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Culture de Hongshan ? Wikipedia Aller au contenu

Culture de Hongshan

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La culture de Hongshan (?山文化) est une culture neolithique (4700 - 2900 av. l' ere commune ) du nord-est de la Chine , s’etendant au nord des monts Yan (燕山) au Hebei et de part et d'autre des cours superieurs du Daling (大凌河) et du Xiliao (西遼河) au Liaoning et en Mongolie-Interieure . La culture de Hongshan est particulierement celebre pour ses objets de jade ainsi que pour quelques sites funeraires et cultuels tout a fait remarquables comprenant temples, autels, cairns et constructions pyramidales . Les archeologues estiment que cette culture s’est constituee sur la base de celles de Xinglongwa (?隆?) (Mongolie interieure et Liaoning) et Zhaobaogou (???) ( Mongolie-Interieure et Hebei ), avec qui elle presente de nettes similitudes sur le plan des pratiques funeraires. Hongshan serait contemporain des phases moyenne et tardive de Yangshao avec qui elle aurait eu des echanges.

La faience a motif de peigne, le Jeokseong-gun et le jade sont similaires aux boucles d'oreilles en jade (il y a 7 000 ans) extraites des monticules de coquillages a Goseong-gun, Gangwon-do sur la peninsule coreenne et aux ornements et boucles d'oreilles en jade trouves a Ando-ri, Yeosu, Jeollanam-do (il y a 6 000 ans). Il attire l'attention car il est lie a l'histoire ancienne de la peninsule coreenne, comme Gojoseon.

Historique des decouvertes, localisation, periodisation, cultures [ modifier | modifier le code ]

Cultures du Neolithique moyen en Chine [ 1 ]

Le site eponyme, Hongshanhou (?山後) dans le district de Chifeng en Mongolie interieure, fut decouvert en 1908 par Torii Ry?z? et fouille pour la premiere fois en 1935 par Hamada Kosaku et Mizuno Seiichi. Le nom de Hongshan fut adopte en 1954.

Au Nord de la Chine actuelle, se sont developpees successivement au Liaoning, la culture neolithique de Xinglongwa (vers 6200-5200), puis celle de Zhaobaogou (vers 5200-4500) et enfin celle de Hongshan (vers 4500-3000), toutes situees dans le bassin du fleuve Liao .

Genetique et identite ethnique [ modifier | modifier le code ]

Une etude genetique publiee en 2013 dans la revue BMC Evolutionary Biology montre a partir d'individus de nombreux sites que 63% d'entre eux etaient de l' haplogroupe paternel N1 et que celui-ci etait l'haplogroupe dominant dans la region durant le neolithique a 89% [ 2 ] . Les autres haplogroupes identifies sont C et O2a qui sont aujourd'hui majoritaires parmi les habitants actuels [ 2 ] .

Une etude publiee dans la revue Evolutionary Human Sciences en 2020 lie la culture de Hongshan au peuple et a la langue proto-turque [ 3 ] .

Mode de vie et societe [ modifier | modifier le code ]

A l’examen des instruments et des ossements d’animaux, l’agriculture, pratiquee avec des outils en pierre, y occupe plus de place que dans les cultures de Xinglongwa et Zhaobaogou. La chasse garde une certaine importance neanmoins, comme en temoignent les ossements de cervides. Les animaux d’elevage etaient les porcs, les moutons et les bœufs. L’habitat est disperse et les familles-clans devaient vivre en autarcie si l’on en juge par les restes decouverts dans certaines habitations. Celles-ci, de forme rectangulaire ou carree, etaient semi-enterrees et comprenaient un foyer central amenage dans le sol de terre battue.

La ≪ complexite ≫ sociale de cette culture est reperee en plusieurs points [ 4 ] . Tout d'abord ce sont certains sites qui se sont developpes dans certaines vallees, alors que des petits villages les environnaient. Cependant rien ne permet de dire qu'il y eut une quelconque forme de centralisme politique dans cette region du Liao. Ensuite il y a bien eu des differences dans les fonctions attribuees a certains sites avec l'emergence de complexes dedies aux rites, comme a Niuheliang (v. 3650-3150) [ N 1 ] ayant necessite la direction des travaux par une elite, et au sein des rites la taille du jade, qui impliquait deja la recherche de materiaux bruts sur de longues distances, la standardisation des formes et des objets et leur repartition au sein de ces elites. On voit alors apparaitre de grands ensembles architecturaux, cairns , autels et surtout le grand temple de la ≪ Deesse ≫ a Niuheliang. Cet espace renfermait, modelees dans l'argile, sept figures feminines dont certaines trois fois plus grandes que nature, un theme totalement inedit alors. Sur un autre site de rituels, a Dongshanzui, de petites statuettes feminines parturientes, elles aussi modelees dans l'argile [ 5 ] .

La culture de Xiaoheyan (v. 3000-2600), qui fait suite a la culture de Hongshan, voit s'effacer les differences sociales et ces populations disparaitre [ 6 ] .

Artisanat : jade, ceramique [ modifier | modifier le code ]

La culture de Hongshan est connue pour ses objets de pierre (outils) et de jade . Les motifs traites dans le jade sont donc tres varies : des formes animales stylisees et/ou hybrides : ≪ dragon ≫ , ≪ dragon-cochon ≫ ( zhulong ?龍) [ 7 ] , tortue et oiseau, mais on trouve aussi des formes humaines, des disques bi , des haches, des herminettes , des poincons , des boucles d'oreille de type jue , des ornements en forme de ≪ nuage a crochets ≫, des petits tubes et des chapelets [ 8 ] . Le motif le plus caracteristique est une sorte d’ ouroboros appele en chinois ≪ dragon-cochon ≫. L'autre forme recurrente est le ≪ nuage a crochet ≫, mais on trouve aussi une forme creuse de sabot de cervide. Ils pourraient avoir ete utilises comme ornements, ou amulettes , suspendus quand ils sont perces ou bien cousus. Mais certaines pieces de jade semblent avoir ete deposees sur la langue du defunt, une pratique qui existait aussi sous les Han, et il s'agissait alors de jade en forme de cigale. La provenance du jade semble maintenant (2012) clairement situee dans les mines de jade de la peninsule du Liaodong [ 4 ] , a environ 300  km de Niuheliang [ N 2 ] .

Les ustensiles de poterie comprennent des pieces de terre melangee a du sable qui devaient servir au stockage, et des pieces de terre rouge plus raffinees, decorees de bandes, triangles ou motifs d’ecaille realises avec un pigment noir ou violace ; on trouve aussi des impressions en creux en forme de "Z". Ont ete egalement retrouvees des fragments d’effigies parfois tres grandes de femmes nues, certaines enceintes, realisees en terre non cuite. Particulierement associees aux lieux de culte, il pourrait s’agir de ≪ deesses ≫.

Sites remarquables [ modifier | modifier le code ]

Dongshanzui [ modifier | modifier le code ]

Dongshanzui (東山嘴) est situe dans le comte de Kazuo (喀左縣) a Chaoyang , Liaoning ; ses vestiges dateraient d’environ 3500 av. J.-C.. Le site comprend plusieurs esplanades a base de pierres entassees, la plus grande mesurant 240  m ². L’orientation nord-sud est celle que prendront les villes et constructions de la Chine archaique. Certaines zones semblent avoir ete pavees et on a trouve des restes de piliers cylindriques en terre peinte. Des tombes rectangulaires se trouvent au nord, des tertres ronds au sud. On a decouvert sur le site une vingtaine de figurines de femmes enceintes nues, de 6 a pres de 80  cm de hauteur, ainsi que des jades.

Niuheliang [ modifier | modifier le code ]

Le site de Niuheliang (牛河粱), fouille depuis 1983, situe aux confins du comte de Jianping (Chaoyang, ouest du Liaoning), serait contemporain de Dongshanzui. Ce site, candidat au patrimoine mondial , se compose d’esplanades-autels faits de pierres et de terre soutenus par des piliers de terre peinte, d’une construction souterraine portant des traces de peinture appelee "temple de la deesse", de cairns situes au sud et a l’ouest du temple et d’une construction pyramidale. L’ensemble, qui s'etire dans sa totalite sur un tres vaste espace (50 km.), est situe sur une hauteur, a proximite d'un cours d'eau et au fond d'une belle vallee aujourd’hui au cœur d'une foret de pins, ce qui confere au site un charme indeniable [ 9 ] .

Les cairns furent les premiers fouilles en 1983 ; la disposition des tombes suggere une societe hierarchisee. De nombreux jades furent mis au jour, bien que les tombes semblent avoir ete pillees en partie. Le sanctuaire, situe a une extremite de l’esplanade, presente une forme 亞 tres allongee selon une direction. Des restes d’effigies feminine nues y ont ete decouvertes  : representations tout a fait exceptionnelles en Chine qui semble avoir quasiment proscrit la representation plus ou moins "realiste" du corps humain. Une impressionnante sculpture de terre sechee, un visage grandeur nature avec des yeux de jade a ete reconstitue et est conserve a l'Institut Provincial du l'Archeologie du Liaoning, a Shenyang . Certaines de ces statues d'argile, faconnees en terre crue autour d’un cœur de paille ou de bois, sont deux a trois fois plus grandes que nature [ 9 ] et accompagnees de petites pieces de jade dont un ≪ cochon-dragon ≫. Le site a egalement fourni des poteries rouges de taille exceptionnelle.

Un an apres le temple, fut identifiee, a proximite, une construction pyramidale realisee avec un soin particulier, constituee de pierre non locale et de terre. Elle etait dissimulee sous une hauteur connue depuis des siecles sous le nom de Zhuanshanzi (轉山子) qui servit sous les Han (-206~220) de station pour l’une des branches de la Grande Muraille .

Sijiazi [ modifier | modifier le code ]

Sijiazi (四家子) est situe dans le district de Aohan (熬漢旗) en Mongolie interieure. En 2001, une autre construction pyramidale portant a son sommet une esplanade cultuelle et des tombes y a ete decouverte.

Le ≪ dragon-cochon ≫ [ modifier | modifier le code ]

Le porc semble avoir ete sacrifie dans la Mandchourie prehistorique. Beaucoup plus tard, il sera en Chine l’animal domestique associe a l’eau (水畜) selon la theorie des cinq elements . Peut-etre jouait-il un role dans les rites de pluie, fonction que le dragon remplira souvent dans la Chine historique. Toutefois, Michel Maucuer, conservateur en chef au Musee Cernuschi , propose de faire du zhulong un symbole chthonien et de voir au lieu d’un groin de porc une evocation de larve d’insecte lovee, symbolique de resurrection en rapport avec son role d’offrande funeraire [ 10 ] . Par ailleurs ce que les archeologues francais interpretent comme des ≪ amulettes ≫, les archeologues chinois l'interpretent comme des ≪ boucles d'oreilles ≫ [ 11 ] .

Objets des cultures de Zhaobaogou et Hongshan [ modifier | modifier le code ]

La soudaine disparition de cette culture [ modifier | modifier le code ]

Jarre en terre cuite peinte en forme d'oisillon, culture de Xiaoheyan (3000-2600) Region du fleuve Liao . Decouverte: Mongolie-Interieure , 1977

Vers 3000 on assiste a cette disparition aussi rapide que quasi totale et inexpliquee. La culture de Xiaoheyan (3000-2600) , qui suit dans cette region, temoigne d'une tres faible ≪ complexite ≫ sociale : quasi aucune hierarchie, l'effondrement numerique de la population et l'agriculture est remplacee par une forme de pastoralisme extensif [ 16 ] . Les habitats fixes et les lieux rituels ont ete abandonnes. La seule explication actuellement plausible reste la soudaine deterioration du climat avec une secheresse prononcee et un affaiblissement de la mousson d'ete vers 3000 AEC.

La datation des jades : un probleme [ modifier | modifier le code ]

Les datations tres anciennes qui ont ete attribuees systematiquement a tous les jades qui evoquent la culture de Hongshan font l'objet d'une etude beaucoup plus critique par les archeologues chinois les plus eminents : nombre de ces jades seraient probablement posterieurs au neolithique [ 17 ] .

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

Notes [ modifier | modifier le code ]

  1. C'est en 2012 ( Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  178), avec 16 sites repartis sur 50 km², le plus vaste ensemble de batiments dedies aux rituels datant de la Prehistoire en Chine. Ce site est aussi isole, aucun ensemble habite n'ayant ete decouvert dans une zone de 100 km² .
  2. Des pieces de poterie formant les deux moities d’un moule pour couler le bronze auraient ete decouvertes en 1988. Sarah Milledge Nelson , Archaeology of Northeast China  : [1] , signale que le Peoples' Daily du 10/01/1988 rapportait l'annonce de cette decouverte faite sur le site de Xitai, Banniere d'Aohan (熬漢), en Mongolie interieure. Cela semblait indiquer que la technique de moulage du bronze etait connue au moins a cet endroit. Mais depuis il n'en est plus question dans les publications specialisees plus recentes sur cette culture : qu'il s'agisse de Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  172-183 ou de Christian E. PETERSON et LU Xueming in: in : Underhill 2013 , p.  55-80. Il s'agit probablement d'une erreur de stratigraphie (?), la technologie du bronze etant officiellement apparue avec les premiers bronzes au Gansu et dans la culture de Qijia (2200-1600) par appropriation de techniques importees depuis les pasteurs nomades des steppes ( culture d'Andronovo , ...). Mais de menus objets metalliques ont ete produits un peu partout auparavant. Quant au couteau trouve dans la culture de Majiayao (vers 3300 a 2000) il s'agit la d'un objet isole resultat probable d'un echange avec les populations nomades de l'ouest et du nord-ouest.

References [ modifier | modifier le code ]

  1. Carte reconstituee d'apres Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  170.
  2. a et b (en) Yinqiu Cui, Hongjie Li, Chao Ning, Ye Zhang, Lu Chen, Xin Zhao, Erika Hagelberg et Hui Zhou, ≪  Y Chromosome analysis of prehistoric human populations in the West Liao River Valley, Northeast China  ≫, BMC Evolutionary Biology ,‎ ( DOI   10.1186/1471-2148-13-216 , lire en ligne )
  3. (en) ≪  Tracing population movements in ancient East Asia through the linguistics and archaeology of textile production  ≫, Evolutionary Human Sciences , vol.  2,‎ ( DOI   10.1017/ehs.2020.4 , lire en ligne )
  4. a et b Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  180
  5. Elisseeff 2008 , p.  127 : notice 8, et Corinne Debaine-Francfort 2001 , p.  40-42 ; Gabriele Fahr-Becker ( dir. ), Les Arts de l'Asie de l'Est. , t.  1, Cologne, Konemann, , 406  p. ( ISBN   3-8290-1743-X ) , page 21. Aussi : Anne P. Underhill 2013 , p.  55-80, et en particulier ici pp. 56-58.
  6. Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  182.
  7. Dragon-cochon
  8. Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  180 qui se refere a Cui, 2006 (en chinois) et Li, Xinwei Developpement and social complexity in the Liaoxi Area, North East China. BAR International Series,1821, Archeopress Oxford 2008 : p.  47 et 79
  9. a et b Elisseeff 2008 , p.  127 et Corinne Debaine-Francfort 2001 , p.  40-42.
  10. Le dragon chinois par M. Maucuer
  11. "Amulette" dans : Elisseeff 2008 , p.  127 et "Earrings" dans : Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  180.
  12. a et b Le cartel precise : Liaoning Provincial Institute of Cultural Relics and Archaeology
  13. Objet similaire in : China. 5000 years : Innovation and Transformation in the Arts , Selected by Sherman Lee, Guggenheim museum 1998. page Jade : 1
  14. Notice du Musee Guimet pour cet objet
  15. . Appellation chinoise traditionnelle : piece jue . L'objet est vraisemblablement originaire de la region de Hongshan. Ref. Elisseeff 2008 , p.  124-125 . Notice 7. "Amulette en forme de larve au museau vaguement porcin" : Roberto Ciarla : Ciarla et de Luca 2005 , p.  22.
  16. Li Liu and Xingcan Chen, 2012 , p.  182
  17. Elisseeff 2008 , p.  125

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilise comme source pour la redaction de cet article.

  • (en) Kwang-chih Chang , The archaeology of ancient China , New Haven, Conn, Yale University Press, , 450  p. ( ISBN   0-300-03784-8 ) .
  • (en) Sarah Milledge Nelson Nelson (ed.), The archaeology of northeast China : beyond the Great Wall , Londres, New York Routledge, , 263  p. ( ISBN   0-415-11755-0 ) .
  • Olivier Aurenche ( dir. ) et Jacques Cauvin ( dir. ), Neolithisations : Proche et Moyen Orient, Mediterranee orientale, Nord de l'Afrique, Europe meridionale, Chine, Amerique du Sud : Seminaire organise a la Maison de l'Orient de 1984 a 1989 , Oxford (England), B.A.R., , 332  p. ( ISBN   0-86054-657-8 ) . Avec la participation de Corinne Debaine-Francfort : Les grandes etapes de la neolithisation en Chine, de ca. 9000 a 2000 av J.-C. p.   171-187 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Corinne Debaine-Francfort, La Redecouverte de la Chine ancienne , Paris, Gallimard, coll.  ≪  Decouvertes Gallimard / Archeologie ≫ ( n o   360 ), ( 1 re   ed. 1998), 159  p. ( ISBN   2-07-053352-2 ) Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Danielle Elisseeff , Art et archeologie : la Chine du neolithique a la fin des Cinq Dynasties (960 de notre ere) , Paris, Ecole du Louvre, Editions de la Reunion des Musees Nationaux (Manuels de l'Ecole du Louvre), , 381  p. ( ISBN   978-2-7118-5269-7 ) Ouvrage de reference, bibliographie et Sites Internet. Sur cet article : pages 124-127 ≪ Jades de Hongshan ≫ et ≪ L'etre humain mis en volumes ≫ : notices et bibliographies.
  • (en) Anne P. Underhill ( dir. ), A companion to Chinese archaeology , Chichester, West Sussex ; Malden (Mass.), Wiley-Blackwell, , 640  p. ( ISBN   978-1-4443-3529-3 ) 26 cm, noir et blanc. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Li Feng, Early China : A Social and Cultural History , Cambridge et New York, Cambridge University Press, , 367  p. ( ISBN   978-0-521-89552-1 , lire en ligne ) 24 cm, noir et blanc. Document utilisé pour la rédaction de l’article
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  • (en) Li Liu et Xingcan Chen, The Archaeology of China : From the Late Paleolithic to the Early Bronze Age , Cambridge et New York, Cambridge University Press, , 330  p. ( ISBN   978-0-521-81184-2 ) 24 cm, noir et blanc. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • (en) Li Zhiyan ( dir. ), Virginia L. Bower ( dir. ) et He Li ( dir. ), Chinese Ceramics : From the Paleolithic Period to the Qing Dynasty , Cambridge et New York, Yale University and Foreign Langage Press, , 687  p. ( ISBN   978-0-300-11278-8 ) , 31 cm. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Nancy S. Steihardt ( dir. ) ( trad.  de l'anglais), L’architecture chinoise , Arles, Philippe Picquier, , 368  p. ( ISBN   2-87730-789-1 ) . Liu Xujie : Les origines de l’architecture chinoise , pp. 11-19. Ed. orig. : Yale Univ. Press 2002. Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Roberto Ciarla et Araldo de Luca ( trad.  de l'italien), L'armee eternelle : les soldats du premier empereur de Chine , Paris, National Geographic, , 287  p. ( ISBN   2-84582-168-9 ) . Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Sur les autres projets Wikimedia :

Epoque precedente : Premier Neolithique durant l' Holocene moyen (7000-5000 AEC)
  • ≪ Pre-Daxi ≫ : Culture de Pengtoushan-Bashidang (v. 7000-5800) , suivi de la culture du bas Zaoshi (v. 5800-5500)
  • ≪ Pre-Hemudu ≫ : Xiaohuangshan (v. 7000-6000) et Kuahuqiao (v. 6000-5000
  • 5500-4500 : ≪ pre-Yangshao ≫ : cultures de Laoguantai (avec Baijia-Dadiwan I) (v. 6000-5000) et de Peiligang-Cishan : Peiligang (v. 7000-5000), Cishan-Beifudi (vers 6500-5000)
  • Culture de Houli (v. 6500-5500)
  • Xinglongwa (6200 ? 5200)
Epoque concernee neolithique : vers 5500-2900
Epoque suivante : vers 3400-1900

Liens externes [ modifier | modifier le code ]