Ferdinand de Braekeleer l'Ancien
Ferdinand de Braekeleer l'Ancien
Autoportrait, 1854.
Naissance
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Deces
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Periode d'activite
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Nationalites
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Activites
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Maitre
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Lieu de travail
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Enfants
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Ferdinand de Braekeleer
, dit
Ferdinand de Braekeleer l'Ancien
pour le distinguer de son fils, ne le
et mort a
Anvers
le
(a 91 ans)
est un
peintre
et
graveur
belge
.
Sa palette couvre le champ pictural de la
peinture d'histoire
, de
scenes de genre
et de sujets d'
art sacre
. Eleve de Mathieu-Ignace Van Bree a l'
academie royale des beaux-arts d'Anvers
, il se rend ensuite en Italie de 1819 a 1823. Etabli a Anvers, il est reconnu par ses pairs, grace a ses sujets historiques a la veille de la
revolution belge de 1830
.
Ses peintures de genre connaissent egalement un succes qui conduit plusieurs musees europeens (a Bruxelles, Anvers, Bruges, Paris, Haarlem, Hambourg, Oslo, Saint-Petersbourg) a acquerir ses œuvres. L'atelier de Ferdinand de Braekeleer a forme nombre de peintres belges, dont le plus celebre est son fils
Henri de Braekeleer
.
Ferdinand de Braekeleer, issu de parents modestes (Jean Ferdinand Joseph de Braekeleer (1744-1801), serrurier travaillant dans une forge, et Jeanne Bernardine Antoinette Seghers (1758-1804), devient orphelin a l'age de douze ans. Il est des lors eleve par son oncle, Arnold de Braekeleer, superieur du couvent des Minimes, jusqu'au jour ou le monastere anversois est transforme en caserne. En 1806, Ferdinand de Braekeleer suit les cours de dessin du peintre
Mathieu-Ignace Van Bree
qui le prend sous sa protection, puis ceux de l'
Academie royale des beaux-arts d'Anvers
, toujours sous l'egide de Van Bree. Laureat du cours moyen en 1809, de Braekeleer remporte en 1811, les premiers prix de dessin d'apres nature, de perspective pittoresque et d'anatomie
[
1
]
.
En 1811, Mathieu-Ignace Van Bree cree a Anvers la
Societe pour l'encouragement des beaux-arts
, a l'instar de celle qui existe a Bruxelles. Le premier
Salon d'Anvers
organise par la societe a lieu en 1813. La peinture d'histoire a pour sujet : ≪ le moment ou Enee s'apprete a recevoir sur ses epaules le vieil Anchise, charge des dieux penates ≫. Parmi les concurrents, Ferdinand de Braekeleer remporte le premier prix, assorti d'une somme de 800 francs et se fait un nom, meme, si - selon
Henri Hymans
- il n'a pas produit un chef-d'œuvre. En 1815, la Societe pour l'encouragement des beaux-arts lui offre, de surcroit, un traitement annuel de 2 400 francs durant trois ans, afin qu'il puisse parfaire ses etudes a l'etranger (deux ans et demi a Rome et six mois en Allemagne). La faveur n'est cependant pas concretisee et de Braekeleer reste a Anvers ou il expose cinq œuvres au salon de 1816
[
2
]
. Ces œuvres offrent le temoignage des progres du jeune peintre qui concourt l'annee suivante au
Salon de Gand
et ou il obtient le premier prix grace a son
Tobie rendant la vue a son pere
. En 1819, ses scenes de genre recueillent la faveur du public
[
3
]
.
En
, de Braekeleer peut enfin se rendre en Italie, en qualite de pensionnaire du
roi des Pays-Bas
et commence a travailler en
. Cependant, l'accueil des peintres italiens est assez froid. En
, de Braekeleer recoit la visite a Rome de son maitre Mathieu-Ignace Van Bree. A Noel, maitre et eleve se mettent en route pour Naples ou ils demeurent durant deux mois avant de regagner Rome. En
, de Braekeleer suit son maitre a
Ancone
,
Florence
,
Bologne
et
Venise
, pour traverser la
Suisse
et gagner
Paris
ou il est installe en
. De la capitale francaise, il expedie plusieurs tableaux au salon d'Anvers de 1822. Il realise des toiles sur des sujets italiens comme
La fermiere de Frascati
(1822) ou
La Grotte de Neptune a Tivoli
(1822). Il regagne Anvers en
[
4
]
.
De retour a Anvers, ayant pour objectif avoue de tirer le meilleur profit de son art, Ferdinand de Braekeleer qui s'etait deja essaye a divers domaines, par exemple la
peinture religieuse
(un
Saint Sebastien
destine a l'eglise Notre-Dame de la Vigne a
Wijnegem
en 1818 ou une toile pour l'
Eglise Notre-Dame de Laeken
a
Bruxelles
). Cependant, a partir de 1823, fixe definitivement dans sa ville natale, il represente des sujets issus d'episodes de la vie des peintres flamands de l'
Age d'or de la peinture neerlandaise
:
Rubens
,
Jan Steen
,... Ses œuvres trouvent rapidement des acquereurs. La Societe royale des beaux-arts de Bruxelles, celle d'Anvers et l'academie d'Amsterdam veulent compter en leurs rangs de Braekeleer qui celebre l'heroisme des Anversois au
XVI
e
siecle
, a la veille de la
revolution belge de 1830
. En
, il epouse Marie-Therese Leys, dont le frere,
Henri Leys
, devient son eleve. Ferdinand de Braekeleer et sa femme deviennent parents de onze enfants (dont deux morts a la naissance), nes entre 1828 et 1843
[
5
]
.
Au Salon d'Anvers organise en 1831, de Braekeleer expose six œuvres d'importance inegale, mais, selon Henri Hymans,
≪ frappantes par la souplesse du talent de leur auteur.
[
5
]
. ≫
Son
Defense de Tournai par la princesse d'Espinoy
est peut-etre l'ouvrage le plus complet de l'exposition. Un peu plus tard, ses scenes de genre et surtout sa
Vue de la citadelle d'Anvers apres le bombardement de 1832
lui valent alors la celebrite. Son œuvre depeignant le bombardement, le
siege et la reddition de la citadelle d'Anvers
, lui offrent un ensemble d'etudes remarquables. L'incendie de l'entrepot lui permet d'etudier les effets dont il devait plus tard trouver l'emploi dans sa grande toile de la
Furie espagnole
. Il a ete, l'un des premiers, admis a penetrer dans la place fortifiee apres la reddition de la ville et remplit des carnets de croquis retracant l'aspect des casemates, les fronts interieurs ou le reduit de
Chasse
. Il retrace ensuite en un vaste tableau, l'ensemble de la citadelle apres le depart des Hollandais, œuvre qui, selon Henri Hymans, est restee l'une de ses meilleures. Son sejour italien, ou il a appris a illuminer sa palette, lui permet de donner une composition issue d'un pinceau rompu a l'exercice de la peinture de paysage
[
6
]
.
La reputation de Ferdinand de Braekeleer s'accroit rapidement
[
5
]
. Au
Salon de Bruxelles de 1836
, il obtient une medaille d'argent pour
La maitresse d'ecole
qu'il refuse car sa peinture d'histoire
Furie espagnole
n'a pas ete recompensee
[
7
]
. Bien que dans son œuvre, certains types se repetent avec une constance parfois lassante, il se montre toujours metteur en scene fort habile. Lorsque
Le comte de mi-careme
et le
Jubile de cinquante ans de mariage
sont devoiles au salon de Bruxelles de 1839, l'enthousiasme du public est tres vif et il devient chevalier de l'
ordre de Leopold
≪ en consideration du beau talent dont il a donne des preuves
[
8
]
. ≫
Son influence sur les artistes belges a ete marquante. En 1847, il est nomme au sein de l'
academie royale de Belgique
. Il expose encore au salon d'Anvers de 1852
La medecine
, une toile ou il
≪ a rarement ete aussi simple, [...] aussi vrai ≫
.
[
9
]
. Elu membre de l'academie de Saint-Petersbourg, en 1861, il y expose huit ans plus tard, alors qu'il est age de 77 ans, une
Scene de marche
que la
Zeitschrift fur bildende Kunst
cite parmi les œuvres marquantes du salon
[
10
]
.
De tout temps, les eleves se pressent dans son atelier, a commencer par ses fils,
Ferdinand de Braekeleer (le Jeune)
(1828-1857) et
Henri de Braekeleer
(1840-1888), le peintre plus marquant de la famille, et son neveu
Adrien de Braekeleer
(1818-1904). Il a aussi forme des peintres comme son beau-frere Henri Leys,
Jacob Jacobs
,
Xavier De Cock
, ou
Pierre-Joseph Witdoeck
, initiant ainsi l’Ecole belge de peinture du
XIX
e
siecle
[
11
]
.
Veuf en 1874, la sante de Ferdinand de Braekeleer decline rapidement. Toutefois, il parvient a manier le pinceau jusqu'a la fin de sa vie, laissant inacheve un grand tableau de la
Fete de Saint-Thomas
, sujet qu'il avait traite bien des annees auparavant pour le roi des Belges, mais l'œil et la main ne servaient plus qu'imparfaitement sa pensee. Entoure par ses filles, il meurt a Anvers le
, a l'age de 91 ans
[
12
]
.
Tandis qu'il presente
Le devouement des citoyens d'Anvers en 1576
et
L'heureux menage
a l'exposition des beaux-arts d'Anvers de 1837, la critique se montre elogieuse :
≪ M. de Braeckeleer [sic] est sans contredit, l'un de nos meilleurs peintres de genre, et de plus il a forme d'excellents eleves qui marcheront sur ses traces.[...] Il y avait sans doute de grands defauts dans
Le devouement des citoyens d'Anvers en 1576
, mais il y avait aussi les preuves d'un talent distingue et cette premiere tentative faisait plus que promettre. Aujourd'hui que M. de Braeckeleer renforcant les couleurs de ce tableau qui figure encore au salon d'Anvers, a prouve sa docilite a suivre les conseils de la critique. Nous persistons plus que jamais a lui predire de beaux succes dans les tableaux historiques. Son dessin est correct et assure, c'est un grand point; la hardiesse lui manque et l'energie des couleurs, et c'est ce qu'il aura le plus de peine a acquerir, mais le proverbe est incontestable :
qui veut peut
.
L'heureux menage
est un charmant tableau de genre qui justifie la grande reputation de M. de Braeckeleer
[
13
]
. ≫
Parmi ses huiles sur toile ou sur panneau, figurent
[
14
]
,
[
15
]
:
- Enee portant Anchise
,
salon d'Anvers
, 1813 ;
- La jeune villageoise
, salon d'Anvers, 1816 ;
- Vue des magasins de la ville, nommes Leguyt
, salon d'Anvers, 1816 ;
- Atelier d'un serrurier
, salon d'Anvers, 1816 ;
- Tobie enterrant pendant la nuit le cadavre d'un Hebreu laisse sans sepulture
, salon d'Anvers, 1816, puis
salon de Gand
, 1817 ;
- Vue prise dans la ville d'Anvers
, salon de Gand, 1817 ;
- Esau demandant la benediction a son pere
, salon d'Anvers, 1819 ;
- Tobie rend la vue a son pere aveugle
, salon d'Anvers, 1819 ;
- Faustulus qui presente a sa femme Romulus et Remus
, salon d'Anvers, 1819 ;
- Saint Sebastien
;
- Une jeune fille de Frascati
, salon d'Amsterdam, 1822 ;
- La grotte de Neptune a Tivoli
, salon d'Amsterdam, 1822 ;
- Une saint Famille
, salon d'Amsterdam, 1822 ;
- Les mangeurs d'huitres
, 1829 ;
- Le boulanger
, tableau representant la trahison et la defaite du duc d'Anjou a Anvers,
salon de Bruxelles de 1830
;
- Rubens peignant le chapeau de paille
, salon de Gand de 1832 ;
- Vue de la citadelle d'Anvers apres le bombardement de 1832
, conserve aux
musees royaux des beaux-arts de Belgique
;
- Le myope et sa femme sourde
, salon d'Anvers de 1834 ;
- Scene d'inondation en Frise, en 1570
, salon d'Anvers de 1834 ;
- Un chat sauve un enfant endormi en dirigeant sa berge
, salon d'Anvers de 1834 ;
- Scene musicale burlesque
, salon d'Anvers de 1834 ;
- Courageuse defense de Tournai, lors du siege par le prince de Parme, en 1581
, salon d'Anvers de 1834 ;
- La chute imprevue
, salon de Gand de 1835 ;
- Devouement des magistrats et des citoyens d'Anvers le 4 novembre 1576
,
salon de Bruxelles de 1836
;
- La maitresse d'ecole
,
salon de Bruxelles de 1836
;
- L'heureux menage
a l'exposition des beaux-arts d'Anvers de 1837 ;
- Le genealogiste
, 1837,
Kunsthalle de Hambourg
;
- Le benedicite
, 1837 ;
- Le retour du marche
, 1838 ;
- Le comte de mi-careme a l'ecole des enfants
, 1839, conserve aux
musees royaux des beaux-arts de Belgique
;
- Le jubile de 50 ans de mariage
, 1839 ;
- Une querelle a la suite d'un jeu de cartes
, 1840 ;
- Le menetrier
, 1840 ;
- La reconciliation
, 1840,
- Regal de gaufres par les grands-parents
, 1842 ;
- Cuisine d'hotellerie
, 1843 ;
- Scene d'auberge avec des musiciens
, 1843 ;
- Distribution des prix dans une ecole de village
, 1844 ;
- Jean Steen et sa famille
, 1845 ;
- L'amateur de pigeons en fureur
, 1846 ;
- Les orphelins du pecheur
, 1846 ;
- L'ecolier coquin
, 1847 ;
Kunsthalle de Hambourg
;
- Le tisserand malheureux
, 1848 ;
- Albert Beylinc, le Regulus hollandais
, 1848 ;
- L'espionne
, 1849 ;
- La balancoire
;
- L'embarras du chasseur
;
- La fete de Saint-Thomas
, galerie du roi ;
- Siege de Haarlem
musee Teyler
;
- La medecine
, 1852 ;
- Le maitre d'ecole
, 1854 ;
- La suite du jeu
, 1855 ;
- La raillerie
, 1855 ;
- La benediction
, 1855 ;
- La ceremonie de l'inauguration du roi Leopold
I
er
le 21 juillet 1831
, 1856, conserve aux
musees royaux des beaux-arts de Belgique
;
- Interieur d'une ferme avec des paysans
, dessin, conserve au musee du chateau de Weimar ;
- Le prisonnier
, 1858 ;
- Deux souris dans la souriciere
, 1858 ;
- Le fumeur
, 1858 ;
- La Chauve-souris
, 1860, huile sur panneau, 106 × 143
cm
,
Musee des Beaux-Arts de Gand
[
16
]
- Bouderie et reconciliation
, 1861 ;
- Un marche a Anvers
, 1863 ;
- La dentelliere
;
- Le diner interrompu par un rat
, 1864 ;
- La benediction du grand-pere
, 1864 ;
- La mort du comte Frederic de Merode
, conserve au
Musee royal des Beaux-Arts d'Anvers
;
- Le nouveau-ne
, 1866 ;
- La mouche
, 1866 ;
- Le braconnier
, 1866 ;
- Vieux chasseur avec une jeune femme
, 1867, collection privee ;
- Feu et soleil
, 1868 ;
- Demolition de la vieille enceinte d'Anvers
, conserve a l'
hotel de ville d'Anvers
;
- Scene de marche
, 1869 ;
- Representation gala
, 1871 ;
- La surprise
, 1872 ;
- L'ecrivain public
, 1872 ;
- La blessure
, 1872 ;
- L'ecole dentelliere
, 1873 ;
- Chasse a la souris
, 1873 ;
- La famille indigente
, 1873 ;
- L'echappe
, 1873 ;
- Le depart de la jeune mariee
, 1874 ;
- Le Savoyard malheureux
, 1875 ;
- Les bons voisins
;
- Catherine ! Catherine !
, 1876 ;
- Atout
, 1876, conserve au
Musee national de l'art, de l'architecture et du design
de Norvege ;
- Apres le combat de coqs
, 1878 ;
- La lecture politique
;
- Le retour du marche
, 1879 ;
- Le chat puni
;
- Les apprets de la musique
;
- L'ecole de village
, 1880 ;
- Le crepuscule
;
- La sieste
;
- L'oiseau s'est envole
,
Musee de l'Ermitage
.
- Tableau de famille
Musee de l'Ermitage.
- Les maraudeurs
, 1881 ;
- Le chasseur endormi
, 1881 ;
- La Saint Thomas
, inacheve.
Il a egalement laisse une dizaine d'eaux-fortes et des lithographies
[
17
]
.
Ferdinand de Braekeleer est
[
8
]
,
[
18
]
:
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
237-242.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
243-251.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
254.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
255-263.
- ↑
a
b
et
c
Henri Hymans 1885
,
p.
267.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
266-267.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
269-270.
- ↑
a
et
b
Henri Hymans 1885
,
p.
277.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
281.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
284.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
285.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
288.
- ↑
J. Th., ≪
Exposition des beaux-arts a Anvers
≫,
Le Belge
,
n
o
220,
,
p.
3
(
lire en ligne
, consulte le
)
.
- ↑
Philippe Vandermaelen 1837
,
p.
33-34.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
290-293.
- ↑
≪
La Chauve-Souris
≫, sur
Musee de Gand
(consulte le
)
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
293-294.
- ↑
Henri Hymans 1885
,
p.
287.
- Philippe Vandermaelen
,
Dictionnaire des hommes de lettres, des savans, et des artistes de la Belgique presentant l'enumeration de leurs principaux ouvrages
, Bruxelles, Etablissement geographique,
, 268
p.
(
lire en ligne
)
.
- Henri Hymans
, ≪
Ferdinand de Braekeleer
≫,
Annuaire de l'Academie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique
,
vol.
51,
,
p.
236-293
(
lire en ligne
, consulte le
)
.
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