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Conseil national syrien

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Conseil national syrien (CNS)
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Logo de l'organisation
Situation
Region Syrie
Creation 15 septembre 2011
Type Opposition au president Bachar el-Assad
Siege Istanbul ( Turquie )
Organisation
Effectifs 400 membres [ 1 ]
President Georges Sabra

Site web http://www.syriancouncil.org/

Le Conseil national syrien ( CNS ) est une autorite politique de transition creee le a l'occasion de la guerre civile syrienne , et lancee les 1 er et a Istanbul , en Turquie , pour coordonner tous les opposants a mener des operations contre le regime de Bachar el-Assad , aussi bien en Syrie que dans des pays tiers [ 2 ] .

Ce conseil, domine par les sunnites , reunit plus de 30 groupes d'opposition [ 3 ] dont les Freres musulmans (qui y sont majoritaires [ 4 ] , [ 5 ] , [ 6 ] ), des liberaux mais aussi des partis kurdes et assyriens [ 7 ] . Il est compose de 400 membres [ 1 ] et son president est Georges Sabra [ 8 ] .

Malgre sa reconnaissance par certains pays de la communaute internationale , le blocage au conseil de securite des Nations unies , avec les deux vetos de la Russie et de la Chine, n'a pas permis aux Casques bleus d'intervenir directement dans le conflit et de soutenir le Conseil national syrien.

Le , le CNS adhere a la Coalition nationale des forces de l'opposition et de la revolution dont il est la principale composante [ 9 ] .

Historique [ modifier | modifier le code ]

Gestation et creation de l'organisation [ modifier | modifier le code ]

Un Conseil national de Syrie ( arabe  : ?????? ?????? ?????? ) avait ete initialement forme en 2005 pour protester contre le regime Assad. [ref. necessaire]

≪ Au cours du mois d'aout 2011, un groupe de 26 universitaires et activistes de diverses tendances, pour la plupart sans antecedents dans la lutte politique et pour cela bientot designes sous le vocable de "technocrates", [se reunit] pour tenter [...] de mettre en place une veritable instance de representation ≫ pour l'opposition syrienne [ 10 ] et sur une autre base que celle du Comite national de coordination des forces de changement democratique (CNCD), cree un peu plus tot dans l'annee [ 11 ]  : une premiere liste est dressee de Syriens s'opposant a Bachar el-Assad [ 10 ] . Le , l'activiste Dhiyaeddin Darghmouch annonce sur Al Jazeera que 94 Syriens sont pressentis pour faire partie d'un "Conseil National Interimaire", dont la presidence est proposee a Burhan Ghalioun . Mais les personnalites sollicitees s'abstiennent pour la plupart de donner leur accord a ce projet [ 11 ] . Ce n'est que le qu'un groupe d'universitaires et d'activistes annonce la creation d'un "Conseil National Syrien" de 140 membres : ≪ les Syriens de l'interieur y [disposent] de 60 % des sieges, contre 40 % a ceux de l’exterieur, et 52 % de ses membres [representent] le mouvement de la revolution et les jeunes revolutionnaires. Les noms de 71 membres seulement [sont] devoiles. ≫ [ 10 ]

Le , au terme d'un premier congres a Istanbul lance a l'initiative des Freres musulmans [ 10 ] , ≪ une nouvelle formule de "Conseil National Syrien", brievement designe sous le vocable de "Conseil National Syrien elargi", est adoptee. Ses membres sont portes de 140 a 230, repartis entre les organisations politiques qui acceptent d'y sieger : la Declaration de Damas, les Freres musulmans , differentes composantes du mouvement revolutionnaire, des partis kurdes, l'Organisation Democratique Assyrienne, le bloc des "technocrates" a l'origine de la precedente mouture et des personnalites independantes ≫ [ 11 ] .

Une evolution tendue et mouvementee [ modifier | modifier le code ]

Le , le ministre des Affaires etrangeres syrien Walid al-Mouallem annonce que le regime prendra des mesures contre les pays qui reconnaitront le CNS [ 12 ] . Un jour plus tard, le Conseil national de transition libyen est la premiere autorite a reconnaitre officiellement le CNS comme unique representant du peuple syrien [ 13 ] . La France lui apporte son soutien le [ 14 ] .

Le , l' Armee syrienne libre reconnait l'autorite du Conseil national syrien [ 15 ] .

Le , le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah accuse le CNS de vouloir detruire la Syrie et declare : "Le soi-disant Conseil national syrien, forme a Istanbul, et son leader Burhan Ghalioun (...) se font concurrence pour presenter leurs lettres de creance aux Etats-Unis et a Israel". Ces declarations font suite aux dires de Burhan Ghalioun qui estimait que si la Syrie etait dirigee par le CNS, les liens militaires avec l' Iran , le Hezbollah et le Hamas seraient coupes [ 16 ] .

Le , le CNS tient un congres a Tunis ou il revendique la creation d'une "zone tampon" [ 17 ] . Lors de ce congres, la prolongation de deux mois du mandat exerce par le president Burhan Ghalioun cree un litige : celle-ci est imposee par les Freres musulmans, alors que certains membres issus du Courant national syrien et de la Declaration de Damas demandent l'etablissement d'un college electoral qui designerait le president sur la base d'un vote democratique [ 18 ] .

Le , le CNS paracheve un accord autour des principes d'une periode de transition avec le mouvement d'opposition concurrent, le Comite national de coordination des forces de changement democratique en Syrie (CNCD), mais il est finalement renie par le president du CNS Burhan Ghalioun , la frange islamiste du CNS n'ayant pas ete consultee d'apres l'universitaire Barah Mikail [ 19 ] . Cet accord a egalement ete denonce par des manifestants a Homs [ 10 ] .

En , le CNS publie sur son site internet un rapport intitule "Une zone de securite pour la Syrie", redige par le politologue Michael Weiss et produit par le Strategic Research and Communication Centre (un centre de reflexion londonien). Celui-ci preconise, dans l'hypothese d'une liberation d'une partie du territoire syrien, une ≪ campagne de frappes aeriennes preventives ≫ contre le systeme de defense aerienne syrien, afin de permettre aux aviations occidentales de proteger la zone liberee, et ce en obtenant une autorisation de l'Assemblee generale des Nations unies (plutot que du Conseil de securite). Mais selon Bassma Kodmani , il ne peut etre considere comme une declaration officielle du mouvement et remplacer sa revendication d'une "zone tampon" [ 17 ] .

Le , une vingtaine de membres du CNS font secession en critiquant notamment son mode de fonctionnement, et creent une organisation concurrente, le Groupe patriotique syrien, preside par Haytham al-Maleh [ 20 ] . Le fait que Burhan Ghalioun ait ete reelu a Doha au Qatar le meme mois avait deja provoque des critiques et des departs au sein du mouvement [ 21 ] , [ 18 ] .

En , le CNS subit une nouvelle defection : celle de son conseiller militaire, le general Akil Hachem. Celui-ci avance comme motif le refus par l'organisation d'une intervention militaire internationale en Syrie [ 22 ] .

Le , le CNS annonce qu'il va verser des salaires aux membres de l' ASL [ 23 ] .

En , Burhan Ghalioun , president du mouvement depuis sa fondation mais demissionnaire en mai et critique pour de multiples raisons (notamment sa trop grande proximite avec les Freres musulmans et le manque de coordination entre le CNS et les militants sur le terrain), est remplace a son poste par Abdel Basset Sayda [ 24 ] , [ 25 ] .

Le , Bassma Kodmani , personnalite influente du CNS, annonce sa demission en deplorant le manque de credibilite de l'organisation. Elle est suivie par d'autres membres qui expliquent leur decision ≪ par des rivalites parmi les dirigeants et par l'insuffisance des actions entreprises dans un conflit arme qui dure depuis plus de 17 mois ≫ [ 26 ] .

Le president Abdel Basset Sayda a seulement appele a installer une zone de non-survol au-dessus des zones frontalieres syriennes [ 27 ] et s'en tient donc a la position officielle du CNS depuis le congres de Tunis.

Fin de l'annee 2012 : elargissement et adhesion a la ≪ Coalition nationale ≫ [ modifier | modifier le code ]

Le , Georges Sabra , porte-parole du CNS, annonce une Assemblee generale de l'organisation a la fin du mois : celle-ci devrait alors accueillir au moins 5 ou 6 nouveaux groupes d'opposition (mais sans inclure des proches du Comite national de coordination pour le changement democratique (CNCD), groupe rival du CNS) ; passer de moins de 300 membres a 400 ; et renouveler ses dirigeants en permettant a l'assemblee d'elire le secretariat general, lui-meme charge d'elire le comite executif et le president. Le mandat du president Abdel Basset Sayda est egalement prolonge d'un mois [ 28 ] .

Le , la Secretaire d'Etat des Etats-Unis Hillary Clinton declare : ≪ Nous avons clairement dit que le CNS ne peut plus etre considere comme la figure de l'opposition. Il peut faire partie d'une opposition elargie, mais cette opposition doit integrer des personnes qui se trouvent en Syrie ≫ [ 29 ] . Les responsables du CNS reagissent violemment a ces propos [ 30 ] . Dans le meme temps, des delegues du CNS, des chefs de l' Armee syrienne libre ainsi que d'autres groupes rebelles s'engagent a s'unir derriere un gouvernement provisoire [ 29 ] .

Le , le CNS reuni a Doha s'elargit a 13 nouveaux groupes d'opposition ainsi que des independants, soit l'equivalent de 200 nouveaux membres (pour un total de 400). Le , un nouveau secretariat general de 40 membres est elu [ 31 ] , ou les membres appartenant aux Freres musulmans demeurent majoritaires [ 6 ] .

Le , apres avoir elu un nouveau bureau executif au sein duquel apparaissent trois nouveaux membres [ 32 ] , le Secretariat general (par 28 voix sur 41) elit un nouveau president en la personne de Georges Sabra , ancien communiste de confession chretienne et ancien instituteur de 65 ans, qui remplace a ce poste Abdel Basset Sayda [ 8 ] . Dans le meme temps, les comites locaux de coordination quittent le mouvement [ 33 ] .

Le , le CNS signe un accord avec d'autres organisations pour former la Coalition nationale des forces de l'opposition et de la revolution , un organisme devant representer les interets de tous les opposants au regime de Bachar el-Assad et ayant pour objectif de former un gouvernement provisoire ou de transition qui agira sur tous les territoires syriens controles par l'opposition [ 3 ] . Cette signature intervient apres des tensions dans les pourparlers, le CNS ayant menace de ne pas rejoindre le mouvement, ce qui amena le premier ministre du Qatar Hamad ben Jassim Al Thani et le ministre des affaires etrangeres des Emirats arabes unis a intervenir [ 34 ] . La coalition, dans laquelle le CNS a obtenu 22 des 60 sieges [ 35 ] , refuse tout dialogue avec le regime syrien et recoit des sa creation les critiques du Forum democratique de Michel Kilo , qui estime qu'elle porte encore trop la marque du CNS. Selon le politologue Salam Kawakibi, ce dernier aurait reussi a prendre le controle de la nouvelle instance : ≪ C'est eux qui ont impose le terme de coalition, pour signifier qu'ils gardent leur identite. Ils auraient aussi exige 40 % des postes. Ils devraient pouvoir controler la coalition a travers des alliances avec des groupes et des independants ≫ [ 36 ] .

En , le CNS propose un plan de transition prevoyant la formation d’un gouvernement interimaire dans les ≪ zones liberees ≫ et ayant la garantie d'etre reconnu par la communaute internationale [ 37 ] .

En , le CNS indique qu'il ne participera pas a une deuxieme conference internationale sur la Syrie, dite ≪ Geneve 2 ≫ : son chef, Georges Sabra , menace de se retirer de la coalition d'opposition au regime de Bachar Al-Assad si le Conseil y prenait part, ≪ vu les circonstances actuelles ≫ sur le terrain en Syrie. D'apres Le Monde , le CNS ≪ rassemble les "faucons" de l'opposition, qui refusent toute negociation de paix avant le depart de M. Assad du pouvoir ≫ [ 9 ] .

Fonctionnement et composition [ modifier | modifier le code ]

L'assemblee generale elit le secretariat general du mouvement, qui represente les differentes mouvances du CNS et qui elit lui-meme le president pour un mandat de 3 mois renouvelable ainsi que les membres du bureau executif [ 28 ] .

Abdel Basset Sayda (Bloc kurde), Farouq Tayfour ( Freres musulmans ), Nadhir Al Hakim (Coalition nationale de Protection des Civils), Abdulahad Astepho ( Organisation democratique assyrienne ), Khaled Al Saleh (Courant national), Ahmed Ramadan (Groupe d’Action nationale), Hicham Mourouweh (independant), Salem Al Maslat (Conseil des Tribus syriennes), Husein Al Sayyed (Conseil supreme de Commandement de la Revolution) et Jamal Al Ward (Mouvement revolutionnaire) composent le bureau executif en compagnie du president Georges Sabra (Declaration de Damas) [ 38 ] .

Finances [ modifier | modifier le code ]

Le , le CNS publie un document dans lequel il recapitule les sommes recues depuis sa creation et detaille l’usage qui en a ete fait. A cette date, les dons recus s'elevent a 40,4 millions de dollars, soit environ 31,1 millions d’euros. Le principal contributeur est la Libye (20,4 millions de dollars), suivie du Qatar (15 millions) et des Emirats arabes unis (5 millions). La France a egalement contribue au financement du CNS, une partie des 12 millions d'euros verses par le pays a l'opposition syrienne etant revenue a l'organisation [ 39 ] . Quant aux depenses, elles atteignent 29,7 millions de dollars, soit environ 22,8 millions d’euros, dont 89 % ont ete utilises pour l'aide humanitaire et le secours [ 40 ] .

Critiques [ modifier | modifier le code ]

Liens avec le Qatar [ modifier | modifier le code ]

Pour l'universitaire Fabrice Balanche , le CNS est finance par le Qatar qui l'a constitue, et n'est compose que d'exiles ayant peu de contacts avec les militants sur le terrain [ 19 ] . Pour l'universitaire Thomas Pierret, ≪ le Qatar veut clienteliser tous les membres du CNS dans le but de placer l'opposition sous sa tutelle ≫ [ 5 ] . Ce point est conteste par les dirigeants du CNS, notamment Najib Ghadbian du Secretariat general qui assure que le mouvement est "une initiative des Syriens eux-memes" et qui nie toute influence de l'Amerique, de l'Occident ou du Qatar dans l'evolution de la revolte syrienne [ 41 ] . Neanmoins, pour Radwan Ziadeh, membre du CNS, ≪ le Qatar s’est montre le meilleur allie du peuple syrien ≫ [ 42 ] .

Liens avec la France et les Etats-Unis [ modifier | modifier le code ]

Le CNS est vivement critique par l'un des groupes d'opposition rivaux, le Comite national de coordination pour le changement democratique (CNCD), qui l'accuse d'etre ≪ un club a la solde de Washington ≫ [ 43 ] . D'apres L'Humanite , le CNS aurait ete ≪ imagine a Paris par un groupe deja active il y a quelques annees par Jacques Chirac et Alain Juppe , peu apres la mort du premier ministre Rafic Hariri  ≫ [ 44 ] . Pour Le Point , ≪ la France veillerait a ce qu'aucun autre groupe d'opposition n'emerge a l'etranger ≫, ce qui expliquerait l'opposition du ministere des Affaires etrangeres francais a la tenue en d'une conference de presse de Syriens de l'interieur, dont l'opposant historique Michel Kilo [ 19 ] . Fabrice Balanche estime quant a lui que ≪ la France ne veut pas deplaire aux Qataris, avec lesquels elle entretient des liens diplomatiques et economiques privilegies ≫ [ 19 ] .

Mainmise des Freres musulmans [ modifier | modifier le code ]

Pour Haytham Manaa, responsable a l'etranger du CNCD, les personnalites qui occupent les postes de premier plan du CNS ≪ ne sont qu'une facade, afin de mieux cacher les islamistes, qui dominent le CNS ≫ [ 5 ] . De fait, un tiers des membres du CNS sont issus des Freres musulmans , ce qui les rend majoritaires au sein du Conseil [ 5 ] , [ 4 ] . Or, les Freres musulmans syriens sont finances essentiellement par le Qatar et des petromonarchies du Golfe [ 19 ] , [ 45 ] . Kamal al-Labwani, ancien membre du CNS ayant demissionne en , accuse egalement les Freres musulmans de detourner les fonds financiers et les moyens du CNS, notamment des armes, pour ≪ batir leur propre base populaire ≫ [ 31 ] . Imad Houssari, demissionnaire du CNS et membre des comites locaux de coordination, affirme de son cote que les Freres musulmans veulent controler le budget de l'organisation et que certains d'entre eux financent des groupes salafistes [ 39 ] . Enfin, Walid Al Bounni, adherent du CNS, a quitte le mouvement pour protester contre leur influence [ 46 ] .

Critiques diverses [ modifier | modifier le code ]

Le CNS fait par ailleurs l'objet de l'hostilite de la Commission Generale de la Revolution Syrienne ( CGRS ), la mouvance d'opposition majoritaire a l'interieur de la Syrie qui critique notamment son inefficacite sur le terrain [ 45 ] . Les comites de coordination locaux qui composent le CNS finissent d'ailleurs par geler leur adhesion au debut de l'ete 2012 [ 47 ] , puis par quitter definitivement l'organisation en en accusant les Freres musulmans d'en avoir pris le controle [ 33 ] .

De son cote, le colonel Riyad Al Asaad , commandant de l' Armee syrienne libre (ASL), accuse les membres du CNS d'etre des ≪ opportunistes ≫ et d'etre deconnectes de la realite des combats [ 43 ] . L'ASL critique plus globalement le CNS pour etre incapable de lui fournir suffisamment d'armes [ 48 ] . Certains membres du CNS ont fait defection a cause de ce manque de soutien a l'ASL [ 18 ] .

Haytham Manaa, responsable a l'etranger du CNCD, dit refuser qu'un seul groupe s'autoproclame a la tete du pays et decide pour les autres ; Bassma Kodmani , demissionnaire du CNS en , fait echo a cette attaque en declarant que ≪ le CNS ne travaille pas bien avec les autres groupes d'opposition ≫ [ 49 ] .

Soutiens et reconnaissances [ modifier | modifier le code ]

Le Conseil national syrien a demande a etre reconnu au sein de la communaute internationale, mais il ne veut pas non plus etre considere comme un gouvernement en exil [ 50 ] .

Sources [ modifier | modifier le code ]

References [ modifier | modifier le code ]

  1. a et b Syrie: l'election d'un nouveau president du CNS reportee , France 24 , 8 novembre 2012
  2. Le Monde - 3 octobre 2011
  3. a et b Syrie: l'opposition cree une Coalition nationale (TV) , RIA Novosti , 11 novembre 2012
  4. a et b Burhan Ghalioun reconduit a la tete du Conseil national syrien , Le Monde , 16 fevrier 2012
  5. a b c et d Syrie : les islamistes controlent-ils la revolution ? , Le Point , 23 juillet 2012
  6. a et b Syrie : la lutte pour le pouvoir dechire l'opposition , Le Figaro , 8 novembre 2012
  7. Le Figaro - 2 octobre 2011
  8. a et b Georges Sabra, ancien communiste de confession chretienne, president du CNS , Liberation , 9 novembre 2012
  9. a et b Syrie : le principal groupe d'opposition refuse de participer a la conference pour la paix , Le Monde , 13 octobre 2013
  10. a b c d et e Le Conseil National Syrien a 100 jours : bilan et perspectives , Ignace Leverrier, blog Le Monde , 26 janvier 2012
  11. a b et c Plaidoyer pour le Conseil National Syrien , Ignace Leverrier, blog Le Monde , 27 octobre 2012
  12. Le Monde - 9 octobre 2011
  13. romandie.com - 10 octobre 2011
  14. Le Figaro - 10 octobre 2011
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  16. Le Hezbollah critique l'opposition syrienne , Le Figaro , 6 decembre 2011.
  17. a et b Une intervention en Syrie n'est plus taboue , Le Figaro , 5 janvier 2012
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  19. a b c d et e Syrie : l'opposition en voie de decomposition ? , Le Point , 29 fevrier 2012
  20. Dissensions au sein de l'opposition syrienne , Le Nouvel Observateur , 27 fevrier 2012
  21. Profile: Syria's Burhan Ghalioun , Al Jazeera , 1er avril 2012
  22. L'opposition syrienne minee par les divisions , Le Figaro , 6 mars 2012
  23. Syrie : le CNS va payer l'Armee libre , Le Figaro , 1er avril 2012.
  24. Syrie: Burhan Ghalioun demissionne de son poste de president du Conseil national syrien , Radio France International , 24 mai 2012
  25. Syrie : Abdel Basset Sayda nouveau chef de l'opposition, Moscou refuse tout recours a la force , Le Point , 10 juin 2012
  26. ≪  Syrie: Demission d'une figure du Conseil national  ≫, 20 Minutes , 28 aout 2012
  27. Syrie: le president du CNS reclame une zone de non-survol dans les regions frontalieres , Le Nouvel Observateur , 12 aout 2012
  28. a et b Syrie: le CNS va s'elargir et se reformer , L'Orient-Le Jour , 2 septembre 2012
  29. a et b Hillary Clinton demande une refonte de l'opposition en Syrie , Le Nouvel Observateur , 31 octobre 2012
  30. Syrie: le CNS s'en prend a Washington, les rebelles coupent la route du Nord , Le Parisien , 2 novembre 2012
  31. a et b Trois personnalites demissionnent du Conseil national syrien , France 24 , 15 mars 2012
  32. Syrie: le CNS indecis sur une initiative pour federer l'opposition, elit son chef , Le Parisien , 9 novembre 2012
  33. a et b Syrie : Georges Sabra elu president du Conseil national syrien , Le Monde , 9 novembre 2012
  34. (en) Syrian opposition agrees deal, chooses preacher as leader , Reuters, 11 novembre 2012
  35. (en) Syrian opposition groups reach unity deal , USA Today , 11 novembre 2012
  36. L'opposition syrienne se rassemble , Le Figaro , 11 novembre 2012
  37. Le CNS propose un cabinet interimaire dans les ≪ zones liberees ≫ , L'Orient-Le Jour , 10 janvier 2013
  38. Un chretien remplace un kurde a la tete du Conseil national syrien , Ignace Leverrier, blog Le Monde , 9 novembre 2012
  39. a et b L'aide versee a l'opposition syrienne soupconnee de financer des achats d'armes , France 24, 1 er decembre 2012
  40. Le Conseil National Syrien publie ses comptes , Ignace Leverrier, blog, Le Monde , 3 novembre 2012
  41. Syrie: l'Occident et le Qatar pas impliques dans la "revolution" (opposition) , RIA Novosti , 10 juillet 2012
  42. Le Qatar tire les ficelles du Printemps arabe , Le Temps , 30 novembre 2011
  43. a et b Opposition syrienne : who's who ? , Arte , 29 aout 2012
  44. Questions sur le Conseil national syrien , L'Humanite , 10 aout 2012
  45. a et b Comment s'organise l'opposition interieure en Syrie ? , Le Monde , 8 aout 2012
  46. La Coalition Nationale syrienne designe de nouveaux ≪ ambassadeurs ≫ , Ignace Leverrier, blog Le Monde , 4 janvier 2013
  47. (en) How Syrian National Council Fell From Rebel Darling to Outcast , Al-Monitor , 4 octobre 2012
  48. (en) Divisions, lack of arms underscore weakness of Free Syrian Army , The National , 3 mars 2012
  49. Syrie: turbulences au sein de l'opposition a Bachar el-Assad , Radio France International , 29 aout 2012
  50. ≪  Syrian council wants recognition as voice of opposition  ≫, Reuters, (consulte le )

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

  • ≪  Syrie : l'opposition forme un Conseil national  ≫, Le Figaro ,‎ ( lire en ligne )
  • ≪  Syrie: l'opposition forme un Conseil national  ≫, L'Express ,‎ ( lire en ligne )
  • ≪  Aider, ecouter, conforter l'opposition syrienne  ≫, Le Monde ,‎ ( lire en ligne )
  • ≪  Damas menace les pays qui reconnaitront le Conseil national syrien  ≫, Le Monde ,‎ ( lire en ligne )
  • ≪  Le CNT libyen reconnait le Conseil national syrien  ≫, romandie.com ,‎ ( lire en ligne )
  • ≪  La France soutient l'opposition syrienne  ≫, Le Figaro ,‎ ( lire en ligne )
  • ≪  Le CNS, interlocuteur legitime  ≫, Le Figaro ,‎ ( lire en ligne )

Voir aussi [ modifier | modifier le code ]

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]