Nu dans la foret (1909-1910), Leger propose un cubisme personnel, meme s’il s’est certainement inspire de l’œuvre de Picasso portant le meme titre.

Le sujet est transforme en une chambre remplie d’artefacts et de robots. Dans cette œuvre, Leger se detache de la doctrine de Cezanne qui consistait a peindre a partir des cylindres et des cones. La sobriete des couleurs ainsi que l’activite frenetique des robots cree l’atmosphere symbolique d’un nouveau monde deshumanise. Sous certains aspects, c’est une anticipation du futurisme italien.

S’il partage le souci cubiste de creer un realisme non figuratif, il se distingue des Montmartrois en imposant un cubisme non pas intellectuel mais visuel. Son souci n’est pas, en effet, de figurer la totalite de l’objet, mais de distinguer chaque objet en volume et en plan au sein d’un espace ideal.

En 1913, Fernand Leger signe un contrat d'exclusivite avec Daniel-Henry Kahnweiler (1884-1979) [ 6 ] . La meme annee, il s'installe dans l'atelier du 86, rue Notre-Dame-des-Champs qu'il conservera toute sa vie. L'Academie moderne y sera creee en 1924.

Spectateur assidu du cirque Medrano , Fernand Leger peint les acrobates, les clowns, les jongleurs dont les corps ≪ mecanises ≫ ont la meme valeur que les objets et les decors. Il apparait ainsi dans Le Cirque Medrano (1918).

En 1918, il illustre le livre de Blaise Cendrars La Fin du monde filmee par l'Ange N.D. , concu comme une suite de plans cinematographiques. Il renoue avec le groupe de la revue Montjoie fondee par Ricciotto Canudo . Il rencontre le cineaste Jean Epstein , collabore au film d’ Abel Gance , La Roue , et realise les decors pour le film de Marcel L’Herbier , L'Inhumaine .

Engage par les Ballets suedois, il cree successivement les costumes et les decors de Skating-Rink (1922) et de La Creation du monde (1923).

En 1924, avec l'aide de Dudley Murphy , il tourne le film Ballet mecanique , ou l'utilisation du gros plan et le recours aux multiples effets de fragmentation produisent une dynamique repetitive. La meme annee, Fernand Leger se rapproche des puristes et participe a la revue L'Esprit nouveau [ 7 ] . En cette meme annee, il fonde avec Amedee Ozenfant l' Academie de l'art moderne ou ce dernier enseigne jusqu'en 1928 [ 8 ] .

Il pratique, selon Louis Vauxcelles , le ≪ tubisme ≫. Deboites, les volumes geometriques ne sont plus statiques et indissociables, mais autonomes, creant entre eux un antagonisme dynamique. L’interet qu’il voue au dynamisme, ≪ reflet du monde moderne ≫, le conduit en 1911 a frequenter l’atelier de Puteaux et a participer a la Section d’or . Il s’eloigne des themes intimistes et traditionnels de Braque et Picasso , et peint des sujets contemporains ( Le Passage a niveau , 1912). Il entame une serie de contrastes de formes ( La Femme en bleu , 1912), dans laquelle il reintroduit vivement la couleur et experimente brievement l’ abstraction . Apollinaire baptise alors l’art de Robert Delaunay et de Leger de ≪ cubisme orphique ≫ (voir orphisme ).

Pourtant, si Robert Delaunay prone la suprematie de la couleur, Leger, comme il le dit, aspire a ≪ un equilibre entre les lignes, les formes et les couleurs ≫ .

En , il part a Marseille , d'ou il embarque pour les Etats-Unis . Il y enseigne a l' universite de Yale avec Henri Focillon , Darius Milhaud et Andre Maurois [ 8 ] , [ 9 ] , [ 10 ] .

Il adhere au Parti communiste francais en 1945, dont il reste membre jusqu'a la fin de sa vie [ 11 ] . En 1946, il rouvre son atelier de la place Jules-Ferry a Montrouge [ 12 ] .

Au debut des annees 1950 , Fernand Leger participe avec Jean Bazaine et Jean Le Moal a la decoration de l’eglise du Sacre-Cœur, construite dans un quartier ouvrier d’ Audincourt ( Doubs ), pour laquelle il concoit les dix-sept vitraux de la nef et du chœur et dessine les cartons de la tapisserie situee derriere le maitre-autel.

Enseignement des arts [ modifier | modifier le code ]

Leger a dirige plusieurs ecoles (ou academies libres) de peinture.

En 1924, il fonde avec Amedee Ozenfant l' Academie de l'art moderne au 86, rue Notre-Dame-des-Champs a Paris, ou se trouve aussi son atelier. Ozenfant y enseigne jusqu'en 1928. Cette academie disparait en 1931, mais Leger l'ouvre de nouveau sous le nom Academie de l'art contemporain en 1934 [ 8 ] , [ 13 ] .

Pendant son exil aux Etats-Unis Fernand Leger enseigne en Californie a Mills College. A son retour en France, il retrouve son atelier rue Notre-Dame-des-Champs et ouvre une nouvelle ecole a Montrouge , puis boulevard de Clichy , a Montmartre . Il a ete le maitre de Ne?et Gunal et a forme de nombreux eleves qui ont diffuse ses idees dans tout l’art du XX e  siecle, en France ( Pierre Faniest , Etienne Hajdu , Tonia Cariffa , Abner, Carlos, Rene Margotton , William Klein , Nicolas de Stael …), mais aussi en Scandinavie (Eric Olson, Franciska Clausen , Otto G. Carlsund…), et a notamment donne des cours a l’auteur-compositeur-interprete Serge Gainsbourg [ 14 ] .

A Biot (Alpes-Maritimes) , le musee national Fernand Leger , edifie par Nadia Leger , sa femme, et Georges Bauquier , lui est consacre et expose la plus grande collection de ses œuvres, dont la mosaique sur la facade sud qu'il avait concue (et qui ete realisee par les mosaistes italiens Lino Melano et Luigi Guardigli ).

En 1965 parait un recueil des principaux textes de Fernand Leger. Roger Garaudy dit notamment ≪ ceux dans lesquels il situe la peinture moderne par rapport a la tradition, constituant ainsi l'initiation lucide pour qui veut comprendre la signification profonde de l' ecole de Paris [ 15 ]  ≫ . En particulier, Fernand Leger precise a nouveau le but du Salon des Independants  : ≪ C'est avant tout un salon de peintres pour les peintres, […], un salon de manifestation artistique, […] c'est son renouvellement eternel […] qui fait sa raison d'etre. Ici, il doit y avoir la place pour les chercheurs et leurs inquietudes. […] Le salon des independants est un salon d'amateurs, […] le salon des Inventeurs. […] Les bourgeois qui viennent rire de ces palpitations ne se douteront jamais que c'est un drame complet qui se joue la, avec toutes ses joies et ses histoires. S'ils en avaient conscience, car au fond ce sont de braves gens, il entreraient la avec respect, comme dans une eglise [ 16 ] . ≫

Vie privee [ modifier | modifier le code ]

Fernand Leger se marie en 1919 avec Jeanne Lohy qu'il a rencontree avant la guerre dans les milieux intellectuels parisiens. Devenue sa marraine de guerre, elle entretient une riche correspondance epistolaire avec l'artiste.

Veuf depuis 1950, il epouse en 1952 en secondes noces l'artiste peintre d'origine bielorusse Nadia Khodossievitch qui avait ete mariee brievement (1924-1927) avec le peintre polonais Stanisław Grabowski   (pl) . Apres avoir etudie entre autres a l' ecole des beaux-arts de Varsovie , Khodossievitch etait venue a Paris dans sa jeunesse pour completer sa formation et avait integre, en 1925, l'atelier de Fernand Leger a l'Academie Moderne. Leger lui avait confie la charge de professeur-assistante, fonction qu'elle conserve jusqu'a la mort de son epoux.

Musee national Fernand Leger [ modifier | modifier le code ]

Quelques mois avant sa mort en 1955, Fernand Leger acquiert le mas Saint-Andre, situe au pied du village de Biot . Sur ce terrain horticole, Nadia Leger, sa veuve, et Georges Bauquier, son proche collaborateur, decident de creer un musee pour lui rendre hommage et favoriser la connaissance de son œuvre. Le projet de batiment est concu par l’architecte Andrei Svetchine et le parc est confie au paysagiste Henri Fisch. L’edifice integre en facade une immense mosaique, initialement prevue par Leger pour la decoration du stade de Hanovre, mais jamais realisee. En 1969, les fondateurs font don a l’Etat francais du batiment, du terrain et d’une collection riche de plus de trois cents œuvres. Andre Malraux , ministre d’Etat charge des Affaires culturelles, recoit la donation au cours d’une manifestation officielle qui se termine par un gala organise au palais des festivals de Cannes. Le musee Leger devient musee national et, selon les clauses de la donation, les fondateurs restent directeurs a vie [ 17 ] .

Œuvre [ modifier | modifier le code ]

Expositions [ modifier | modifier le code ]

  • 1933 : Kunsthaus de Zurich, il y fait une conference sur ≪ le mur ≫, ≪ l'architecte ≫, ≪ le peintre ≫.
  • 1955 : 3 e biennale de Sao Paulo , Grand prix de la biennale.
  • Exposition Fernand Leger, du au , a la galerie Malingue, 26, avenue Matignon , 75008 Paris.
  • Exposition Fernand Leger. Le Beau est partout , du au au Centre Pompidou-Metz.
  • Exposition Fernand Leger, la vie a bras-le-corps , du au au Musee Soulages de Rodez [ 18 ] .

Œuvres dans des collections publiques [ modifier | modifier le code ]

Grand tournesol (La Fleur polychrome) (1952), Musee des beaux-arts de Montreal .

Filmographie [ modifier | modifier le code ]

Eleves [ modifier | modifier le code ]

Iconographie [ modifier | modifier le code ]

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

  1. ≪  http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000147  ≫ (consulte le )
  2. ≪  http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000147  ≫ (consulte le )
  3. ≪  Fernand Leger sur Larousse.fr  ≫ (consulte le ) .
  4. La qualification ≪ tubiste ≫ a ete emise non sans moquerie par le critique d'art Louis Vauxcelles qui est egalement a l'origine du mot ≪ cubiste ≫
  5. Leger 1965 , p.  200 Biographie.
  6. ≪ Fernand Leger ? Biographie ≫ par le musee national Fernand Leger sur le site musees-nationaux-alpesmaritimes.fr .
  7. Le musee national Fernand Leger .
  8. a b et c Fernand Leger et la verite optique , dossier de presse de l'exposition retrospective a Paris au Centre Georges-Pompidou du 29 mai au 29 septembre 1997.
  9. Eugenie Bastie , ≪ Breton / Saint-Exupery, le manifeste et le sacrifice ≫, Le Figaro Magazine , semaine du 21 juillet 2017, pages 22-25.
  10. Cf. Emmanuelle Loyer , Paris a New York. Intellectuels et artistes francais en exil (1940-1947) , Grasset, 2005.
  11. [1]
  12. Immeuble d'ateliers d'artistes
  13. Annees 30 en Europe : le temps menacant 1929-1939 , catalogue de l'exposition qui se tient du au au Musee d'art moderne de la ville de Paris, Paris musees, 1997, p.  490.
  14. ≪  Gainsbourg eleve de Lucien Leger apres la Liberation  ≫, sur universalis.fr (consulte le ) .
  15. Leger 1965 , p.  Preface
  16. Leger 1965 , p.  27 & 28
  17. Site officiel du musee national Fernand Leger .
  18. Aveyron. La retrospective evenement Fernand Leger arrive enfin au musee Soulages
  19. David Colling , ≪  Le don Raymond Lepee a l'Institut archeologique du Luxembourg, 2015-2016  ≫, Bulletin trimestriel de l'Institut archeologique du Luxembourg , vol.  93, n os  1-2,‎ , p.  85

Voir aussi [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

  • Benoit Decron ( dir. ) et Maurice Frechuret ( dir. ), Fernand Leger : La vie a bras-le-corps (exposition, Rodez, musee Soulages , 11 juin - 6 novembre 2022), ( ISBN   978-2-07-290194-2 )
  • Francois Albera  : Fernand Leger et le cinema , Nouvelles Editions Place, 2021
  • Fernand Leger : Lettres a Charlotte et Andre Mare (1906-1932) , correspondance presentee par Tristan Rondeau et prefacee par Michel Onfray. Textes d’introduction de Laurence Graffin, Jean-Christophe Orticoni, Yves Chevrefils Desbiolles et Benoit Noel, Sainte-Marguerite-des-Loges, Editions BVR, 2019. ( ISBN   978-2-9556296-3-5 )
  • Brigitte Richard et al. : catalogue des expositions Leger, le cercle au Musee des Beaux-Arts de Saint-Lo (Manche) et Leger a la lettre… au Musee d’art moderne Richard Anacreon (Manche) du samedi au dimanche .
  • Ariane Coulondre et al. : catalogue de l’exposition Fernand Leger - Le Beau est partout au Centre Pompidou de Metz du au puis a Bozart (Bruxelles) du au .
  • Francois Albera  : ≪ Deux scenarios inedits de Fernand Leger : un Charlot cubiste et la Vierge rouge  ≫ et ≪ Fernand Leger et ‘l'affiche-arret’ : la Roue , l' Inhumaine  ≫, 1895 Revue d’histoire du cinema , n°81, printemps 2017.
  • Benoit Noel : ≪ Fernand Leger et Andre Mare, Normands pur jus ≫, Revue Le Pays d’Auge , mars- .
  • Katia Baudin et al. : catalogue de l’exposition Fernand Leger - Malerei im Raum, presentee au Musee Ludwig (Cologne) du au .
  • Benoit Noel - Preface de Dominique Wallard : Fernand Leger - Un Normand planetaire , Sainte-Marguerite-des-Loges, Editions BVR, 2015. ( ISBN   978-2-9524-1338-1 )
  • Blandine Chavannes, Diana Gay, Nelly Maillard et al. : catalogue de l’exposition Fernand Leger - Reconstruire le reel des musees de Biot et de Nantes, 2014.
  • Annette Becker, Diana Gay, Nelly Maillard et al. : catalogue de l’exposition Fernand Leger - Ah que la guerre est cubiste ! , Musee national Fernand Leger - Biot, 2014.
  • Jean-Paul Morel : Lever de rideau sur Fernand Leger , Favre, Lausanne, 2007.
  • Yvonne Brunhammer et Pierre Descargues : Fernand Leger - L’œuvre monumental , Milan, 5 Continents, 2005.
  • Sarah Wilson et al. : catalogue de l’exposition Fernand Leger au Musee des Beaux-Arts de Lyon du 1 er juillet au .
  • Carolyn Lanchner : catalogue de l’exposition Fernand Leger du The Museum of Modern Art (MOMA), New York, - .
  • Fernand Leger a Simone Herman : Une correspondance poste restante , presentee, etablie et annotee par Christian Derouet, Paris, Centre Georges Pompidou, 1997.
  • Christian Derouet et al. : Retrospective Fernand Leger , Centre Georges Pompidou - Paris, 1997.
  • Fernand Leger : Fonctions de la peinture , anthologie presentee pa r Sylvie Forestier, Paris, Gallimard-Folio, 1997.
  • Fernand Leger a Leonce Rosenberg : Une correspondance d’affaires , etablie et annotee par Christian Derouet, Paris, Centre Georges Pompidou, 1996.
  • Christian Derouet et al. : Fernand Leger et le spectacle , catalogue de l’exposition presentee au Musee national Fernand Leger, Biot, 1995.
  • Pierre Descargues : Fernand Leger , Paris, Maeght, 1995.
  • Dorothy M. Kosinski, Christoph Asendorf  et al. : Fernand Leger - Le rythme de la vie moderne 1911-1927 , catalogue des expositions des Kunstmuseum de Wolfsburg (Basse-Saxe) et Bale (Suisse), Paris, Flammarion, 1994.
  • Fernand Leger a Louis Poughon : Une correspondance de guerre , presentee, etablie et annotee par Christian Derouet, Paris, Centre Georges Pompidou, 1990.
  • Giovanni Lista et al. : catalogue de l’exposition Fernand Leger presentee au Musee d’Art Moderne de Villeneuve d’Ascq. au .
  • Georges Bauquier et Nelly Maillard : Fernand Leger (1903-1919) - Catalogue raisonne de l’œuvre peint , Paris, Editions Adrien Maeght, 1990. 9 tomes suivront.
  • Fernand Leger : Lettres a Simone [Herman],  Preface de Maurice Jardot, correspondance presentee, etablie et annotee par Christian Derouet, Geneve-Paris, Skira-Centre Georges Pompidou, 1987.
  • Georges Bauquier : Fernand Leger - Vivre dans le vrai , Paris, Adrien Maeght Editeur, 1987.
  • Gladys C. Fabre et Marie-Odile Briot : catalogue de l’exposition Leger et l’esprit moderne 1918-31 presentee au Musee d’Art Moderne de la Ville de Paris, Museum of Fine Arts (Houston) et Rath (Geneve) de mars a .
  • Dora Vallier et al. : Catalogue de l’exposition Hommage a Fernand Leger (1881-1955) presentee a la Staatliche Kunsthalle de Berlin du 1980 au 1981 puis au Musee Fernand Leger de Biot du au .
  • Lawrence Saphire - Preface de Fernand Mourlot : Fernand Leger - L’œuvre grave , New York, Blue Moon Press, 1985.
  • Jean Leymarie et Jean Cassou : Fernand Leger - dessins et gouaches , Paris, Chene, 1972.
  • Nadia Leger et al. : Numero special Hommage a Fernand Leger , revue XX e  siecle , 1971.
  • Guido Le Noci : Fernand Leger - Sa vie - Son Œuvre - Son Reve , Milan, Edizioni Apollinaire, 1971.
  • Jean Leymarie et Jean Cassou : catalogue de la retrospective Leger aux Galeries Nationales du Grand Palais d’ a .
  • Roger Garaudy  : Pour un realisme du XX e  siecle ? Dialogue posthume avec Fernand Leger , Paris, Grasset, 1968.
  • Fernand Leger : Fonctions de la peinture - Preface de Roger Garaudy[[]], Paris, Denoel Gonthier, 1965.
  • Fernand Leger : Mes Voyages - Poeme-Preface de Louis Aragon , Paris, Les Editeurs Francais Reunis, 1960.
  • Fernand Leger : La ville , Paris, Teriade, 1959.
  • Francois Mathey et al. : Catalogue exposition Fernand Leger , Musee des Arts Decoratifs, Paris, 1956.
  • Fernand Leger, Blaise Cendrars et Douglas Cooper : Dessins de guerre 1915-16 , Paris, Berggruen & Cie, 1956.
  • Andre Verdet : Fernand Leger - le dynamisme pictural , Geneve, Pierre Cailler, 1955.
  • Fernand Leger : Le cirque , Paris, Teriade, 1950.
  • Douglas Cooper : Fernand Leger et le nouvel espace , Geneve, Edition des trois collines, 1949.
  • Pierre Descargues : Fernand Leger , Paris, Le Cercle d’Art, 1955.
  • Waldemar-George : Fernand Leger , Paris, NRF Gallimard, 1929.
  • Pierre Guenegan, preface de Susan L. Ball, Le Purisme & son influence internationale - annuaire de 50 artistes emblematiques , 335 pages illustrees, Editions Lanwell & Leeds Ltd, St Alban, Hertfordshire, England, 2019, ( ISBN   978-2-9700494-8-7 )
  • Maurice Raynal : Les maitres du cubisme - Fernand Leger - Vingt tableaux , Paris, Editions de l’Effort Moderne, 1920.
Ouvrages jeunesse

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Liens externes [ modifier | modifier le code ]

Sur les autres projets Wikimedia :