Biographie
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Lezhe, Fernan
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Conjoint
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Autres informations
Membre de
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Conflit
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Mouvement
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Mecene
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Represente par
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Eleve
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Genres artistiques
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Influence par
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Distinction
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Grand prix de la Biennale a Sao Paulo
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Archives conservees par
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Fernand Leger
, ne le
, a
Argentan
(
Orne
) et mort le
a
Gif-sur-Yvette
(
Essonne
), est un
peintre
francais
, aussi createur de cartons de
tapisseries
et de
vitraux
,
decorateur
,
ceramiste
,
sculpteur
,
dessinateur
et
illustrateur
.
Il a ete l’un des premiers a exposer publiquement des travaux d’orientation
cubiste
[
3
]
, meme si on a parfois qualifie son style de ≪ tubiste
[
4
]
≫.
A dix-neuf ans, apres une enfance a
Argentan
et des etudes d'architecture a
Caen
, il decouvre le Paris de 1900. Fernand Leger n’y accomplit jamais la formation d’
architecte
qu’il est venu y poursuivre. Lentement, s’impregnant patiemment du mouvement dynamique de la ville, il troque son tire-ligne pour les pinceaux : l’assurance d’un metier stable contre la promesse d’une liberte perilleuse.
Des 1903, Fernand Leger partage un atelier avec le peintre
Andre Mare
. Apres son echec aux
Beaux-Arts
, il s’exerce dans diverses academies.
Daniel-Henry Kahnweiler
, qui devient son marchand, se souvient ainsi de Leger allant dessiner le nu presque tous les soirs a l’
academie de la Grande Chaumiere
. Il reste difficile de savoir a quoi ressemblaient ces dessins. Fernand Leger dit effectivement avoir detruit entre 1902 et 1908 une grande partie de ses travaux au fur et a mesure de leur production. Peut-etre contenaient-ils encore quelques traces du sentimentalisme du
Jardin de ma mere
, peint en 1905, ou de ces
Gamins au soleil
(1907) que
Guillaume Apollinaire
qualifia de
≪ baignades du soir postimpressionnistes ≫
. Sans interpretation abusive, on peut assimiler la destruction de ces dessins a un acte proprement artistique : en s’attaquant a ses tentatives desuetes, Fernand Leger brutalisait deja la tradition.
En 1907, comme de nombreux peintres parisiens, il est tres marque par la retrospective consacree a
Cezanne
qui oriente definitivement sa peinture. La meme annee, il decouvre le cubisme de
Picasso
et de
Braque
.
Leger defie Cezanne dans le
Compotier sur la table
(1909). Sans doute y inscrit-il deja sa peur de la grande influence du peintre d’Aix sur lui. Le peintre se fond bientot dans l’effervescence de la vie artistique parisienne et, des 1908, travaille aux cotes de
Modigliani
,
Laurens
, et surtout
Alexandre Archipenko
. Installe a la
Ruche
en 1908, il se lie avec
Blaise Cendrars
,
Max Jacob
et Guillaume Apollinaire et dialogue, entre autres, avec le peintre
Robert Delaunay
, et aussi avec
Marc Chagall
,
Chaim Soutine
,
Chaim Jacob Lipchitz
,
Pierre Reverdy
et
Maurice Raynal
[
5
]
.
Cette influence se ressent, en 1910, dans ces
Nus dans la foret
qui font dire a
Guillaume Apollinaire
:
≪ M. Fernand Leger a encore l’accent le plus inhumain de cette salle. Son art est difficile. ≫
Il les acheve apres presque deux ans de lutte.
Il peint en 1910
La Couseuse
, qui ouvre sa periode cubiste. Amas de lignes geometriques loge dans un espace court, la toile est proche des figures massives de Picasso peintes la meme annee. Pourtant, des
Nu dans la foret
(1909-1910), Leger propose un
cubisme
personnel, meme s’il s’est certainement inspire de l’œuvre de Picasso portant le meme titre.
Le sujet est transforme en une chambre remplie d’artefacts et de robots. Dans cette œuvre, Leger se detache de la doctrine de Cezanne qui consistait a peindre a partir des cylindres et des cones. La sobriete des couleurs ainsi que l’activite frenetique des robots cree l’atmosphere symbolique d’un nouveau monde deshumanise. Sous certains aspects, c’est une anticipation du
futurisme
italien.
S’il partage le souci cubiste de creer un realisme non figuratif, il se distingue des Montmartrois en imposant un
cubisme
non pas intellectuel mais visuel. Son souci n’est pas, en effet, de figurer la totalite de l’objet, mais de distinguer chaque objet en volume et en plan au sein d’un espace ideal.
En 1913, Fernand Leger signe un contrat d'exclusivite avec
Daniel-Henry Kahnweiler
(1884-1979)
[
6
]
. La meme annee, il s'installe dans l'atelier du 86,
rue Notre-Dame-des-Champs
qu'il conservera toute sa vie. L'Academie moderne y sera creee en 1924.
Spectateur assidu du
cirque Medrano
, Fernand Leger peint les acrobates, les clowns, les jongleurs dont les corps ≪ mecanises ≫ ont la meme valeur que les objets et les decors. Il apparait ainsi dans
Le Cirque Medrano
(1918).
En 1918, il illustre le livre de
Blaise Cendrars
La Fin du monde filmee par l'Ange N.D.
, concu comme une suite de plans cinematographiques. Il renoue avec le groupe de la revue
Montjoie
fondee par
Ricciotto Canudo
. Il rencontre le cineaste
Jean Epstein
, collabore au film d’
Abel Gance
,
La Roue
, et realise les decors pour le film de
Marcel L’Herbier
,
L'Inhumaine
.
Engage par les Ballets suedois, il cree successivement les costumes et les decors de
Skating-Rink
(1922) et de
La Creation du monde
(1923).
En 1924, avec l'aide de
Dudley Murphy
, il tourne le film
Ballet mecanique
, ou l'utilisation du gros plan et le recours aux multiples effets de fragmentation produisent une dynamique repetitive. La meme annee, Fernand Leger se rapproche des puristes et participe a la revue
L'Esprit nouveau
[
7
]
. En cette meme annee, il fonde avec
Amedee Ozenfant
l'
Academie de l'art moderne
ou ce dernier enseigne jusqu'en 1928
[
8
]
.
Il pratique, selon
Louis Vauxcelles
, le ≪ tubisme ≫. Deboites, les volumes geometriques ne sont plus statiques et indissociables, mais autonomes, creant entre eux un antagonisme dynamique. L’interet qu’il voue au dynamisme, ≪ reflet du monde moderne ≫, le conduit en 1911 a frequenter l’atelier de
Puteaux
et a participer a la
Section d’or
. Il s’eloigne des themes intimistes et traditionnels de
Braque
et
Picasso
, et peint des sujets contemporains (
Le Passage a niveau
, 1912). Il entame une serie de contrastes de formes (
La Femme en bleu
, 1912), dans laquelle il reintroduit vivement la couleur et experimente brievement l’
abstraction
.
Apollinaire
baptise alors l’art de
Robert Delaunay
et de Leger de ≪ cubisme orphique ≫ (voir
orphisme
).
Pourtant, si Robert Delaunay prone la suprematie de la couleur, Leger, comme il le dit, aspire a
≪ un equilibre entre les lignes, les formes et les couleurs ≫
.
En
, il part a
Marseille
, d'ou il embarque pour les
Etats-Unis
. Il y enseigne a l'
universite de Yale
avec
Henri Focillon
,
Darius Milhaud
et
Andre Maurois
[
8
]
,
[
9
]
,
[
10
]
.
Il adhere au
Parti communiste francais
en 1945, dont il reste membre jusqu'a la fin de sa vie
[
11
]
. En 1946, il rouvre son atelier de la
place Jules-Ferry
a
Montrouge
[
12
]
.
Au debut des
annees 1950
, Fernand Leger participe avec
Jean Bazaine
et
Jean Le Moal
a la decoration de l’eglise du Sacre-Cœur, construite dans un quartier ouvrier d’
Audincourt
(
Doubs
), pour laquelle il concoit les dix-sept
vitraux
de la
nef
et du
chœur
et dessine les cartons de la
tapisserie
situee derriere le maitre-autel.
Leger a dirige plusieurs ecoles (ou academies libres) de peinture.
En 1924, il fonde avec
Amedee Ozenfant
l'
Academie de l'art moderne
au 86,
rue Notre-Dame-des-Champs
a Paris, ou se trouve aussi son atelier. Ozenfant y enseigne jusqu'en 1928. Cette academie disparait en 1931, mais Leger l'ouvre de nouveau sous le nom Academie de l'art contemporain en 1934
[
8
]
,
[
13
]
.
Pendant son exil aux Etats-Unis Fernand Leger enseigne en Californie a Mills College. A son retour en France, il retrouve son atelier rue Notre-Dame-des-Champs et ouvre une nouvelle ecole a
Montrouge
, puis
boulevard de Clichy
, a
Montmartre
. Il a ete le maitre de
Ne?et Gunal
et a forme de nombreux eleves qui ont diffuse ses idees dans tout l’art du
XX
e
siecle, en France (
Pierre Faniest
,
Etienne Hajdu
,
Tonia Cariffa
, Abner, Carlos,
Rene Margotton
,
William Klein
,
Nicolas de Stael
…), mais aussi en Scandinavie (Eric Olson,
Franciska Clausen
, Otto G. Carlsund…), et a notamment donne des cours a l’auteur-compositeur-interprete
Serge Gainsbourg
[
14
]
.
A
Biot (Alpes-Maritimes)
, le
musee national Fernand Leger
, edifie par
Nadia Leger
, sa femme, et
Georges Bauquier
, lui est consacre et expose la plus grande collection de ses œuvres, dont la mosaique sur la facade sud qu'il avait concue (et qui ete realisee par les mosaistes italiens Lino Melano et
Luigi Guardigli
).
En 1965 parait un recueil des principaux textes de Fernand Leger.
Roger Garaudy
dit notamment
≪ ceux dans lesquels il situe la peinture moderne par rapport a la tradition, constituant ainsi l'initiation lucide pour qui veut comprendre la signification profonde de l'
ecole de Paris
[
15
]
≫
. En particulier, Fernand Leger precise a nouveau le but du
Salon des Independants
:
≪ C'est avant tout un salon de peintres pour les peintres, […], un salon de manifestation artistique, […] c'est son renouvellement eternel […] qui fait sa raison d'etre. Ici, il doit y avoir la place pour les chercheurs et leurs inquietudes. […] Le salon des independants est un salon d'amateurs, […] le salon des Inventeurs. […] Les bourgeois qui viennent rire de ces palpitations ne se douteront jamais que c'est un drame complet qui se joue la, avec toutes ses joies et ses histoires. S'ils en avaient conscience, car au fond ce sont de braves gens, il entreraient la avec respect, comme dans une eglise
[
16
]
. ≫
Fernand Leger se marie en 1919 avec Jeanne Lohy qu'il a rencontree avant la guerre dans les milieux intellectuels parisiens. Devenue sa marraine de guerre, elle entretient une riche correspondance epistolaire avec l'artiste.
Veuf depuis 1950, il epouse en 1952 en secondes noces l'artiste peintre d'origine bielorusse
Nadia Khodossievitch
qui avait ete mariee brievement (1924-1927) avec le peintre polonais
Stanisław Grabowski
(pl)
. Apres avoir etudie entre autres a l'
ecole des beaux-arts
de
Varsovie
, Khodossievitch etait venue a Paris dans sa jeunesse pour completer sa formation et avait integre, en 1925, l'atelier de Fernand Leger a l'Academie Moderne. Leger lui avait confie la charge de professeur-assistante, fonction qu'elle conserve jusqu'a la mort de son epoux.
Quelques mois avant sa mort en 1955, Fernand Leger acquiert le
mas
Saint-Andre, situe au pied du village de
Biot
. Sur ce terrain horticole, Nadia Leger, sa veuve, et Georges Bauquier, son proche collaborateur, decident de creer un musee pour lui rendre hommage et favoriser la connaissance de son œuvre. Le projet de batiment est concu par l’architecte
Andrei Svetchine
et le parc est confie au paysagiste Henri Fisch. L’edifice integre en facade une immense mosaique, initialement prevue par Leger pour la decoration du stade de Hanovre, mais jamais realisee. En 1969, les fondateurs font don a l’Etat francais du batiment, du terrain et d’une collection riche de plus de trois cents œuvres.
Andre Malraux
, ministre d’Etat charge des Affaires culturelles, recoit la donation au cours d’une manifestation officielle qui se termine par un gala organise au palais des festivals de Cannes. Le musee Leger devient musee national et, selon les clauses de la donation, les fondateurs restent directeurs a vie
[
17
]
.
- 1933 : Kunsthaus de Zurich, il y fait une conference sur ≪ le mur ≫, ≪ l'architecte ≫, ≪ le peintre ≫.
- 1955 :
3
e
biennale de Sao Paulo
, Grand prix de la biennale.
- Exposition Fernand Leger, du
au
, a la galerie Malingue, 26,
avenue Matignon
, 75008 Paris.
- Exposition
Fernand Leger. Le Beau est partout
, du
au
au Centre Pompidou-Metz.
- Exposition
Fernand Leger, la vie a bras-le-corps
, du
au
au
Musee Soulages
de
Rodez
[
18
]
.
- La Couseuse
(1910),
musee national d'Art moderne
, huile sur toile (73 × 54
cm
).
- Nus dans la foret
(1909-1911),
musee Kroller-Muller
, huile sur toile (120 × 170
cm
).
- La Noce
(1911-1912),
musee national d'Art moderne
, huile sur toile (257 × 206
cm
).
- Le Passage a niveau
(1912),
Fondation Beyeler
,
Riehen
,
Suisse
.
- Les Toits de Paris
(1912), huile sur toile (90 × 64
cm
), Paris,
musee national d'art moderne
,
Centre Georges-Pompidou
.
- Contrastes de formes
, (1913), Paris.
- L'Escalier
, (1914), Bale.
- Le Reveil-matin
, (1914), Paris, musee national d'art moderne, Centre Georges-Pompidou.
- Les Maisons dans les arbres
, (1914), Bale.
- Paysage
(1914),
Villeneuve-d'Ascq
,
musee d'Art moderne Lille Metropole
,
France
.
- Le 14 Juillet
(1914),
Biot
,
musee national Fernand-Leger
.
- Soldats jouant aux cartes
(1916), Paris, Centre Georges Pompidou.
- Le Soldat
(1917),
Otterlo
,
musee Kroller-Muller
,
Pays-Bas
.
- La Partie de cartes
(1917), musee Kroller-Muller.
- Le Cirque Medrano
(1918), musee national d'Art moderne.
- Le Remorqueur
, (1920),
musee de Grenoble
.
- Trois femmes et nature morte (Dejeuner)
(1920),
Dallas Museum of Art
, huile sur toile (73 × 92
cm
).
- Le Mecanicien
(1918),
Villeneuve-d'Ascq
,
Lille Metropole Musee d'Art moderne, d'Art contemporain et d'Art brut
.
- Le Grand Remorqueur
(1923),
Biot
,
musee national Fernand-Leger
.
- Femme au bouquet
(1924), Villeneuve-d'Ascq, Lille Metropole Musee d'Art moderne, d'Art contemporain et d'Art brut.
- Charlot cubiste
(1924),
musee Pierre-Noel de Saint-Die-des-Vosges
.
- Composition a la main et aux chapeaux
(1927),
musee national d'Art moderne
, huile sur toile (248 × 185,5
cm
).
- La Joconde aux cles
(1930),
Biot (Alpes-Maritimes)
,
musee national Fernand Leger
.
- La Baigneuse
(1932),
Biot
,
musee national Fernand-Leger
.
- Composition avec des troncs d'arbres
(1933),
Dallas Museum of Art
, huile sur toile (131 × 63
cm
).
- Composition aux deux perroquets
(1935-1939),
musee national d'Art moderne
, huile sur toile (400 × 480
cm
).
- Leger, 1937,
Le transport des forces
(1927), peinture murale monumentale, 491 × 870
cm
,
Palais de la decouverte
, Paris.
- Les Quatre cyclistes
, (1943-1948), Biot, Musee national Fernand Leger, huile sur toile (129 × 161,5
cm
).
- La Feuille verte
, (1945),
Nantes
,
Musee d'Arts de Nantes
, huile sur toile (50,2 × 65,1
cm
).
- Nature morte au couteau
, (1945-1949),
Marseille
,
Musee Cantini
, huile sur toile (72,8 × 60
cm
).
- Adieu New York
(1946), huile sur toile, Paris,
Centre Georges Pompidou
.
- Les Loisirs sur fond rouge
, (1949), Biot, Musee national Fernand Leger, huile sur toile (113 × 146
cm
).
- Les Constructeurs, etat definitif
(1950), Biot, musee national Fernand Leger.
- Le Campeur
(1954),
Biot
,
musee national Fernand-Leger
.
- Deux papillons jaunes sur une echelle
, Biot, musee national Fernand Leger.
- La Partie de campagne
,
musee d'Art moderne et contemporain de Saint-Etienne Metropole
.
- Composition
, gouache,
Arlon
,
musee Gaspar
, collection de l'
Institut archeologique du Luxembourg
[
19
]
.
- ↑
≪
http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000147
≫
(consulte le
)
- ↑
≪
http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000147
≫
(consulte le
)
- ↑
≪
Fernand Leger sur Larousse.fr
≫
(consulte le
)
.
- ↑
La qualification ≪ tubiste ≫ a ete emise non sans moquerie par le critique d'art
Louis Vauxcelles
qui est egalement a l'origine du mot ≪ cubiste ≫
- ↑
Leger 1965
,
p.
200 Biographie.
- ↑
≪ Fernand Leger ? Biographie ≫
par le musee national Fernand Leger sur le site
musees-nationaux-alpesmaritimes.fr
.
- ↑
Le musee national Fernand Leger
.
- ↑
a
b
et
c
Fernand Leger et la verite optique
, dossier de presse de l'exposition retrospective a Paris au Centre Georges-Pompidou du 29 mai au 29 septembre 1997.
- ↑
Eugenie Bastie
, ≪ Breton / Saint-Exupery, le manifeste et le sacrifice ≫,
Le Figaro Magazine
, semaine du 21 juillet 2017, pages 22-25.
- ↑
Cf.
Emmanuelle Loyer
,
Paris a New York. Intellectuels et artistes francais en exil (1940-1947)
, Grasset, 2005.
- ↑
[1]
- ↑
Immeuble d'ateliers d'artistes
- ↑
Annees 30 en Europe : le temps menacant 1929-1939
, catalogue de l'exposition qui se tient du
au
au Musee d'art moderne de la ville de Paris, Paris musees, 1997,
p.
490.
- ↑
≪
Gainsbourg eleve de Lucien Leger apres la Liberation
≫, sur
universalis.fr
(consulte le
)
.
- ↑
Leger 1965
,
p.
Preface
- ↑
Leger 1965
,
p.
27 & 28
- ↑
Site officiel du musee national Fernand Leger
.
- ↑
Aveyron. La retrospective evenement Fernand Leger arrive enfin au musee Soulages
- ↑
David Colling
, ≪
Le don Raymond Lepee a l'Institut archeologique du Luxembourg, 2015-2016
≫,
Bulletin trimestriel de l'Institut archeologique du Luxembourg
,
vol.
93,
n
os
1-2,
,
p.
85
- Benoit Decron (
dir.
) et
Maurice Frechuret
(
dir.
),
Fernand Leger : La vie a bras-le-corps
(exposition, Rodez,
musee Soulages
, 11 juin - 6 novembre 2022),
(
ISBN
978-2-07-290194-2
)
- Francois Albera
:
Fernand Leger et le cinema
, Nouvelles Editions Place, 2021
- Fernand Leger :
Lettres a Charlotte et Andre Mare (1906-1932)
, correspondance presentee par Tristan Rondeau et prefacee par Michel Onfray. Textes d’introduction de Laurence Graffin, Jean-Christophe Orticoni, Yves Chevrefils Desbiolles et Benoit Noel, Sainte-Marguerite-des-Loges, Editions BVR, 2019.
(
ISBN
978-2-9556296-3-5
)
- Brigitte Richard et al. : catalogue des expositions
Leger, le cercle
au Musee des Beaux-Arts de Saint-Lo (Manche) et
Leger a la lettre…
au Musee d’art moderne Richard Anacreon (Manche) du samedi
au dimanche
.
- Ariane Coulondre et al. :
catalogue de l’exposition Fernand Leger - Le Beau est partout
au Centre Pompidou de Metz du
au
puis a Bozart (Bruxelles) du
au
.
- Francois Albera
: ≪ Deux scenarios inedits de Fernand Leger : un
Charlot cubiste
et la
Vierge rouge
≫ et ≪ Fernand Leger et ‘l'affiche-arret’ : la
Roue
, l'
Inhumaine
≫,
1895 Revue d’histoire du cinema
, n°81, printemps 2017.
- Benoit Noel : ≪ Fernand Leger et Andre Mare, Normands pur jus ≫, Revue
Le Pays d’Auge
, mars-
.
- Katia Baudin et al. : catalogue de l’exposition
Fernand Leger - Malerei im Raum, presentee au
Musee Ludwig (Cologne) du
au
.
- Benoit Noel - Preface de Dominique Wallard :
Fernand Leger - Un Normand planetaire
, Sainte-Marguerite-des-Loges, Editions BVR, 2015.
(
ISBN
978-2-9524-1338-1
)
- Blandine Chavannes, Diana Gay, Nelly Maillard et al. : catalogue de l’exposition
Fernand Leger - Reconstruire le reel
des musees de Biot et de Nantes, 2014.
- Annette Becker, Diana Gay, Nelly Maillard et al. : catalogue de l’exposition
Fernand Leger - Ah que la guerre est cubiste !
, Musee national Fernand Leger - Biot, 2014.
- Jean-Paul Morel :
Lever de rideau sur Fernand Leger
, Favre, Lausanne, 2007.
- Yvonne Brunhammer et Pierre Descargues :
Fernand Leger - L’œuvre monumental
, Milan, 5 Continents, 2005.
- Sarah Wilson et al. : catalogue de l’exposition
Fernand Leger
au Musee des Beaux-Arts de Lyon du
1
er
juillet au
.
- Carolyn Lanchner : catalogue de l’exposition
Fernand Leger
du The Museum of Modern Art (MOMA), New York,
-
.
- Fernand Leger a Simone Herman :
Une correspondance poste restante
, presentee, etablie et annotee par Christian Derouet, Paris, Centre Georges Pompidou, 1997.
- Christian Derouet et al. : Retrospective
Fernand Leger
, Centre Georges Pompidou - Paris, 1997.
- Fernand Leger :
Fonctions de la peinture
, anthologie presentee pa
r
Sylvie Forestier, Paris, Gallimard-Folio, 1997.
- Fernand Leger a Leonce Rosenberg :
Une correspondance d’affaires
, etablie et annotee par Christian Derouet, Paris, Centre Georges Pompidou, 1996.
- Christian Derouet et al. :
Fernand Leger et le spectacle
, catalogue de l’exposition presentee au Musee national Fernand Leger, Biot, 1995.
- Pierre Descargues :
Fernand Leger
, Paris, Maeght, 1995.
- Dorothy M. Kosinski, Christoph Asendorf et al. :
Fernand Leger - Le rythme de la vie moderne 1911-1927
, catalogue des expositions des Kunstmuseum de Wolfsburg (Basse-Saxe) et Bale (Suisse), Paris, Flammarion, 1994.
- Fernand Leger a Louis Poughon :
Une correspondance de guerre
, presentee, etablie et annotee par Christian Derouet, Paris, Centre Georges Pompidou, 1990.
- Giovanni Lista et al. : catalogue de l’exposition
Fernand Leger
presentee au Musee d’Art Moderne de Villeneuve d’Ascq.
au
.
- Georges Bauquier et Nelly Maillard :
Fernand Leger (1903-1919) - Catalogue raisonne de l’œuvre peint
, Paris, Editions Adrien Maeght, 1990. 9 tomes suivront.
- Fernand Leger :
Lettres a Simone
[Herman], Preface de Maurice Jardot, correspondance presentee, etablie et annotee par Christian Derouet, Geneve-Paris, Skira-Centre Georges Pompidou, 1987.
- Georges Bauquier :
Fernand Leger - Vivre dans le vrai
, Paris, Adrien Maeght Editeur, 1987.
- Gladys C. Fabre et Marie-Odile Briot : catalogue de l’exposition
Leger et l’esprit moderne 1918-31
presentee au Musee d’Art Moderne de la Ville de Paris, Museum of Fine Arts (Houston) et Rath (Geneve) de mars a
.
- Dora Vallier et al.
: Catalogue de l’exposition Hommage a Fernand Leger (1881-1955)
presentee a la Staatliche Kunsthalle de Berlin du
1980
au
1981
puis au Musee Fernand Leger de Biot du
au
.
- Lawrence Saphire - Preface de Fernand Mourlot :
Fernand Leger - L’œuvre grave
, New York, Blue Moon Press, 1985.
- Jean Leymarie et Jean Cassou :
Fernand Leger - dessins et gouaches
, Paris, Chene, 1972.
- Nadia Leger et al. : Numero special
Hommage a Fernand Leger
, revue
XX
e
siecle
, 1971.
- Guido Le Noci :
Fernand Leger - Sa vie - Son Œuvre - Son Reve
, Milan, Edizioni Apollinaire, 1971.
- Jean Leymarie et Jean Cassou : catalogue de la retrospective
Leger
aux Galeries Nationales du Grand Palais d’
a
.
- Roger Garaudy
:
Pour un realisme du
XX
e
siecle ? Dialogue posthume avec Fernand Leger
, Paris, Grasset, 1968.
- Fernand Leger :
Fonctions de la peinture
- Preface de Roger Garaudy[[]], Paris, Denoel Gonthier, 1965.
- Fernand Leger :
Mes Voyages - Poeme-Preface de Louis Aragon
, Paris, Les Editeurs Francais Reunis, 1960.
- Fernand Leger :
La ville
, Paris, Teriade, 1959.
- Francois Mathey et al. : Catalogue exposition
Fernand Leger
, Musee des Arts Decoratifs, Paris, 1956.
- Fernand Leger, Blaise Cendrars et Douglas Cooper :
Dessins de guerre 1915-16
, Paris, Berggruen & Cie, 1956.
- Andre Verdet :
Fernand Leger - le dynamisme pictural
, Geneve, Pierre Cailler, 1955.
- Fernand Leger :
Le cirque
, Paris, Teriade, 1950.
- Douglas Cooper :
Fernand Leger et le nouvel espace
, Geneve, Edition des trois collines, 1949.
- Pierre Descargues :
Fernand Leger
, Paris, Le Cercle d’Art, 1955.
- Waldemar-George :
Fernand Leger
, Paris, NRF Gallimard, 1929.
- Pierre Guenegan, preface de Susan L. Ball,
Le Purisme & son influence internationale - annuaire de 50 artistes emblematiques
, 335 pages illustrees, Editions Lanwell & Leeds Ltd, St Alban, Hertfordshire, England, 2019,
(
ISBN
978-2-9700494-8-7
)
- Maurice Raynal :
Les maitres du cubisme - Fernand Leger - Vingt tableaux
, Paris, Editions de l’Effort Moderne, 1920.
- Ouvrages jeunesse
- Celine Delavaux
,
Fernand Leger. La parade des couleurs
, Paris, Palette, coll. ≪ L'Art et la maniere ≫, 2009,
40
p.
(
ISBN
978-2-915710-98-4
)
[
presentation en ligne
]
.
- Sylvie Delpech et Caroline Leclerc,
Fernand Leger. L'Art en formes
, Paris, Palette, 2006,
28
p.
(
ISBN
978-2-915710-91-5
)
[
presentation en ligne
]
.
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