La
canonisation
est une declaration officielle et definitive de la part de l'
Eglise catholique
ou des
Eglises orthodoxes
, reconnaissant une personne defunte comme
sainte
. L’Eglise affirme avec certitude que la personne est au
Paradis
, intercedant aupres de
Dieu
pour les hommes, du fait de la reconnaissance de miracles. D'autre part, par cet acte, le
saint
est propose comme modele de vie chretienne aux fideles.
Dans l'
Eglise catholique
, la canonisation conduit le culte du
saint
a l'echelle universelle, tandis que pour les
bienheureux
, le culte peut etre limite au
diocese
ou a l'
ordre religieux
dans lequel il a vecu. Le
saint
recoit une place dans le
calendrier liturgique
de l'Eglise, date a laquelle il est commemore et invoque
liturgiquement
.
Tous les fideles, etant appeles a la saintete par leur bapteme, peuvent etre dignes de veneration posthume aux
premiers temps de l'Eglise
, tels les
martyrs
des le
III
e
siecle puis les
confesseurs de la foi
.
Jusqu'au
X
e
siecle
, il n’existe pas dans l'
Eglise
de procedure centralisee pour declarer une personne
sainte
. Le plus souvent, c’est la
vox populi
qui declare la saintete
[
1
]
; l’eveque du lieu la confirme par des ceremonies solennelles :
elevation
de la personne consideree comme sainte (du latin
elevatio
, il s'agit de l'exposition de son corps dans un
sarcophage
, une
chasse
ou de ses reliques ? son corps, des parties de son corps ou des objets en lien avec lui ? dans un
reliquaire
, etape souvent precedee de l'
invention des reliques
), eventuellement
translation de ses reliques
, enfin
deposition
en faisant inhumer ses restes sous un
autel
, dans un tombeau dans une
crypte
ou a partir du
XI
e
siecle, dans une chasse ou un reliquaire
[
2
]
eleves dans le
chœur de l'eglise
[
3
]
.
En
798
, le moine anglais
Alcuin
ecrit a l’empereur
Charlemagne
qu’il faut se mefier de la
vox populi
lors de l'election des princes pour eviter l’influence d’une emotion populaire ephemere ou la fabrique anarchique de saints, motif de supercheries
[
4
]
. C'est dans cet esprit que le
Saint-Siege
s'efforce de supprimer la canonisation par acclamation et de reglementer la procedure pour ne pas confondre ≪ reputation de saintete ≫ et enthousiasme populaire passager, permettant ainsi les conditions d’un jugement historique depassionne. La premiere declaration officielle de la part de l’Eglise de la saintete d’une personne est la
bulle pontificale
envoyee par
Jean XV
en
993
aux eveques de France et de Germanie, pour leur signaler que
Ulrich
,
eveque d’Augsbourg
devait etre considere comme saint. Le terme meme de canonisation apparait sous la plume du pape
Benoit VIII
a propos de saint
Simeon de Padolirone
. Au cours du
XII
e
siecle
, l’examen des cas de canonisation par la papaute se developpe : sous
Alexandre III
(pape de
1159
a
1181
), douze causes sont examinees, sept sont rejetees, et cinq fois la veneration d'un saint est autorisee. Alexandre III tente en vain de se reserver ces autorisations par la
decretale
du
(en lien possible avec la mort du roi de Suede
Eric IX
dont le culte populaire en aurait fait un saint mort en ebriete au cours d'une rixe, ce que desapprouvait le pape
[
5
]
), mais cette ordonnance ne se fait pas sans resistance et quelques
translations
de corps saints par les eveques ont encore lieu. Si la premiere canonisation par le pape date de
993
, la procedure episcopale ou la vox populi perdurent jusqu'au
XII
e
siecle
[
6
]
. En
1215
, le
IVe concile du Latran
interdit la veneration des
reliques
(y compris anciennes) sans l’accord du pape
[
7
]
. La procedure est mise en place au
XIII
e
siecle
. En 1234, l'introduction du
bref
Audivimus
du pape Alexandre III dans les
Decretales de Gregoire IX
, consacre la ≪ reserve pontificale ≫ en matiere de canonisation. Si
Gregoire IX
se reserve le droit exclusif de proceder aux canonisations et formalise le
proces en canonisation
, l'application systematique de cette reserve ne s'effectue que progressivement
[
1
]
. Ainsi, jusqu’au
XVI
e
siecle
, l’approbation episcopale suffit encore a etablir le culte local d’un saint
[
8
]
.
Le plus ancien proces en canonisation dont on possede les pieces est celui de
Galgano Guidotti
(saint Galgano), ermite mort en
1181
et sur lequel on enquete quatre ans apres sa mort. La foi et les bonnes œuvres de son vivant, ainsi que les miracles, avant ou apres sa mort, sont necessaires pour declarer la saintete d’une personne. S’ajoute dans les requis la
reputation de saintete
(qui rejoint la
vox populi
).
Le 11 fevrier
1588
, par la
constitution apostolique
Immensa aeterni Dei
, le pape
Sixte-Quint
institue la
Sacree congregation des rites
chargee d'instruire la cause des saints.
Urbain VIII
, par deux decrets de 1625, precises le 5 juillet
1634
dans sa constitution
Cælestis Jerusalem
, fixe de facon claire et detaillee les criteres et la procedure de beatification et de canonisation : apres enquete du tribunal diocesain, la Sacree Congregation des Rites examine les ecrits, paroles et actes du postulant, s’informe de sa reputation de saintete, de ses vertus, de ses miracles. Si ce premier proces, dit
proces apostolique
est favorable, la Congregation propose l’introduction de la cause au pape, qui l’accepte en signant un ≪
bref
≫. Un proces de non-culte est ensuite ouvert, puis il est suivi d’un proces sur l’heroicite des vertus du postulant, qui est reexamine par la Sacree Congregation. Enfin, l’examen des miracles (au moins deux) permet l’ouverture du reel proces en canonisation.
Au
XVII
e
siecle, la
Societe des Bollandistes
se livre a des contre-enquetes sur la vie des saints pour denicher les faux saints construits par ideologie, aboutissant a des proces de ≪ decanonisation ≫
[
9
]
.
La procedure est lourde : la
Curie romaine
s’adjoint en 1930 une section historique, afin de tirer parti des progres de cette science. En 1939, le proces apostolique est supprime pour les causes historiques (concernant des personnes mortes depuis tres longtemps), simplification etendue en 1969 aux causes recentes. La meme annee, la
Sacree Congregation des rites
est dissoute, et la Sacree
Congregation pour les causes des saints
est creee pour les proces en canonisation. La procedure a encore ete modifiee et simplifiee par
Jean-Paul II
(constitution
Divinus perfectionnis magister
en 1983), en reduisant le nombre des miracles requis et en accroissant l’attention portee a la saintete de la vie menee, en laissant la decision finale au pape.
Parmi les
dix mille saints
dans la liste officielle de l'Eglise catholique (mais personne n'en connait le nombre exact), pres de 300 ont ete canonises selon cette procedure, la majorite ayant ete proclames saints par acclamation populaire
[
10
]
. Sur les 83 papes canonises, presque tous l'ont ete durant le premier millenaire du christianisme. Les derniers canonises etant
Celestin V
,
Pie V
,
Pie X
,
Jean XXIII
et
Jean-Paul II
en
2014
[
11
]
et
Paul VI
en 2018.
On parle de
proces
en canonisation. Ce proces est instruit par la
Congregation pour les causes des saints
, l'une des
congregations romaines
du
Saint-Siege
, sise place Pie XII a
Rome
. La procedure est actuellement (2010) regie par la
constitution apostolique
Divinus perfectionis Magister
du
[
12
]
, completee par les
Normae servandae in inquisitionibus ab episcopis faciendis in causis sanctorum
du 7 fevrier 1983 publiees par cette Congregation
[
13
]
.
Aujourd'hui, pour etre reconnue comme sainte une personne doit remplir plusieurs conditions. La procedure commune repose sur trois criteres : le candidat,
serviteur de Dieu
laic ou religieux, doit etre mort en
odeur de saintete
; il doit avoir un rayonnement spirituel apres sa mort (notion de reputation de saintete, la
fama sanctitatis
qui doit etre spontanee, durable, croissant continuellement et generalisee) avec des temoignages humains qui attestent son martyre ou ses
vertus heroiques
(pratique heroique des trois
vertus theologales
et quatre
vertus cardinales
) ; il doit avoir accompli au moins deux
miracles
[
14
]
.
Outre cette canonisation formelle, la canonisation equipollente (appelee aussi canonisation equivalente) permet au pape d'etendre a l’Eglise universelle le culte d'un bienheureux et de l'inscrire au calendrier des saints en l'absence d'un proces en canonisation dans des conditions precises
[
15
]
.
Le proces en canonisation commence par la declaration reconnaissant ≪
venerable
≫ la personne defunte. Celle-ci est alors reconnue digne de recevoir une veneration locale. Elle peut ensuite etre beatifiee a la suite d'une
beatification
. Elle atteint alors le rang des ≪
bienheureux
≫ et peut faire l'objet d'un culte plus generalise. Enfin, le ≪
saint
≫ fait, lui, l'objet d'un culte universel.
Tout baptise ou groupe de baptises peut demander l'ouverture d'un proces en canonisation. Pour cela, un
postulateur
de la cause
doit etre choisi. Il s'agit d'une personne (
pretre
ou religieux ou laic ou laique) chargee premierement d'assurer l'instruction prealable du dossier, et deuxiemement de porter la cause a
Rome
. A la suite de l'instruction prealable, le
postulateur
doit adresser une requete ecrite a l'
eveque
du
diocese
ou est mort le candidat a la saintete. Cette requete doit comprendre une biographie du candidat, une copie de l'ensemble de son œuvre le cas echeant et une liste de temoins pour les causes dites recentes (c'est-a-dire pour lesquelles des temoins directs sont encore en vie).
Si la requete est acceptee, c'est ensuite l'eveque, ou un delegue, qui est charge d'instruire le dossier. Les regles de cette enquete diocesaine ont ete redefinies en 2007
[
16
]
. Au terme de cette seconde enquete diocesaine (apres celle de la beatification), si l'eveque le juge pertinent, il transmet la cause a la Congregation pour les causes des saints, qui mene l'instruction finale. Si la Congregation accepte le dossier, elle nomme un rapporteur (ou relateur) charge de faire une synthese (appelee la ≪
Positio
≫) de toute la documentation (biographie, vertus, les deux miracles)
[
17
]
.
Lors du proces romain, un college de cardinaux et d'eveques etudie alors la
positio
. De la meme facon que dans un proces criminel, l'accusation et la defense s'affrontent, dans un proces en canonisation, le postulateur de la cause tente de montrer que le bienheureux est digne d'etre canonise, tandis que le
promoteur de justice
(anciennement surnomme ≪
Avocat du diable
≫) tente de prouver le contraire. De plus, un comite scientifique est charge d'examiner le second miracle. Au terme de ce proces, les cardinaux et les eveques constituant la Congregation rendent leur verdict a la suite d'un vote.
La relation des travaux de la congregation ainsi que le verdict sont ensuite remis au
pape
, qui decrete ou non la canonisation lors d'un
consistoire
. Elle peut ensuite etre proclamee au peuple catholique.
Au total, la procedure est longue. Elle peut prendre plusieurs dizaines d'annees. Par ailleurs, certains saints bien connus ont attendu parfois plusieurs siecles leur consecration. C'est le cas de
Jeanne d'Arc
, morte en
1431
et canonisee en
1920
. La longueur de chaque proces est toujours l'objet de commentaires. On a pu dire de
Jean-Paul II
, dont le regne a vu un grand nombre de canonisations, qu'il canonisait beaucoup plus rapidement que ses predecesseurs. Neanmoins, au
Moyen Age
, l'
Eglise catholique romaine
a egalement connu des canonisations tres rapides. Parmi les records figurent
Thomas Becket
, canonise en trois ans,
Francois d'Assise
en deux ans,
Pierre de Verone
et
Antoine de Padoue
canonises en un an. Dans la periode contemporaine, la canonisation la plus rapide fut
celle de Jean-Paul II
survenue 9 ans apres sa mort, le 27 avril 2014. Parmi les autres canonisations rapides figurent
Mere Teresa
(19 ans),
Josemaria Escriva de Balaguer
(27 ans),
Therese de Lisieux
(27 ans) et
Padre Pio
(33 ans).
Le cout de la procedure, financee par les fonds diocesains et les dons de la communaute, est estime entre 15 000 et 3 millions euros
[
18
]
. En 2014, le
pape Francois
annonce l’instauration d’une grille tarifaire pour limiter le montant allouable aux procedures de beatification et de canonisation et diminuer les inegalites entre les 5 000 dioceses catholiques. Depuis 2003, sur 66 canonisations prononcees, 54 concernaient des Europeens, dont une grande part d'Italiens alors que l'Occident ne pese plus que pour un quart des fideles. Cette nouvelle grille doit permettre ainsi a des dioceses de pays pauvres de proposer, eux aussi, des candidats
[
19
]
.
Le rite de canonisation a lieu au tout debut de la ceremonie solennelle de la canonisation. Le prefet de la
Congregation pour les causes des saints
accompagne du postulateur de la cause de canonisation du bienheureux, s'avance et demande par trois fois en latin
[
20
]
au pape de proceder a la canonisation, a la suite desquelles le souverain pontife conclut par une formule declarant saint la personne canonisee
[
21
]
. Apres ce rite, la messe ordinaire du
calendrier liturgique romain
debute.
Une
canonisation equipollente
est une canonisation decidee par un simple decret du pape sans que la reconnaissance d'un miracle ne soit necessaire. Cette forme de canonisation, codifiee par
Benoit XIV
au
XVIII
e
siecle
, necessite trois elements : la possession ancienne d’un culte lie a la personne a canoniser, l’attestation constante et repandue de ses vertus ou de son martyre par des historiens dignes de foi et la reputation ininterrompue d’accomplissement de prodiges
[
22
]
. Lorsque ces conditions sont remplies, le pape peut, de sa propre autorite, par un decret public, sans proces ni ceremonie de canonisation, proceder a une
canonisation equipollente
, c’est-a-dire etendre a l’Eglise universelle le culte liturgique en l'honneur du bienheureux.
Utilisations de la canonisation equipollente
[
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|
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]
Codifiee par
Benoit XIV
, la canonisation equipollente existait de fait avant son pontificat. Le pape dresse lui-meme dans son ouvrage
De servorum Dei beatificatione et beatorum canonizatione
une liste de
12 saints
proclames avant son pontificat, sur de tels criteres. Il s'agit des saints :
Romuald de Ravenne
canonise en 1595,
Norbert de Xanten
en 1582,
Bruno le Chartreux
en 1623,
Pierre Nolasque
en 1655,
Raymond Nonnat
en 1681,
Etienne de Hongrie
en 1686,
Marguerite d’Ecosse
en 1691,
Jean de Matha
et
Felix de Valois
en 1694,
Gregoire VII
en 1728,
Wenceslas de Boheme
en 1729 et
Gertrude de Helfta
en 1738.
Depuis
Benoit XIV
, cette regle a ete utilisee a quelques reprises, pour la canonisation de saints :
Pierre Damien
,
Boniface
en 1828,
Cyrille et Methode
en 1880,
Cyrille d'Alexandrie
,
Cyrille de Jerusalem
,
Justin de Naplouse
,
Augustin de Cantorbery
en 1882,
Jean Damascene
,
Sylvestre Guzzolini
en 1890,
Bede le venerable
en 1899,
Ephrem le Syrien
en 1920,
Albert le Grand
en 1931,
Marguerite de Hongrie (sainte)
en 1943,
Gregoire Barbarigo
1960, et
Jean d'Avila
ainsi que
Nicolas Tavelic
et ses trois compagnons martyrs en 1970.
Jean-
Paul II
y a eu recours une seule fois, en 1995, pour la canonisation de saint
Etienne Pongracz
et de ses compagnons
Marc de Kri?evci
et
Melchior Grodziecki
.
Benoit XVI
l'a egalement utilisee une fois en 2012, pour
Hildegarde de Bingen
, proclamee sainte le 10 mai 2012.
Le
pape Francois
l'a utilisee assez souvent, pour les saints :
Angele de Foligno
le 9 octobre 2013,
Pierre Favre
le 17 decembre suivant,
Jose de Anchieta
, sœur
Marie Guyart
,
M
gr
Francois de Montmorency-Laval
le 2 avril 2014, et
M
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