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Seconde guerre de l'opium

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(Redirige depuis Campagne de Chine de 1860 )

La seconde guerre de l'opium, est une guerre coloniale qui a dure de 1856 a 1860 et qui a oppose l’ empire britannique , la France , soutenus par les Etats-Unis et la Russie , a la dynastie chinoise Qing .

Cette guerre est consideree comme le prolongement de la premiere guerre de l'opium (1839-1842), lors de laquelle ces puissances souhaitent imposer a la dynastie Qing l'autorisation du commerce de l' opium , d'ou le nom qui lui a ete attribue.

Le conflit debute par une premiere serie d’affrontements qui se termine par le traite de Tientsin de juin 1858. En juin 1859, les hostilites entre l’Angleterre, la France et la Chine reprennent et une expedition conjointe est organisee. Le 8 avril 1860, la guerre est declaree officiellement. Les combats durent d'aout a octobre 1860, et les 24-25 octobre 1860, le traite de Pekin est signe, mettant un terme a la seconde guerre de l’opium .

Contexte historique [ modifier | modifier le code ]

En 1729, la dynastie Qing interdit l’importation d’ opium en Chine. En 1757, la Compagnie britannique des Indes orientales acquiert des droits de culture de l’opium au Bengale [ 1 ] et en 1765, les droits britanniques de culture de l’opium sont etendus au Bihar [ 2 ] .

Premiere guerre de l’opium (1839-1842) [ modifier | modifier le code ]

En 1816, la Compagnie britannique des Indes orientales developpe le commerce de l’opium en Chine. Le , le gouverneur general Lin Zexu ordonne la fermeture du port de Canton , point d'entree principal du trafic de l' opium britannique. De 1839 a 1842, les chinois et les britanniques s'affrontent militairement dans ce qui deviendra la premiere guerre de l'opium . Ce conflit se soldera par une victoire britanniques et la signature le 29 aout 1842, du traite de Nankin .

Seconde guerre de l’opium (1856-1860) [ modifier | modifier le code ]

  • 8 octobre 1856, incident de l’ Arrow  : la police chinoise arrete a Canton l’equipage chinois d'un navire accuse de piraterie. Le consul britannique pretend mensongerement que le bateau arborait le drapeau britannique, qu’il etait enregistre a Hong Kong et que la Chine n’avait donc pas le droit d’interpeller qui que ce soit a bord. Le gouverneur chinois Ye Mingchen choisit l’apaisement en faisant liberer les captifs mais une flotte de guerre britannique est tout de meme depechee pour soumettre Canton a coups de canon. La ville est soumise a d'intenses bombardements pendant trois semaines.
  • 23 octobre 1856 : 5 000 soldats britanniques investissent Canton .
  • 1857  : bombardement de Canton par les Britanniques et les Francais.
  • Mai 1858 : bombardement naval des forts du Pei-Ho qui protegent l'acces a Pekin .
  • 1858  : traite de Tianjin .
  • 24 juin 1859 : les forces franco-britanniques tentent de penetrer dans Tianjin et se font refouler.
  • 17 juillet 1860 : les armees britannique et francaise debarquent sur le sol chinois.
  • 21 aout : prise des forts du Pei-Ho .
  • 2 septembre : les armees britannique et francaise prennent Tianjin.
  • 5 octobre : les armees britannique et francaise campent sous les murailles de Pekin, et vont piller le ≪ Palais d’Ete ≫ .
  • 13 octobre : la ville de Pekin tombe et est pillee a son tour.
  • 18 octobre : le ≪  Palais d'Ete  ≫ est incendie par les Britanniques.
  • 24 octobre : convention de Pekin .

Contexte preliminaire a la seconde guerre [ modifier | modifier le code ]

Le traite de Nankin en 1842, faisant suite a la premiere guerre de l'opium , laisse cinq ports a disposition des Occidentaux pour le commerce.

Malgre cet accord, les puissances europeennes, dont la balance commerciale est largement deficitaire, desirent etendre leur commerce vers le Nord et vers l’interieur de la Chine.

Les revenus du commerce de drogue sont considerables pour la couronne britannique ; ils servent notamment a maintenir a flot l’appareil etatique en Inde, ou la plus grande partie de l’opium est produite [ 3 ] .

Par ailleurs, le commerce de l' opium est toujours illegal en Chine. Cependant, le vice-roi de la ville de Canton le pratique tout en faisant condamner a mort les etrangers accuses de ce commerce. C'est ainsi que la France et les Etats-Unis demandent, en 1854 , des revisions dans le traite de Huangpu et le traite de Wanghia . Le Royaume-Uni fait la meme demande, citant les articles sur le ≪ traitement egalitaire ≫ dans les statuts des nations les plus favorisees.

En 1854, les ministres europeens et americains contactent de nouveau les autorites chinoises et demandent des revisions des traites :

  1. Pouvoir penetrer sans reaction d'hostilite dans Canton ;
  2. Pouvoir etendre le commerce a la Chine du Nord et le long du fleuve Yangzi  ;
  3. Legaliser le commerce de l’opium, qui etait toujours illicite ;
  4. Traiter directement avec la cour a Pekin (volonte des Occidentaux).

La cour imperiale de la dynastie Qing rejette alors les demandes de revision du Royaume-Uni, de la France et des Etats-Unis. Des lors, les puissances occidentales cherchent d'autres moyens pour arriver a reequilibrer une balance commerciale tres deficitaire.

La guerre [ modifier | modifier le code ]

Les puissances occidentales estiment que seule la guerre peut amener l'Empire chinois a changer de position. Des lors, le gouvernement anglais compte sur un evenement qui pourrait servir de pretexte au declenchement du conflit. Cet evenement a lieu le , lors de l'incident de l’ Arrow . Des officiers chinois de Ye Mingchen abordent l’ Arrow , un navire prealablement pirate revendu puis enregistre a Hong Kong sous pavillon britannique, mais dont l'enregistrement a expire. Ils confisquent la cargaison d'opium, capturent 12 des 14 hommes d’equipage et les emprisonnent.

Les Britanniques demandent alors officiellement la relaxe de ces marins. Ye en libere neuf mais refuse de liberer les trois derniers malgre l'insistance des Britanniques, faisant valoir la promesse faite par l'empereur de la protection des navires britanniques. Les Britanniques evoquent ensuite l’insulte faite au drapeau britannique par les soldats chinois, rapportee par Thomas Kennedy, qui est a bord d'un navire voisin au moment de l'incident et declare avoir vu les soldats chinois descendre et mettre a terre le pavillon britannique au moment de l'intervention [ 4 ] .

La premiere partie de la guerre [ modifier | modifier le code ]

Attaque et prise des forts du Pei-Ho, le .

Bien qu'affaiblis par une mutinerie difficile a reprimer aux Indes , la revolte des Cipayes (1857-1858), les Britanniques repondent a l’incident de l’ Arrow en 1857 en attaquant Canton depuis la riviere des Perles . Ye Mingchen , alors gouverneur des provinces du Guangdong et du Guangxi , ordonne aux soldats chinois en poste dans les forts de ne pas resister. Apres avoir pris sans difficulte le fort voisin de Canton, l’armee britannique attaque la ville elle-meme. Les navires de guerre americains, y compris l' USS  Levant , bombardent Canton. Les habitants ainsi que les soldats resistent a l'attaque et forcent les assaillants a battre en retraite vers Humen .

Le Parlement britannique decide d'obtenir coute que coute reparation de la part de la Chine pour l’incident de l’ Arrow , et le gouvernement britannique demande a la France , aux Etats-Unis et a la Russie de s’allier a elle.

L’execution du missionnaire des MEP Auguste Chapdelaine par les autorites locales chinoises en (incident dit du pere Chapdelaine), dans la province du Guangxi, incite la France a rejoindre les Britanniques dans leur expedition punitive. Les Americains et les Russes offrent leur aide aux Britanniques et aux Francais mais, finalement, ne les aident pas militairement.

Les Britanniques et les Francais designent des ministres plenipotentiaires charges des negociations avec les Chinois. Le representant britannique est Lord Elgin , l'ambassadeur francais le baron Gros .

Ye Mingchen est capture et Baigui , le gouverneur de Canton, se rend. Un comite mixte de l’Alliance est forme. Baigui est maintenu a son poste originel pour maintenir l’ordre au nom de l’Alliance. L’Alliance maintient Canton sous son controle pendant pres de quatre ans. Ye Mingchen est exile a Calcutta , en Inde , ou il meurt un an plus tard.

La coalition se dirige ensuite vers le nord pour prendre les forts de Dagu , qui defendent l'embouchure de la riviere Hai He en aval de Tianjin , en .

L'enseigne de vaisseau Henri Rieunier (1833-1918), de l'artillerie de marine, assiste a toutes les operations de la premiere partie de la guerre de Chine, ses ecrits exceptionnels sont conserves et relatent les evenements, comme suit :

≪ L'aviso Marceau participe a la prise d'assaut de Canton, grand port de la Chine meridionale, le par les flottes combinees de l'Angleterre et de la France, a la suite d'attaques contre des navires marchands anglais. Le a Canton, Henri Rieunier embarque sur la canonniere la Mitraille dont il dirige les batteries d'artillerie. Le , l'amiral de Genouilly, avec l'escadre quitte Canton pour la Chine du nord. Le , agissant de concert avec les Anglais, il s'empare des forts de Ta-Kou a l'embouchure du Pei-ho dans le Petchili avant de remonter le Pei-ho jusqu'a Tien-Tsin en direction de Pekin. La Mitraille dont l'equipage fut decime - deux officiers tues, un blesse - participe a leur attaque et a leur prise. Henri Rieunier fut charge de miner et de faire sauter le fort sud de l'embouchure de Pei-ho, en .

La route de Pekin ouverte, le gouvernement chinois signe a Tien-Tsin les 27 et avec l'Angleterre et la France, les traites qui mirent fin a la premiere expedition de Chine de la 2 e  guerre de l'opium. L'affaire de Chine etant ou paraissant reglee, l'amiral Rigault de Genouilly porte ses forces sur la Cochinchine ... etc. ≫

Le traite de Tianjin [ modifier | modifier le code ]

En , le traite de Tianjin conclut la premiere partie de la guerre a laquelle la France, la Russie et les Etats-Unis sont parties prenantes. Ce traite ouvre onze ports supplementaires au commerce occidental. Mais, dans un premier temps, les Chinois refusent de le ratifier.

Les points principaux du traite sont :

  1. Le Royaume-Uni, la France, la Russie et les Etats-Unis auront le droit d’etablir des missions diplomatiques a Pekin , jusque-la, cite interdite ;
  2. Dix ports chinois supplementaires seront ouverts au commerce etranger, y compris Niuzhuang , Danshui , Hankou et Nankin  ;
  3. Le droit pour tous les navires etrangers, y compris les navires commerciaux, de naviguer librement sur le Yangzi Jiang  ;
  4. Le droit pour les etrangers de voyager dans les regions interieures de la Chine dont ils etaient jusqu’a present bannis ;
  5. La Chine doit payer une indemnite au Royaume-Uni et a la France de deux millions de taels d’argent chacune ;
  6. La Chine doit payer une indemnite aux marchands britanniques de deux millions de taels d’argent pour la destruction de leurs proprietes.

Les negociations se poursuivent et, en , le gouvernement central accepte de legaliser le commerce de l’opium : en 1886 , ce commerce porte sur 180 000 caisses (environ 10 000 tonnes). Des 1878 , on estime a environ cent millions le nombre de consommateurs d'opium en Chine (occasionnels ou reguliers).

Les Chinois acceptent que les droits de douane soient extremement faibles et que la gestion des douanes passe sous controle etranger.

La ratification a lieu plus d'un an apres. Le gouvernement chinois laisse trainer les choses et les Britanniques et Francais ont recours a la force pour aller plus vite : 11 000 Britanniques et 7 000 Francais s’embarquent sur les eaux chinoises.

Le traite d'Aigun avec la Russie [ modifier | modifier le code ]

Le , le traite d'Aigun est signe avec la Russie pour reviser les frontieres entre la Chine et la Russie telles qu’elles avaient ete definies par le traite de Nertchinsk en 1689 .

Les Russes s’etendent vers la Chine, car ils ne peuvent s’etendre vers le Proche-Orient, la guerre de Crimee ayant ete perdue en 1856. Il y a tres longtemps que Russes et Chinois s’etaient entendus sur des frontieres communes. Par la suite, les Russes avaient essaye de repousser les frontieres (au-dela du fleuve Amour , en chinois Heilong Jiang) et avaient installe deux forts. Les Russes profitent de la deuxieme guerre de l'opium pour consolider leur avancee. Ils collaborent en sous-main avec Francais et Britanniques et se posent en mediateur. La Russie gagne la rive gauche du fleuve ainsi que le controle d’un territoire hors gel le long de la cote Pacifique , ou elle fonde la ville de Vladivostok (le souverain de l’Est) (anciennement Haishenwei), en 1860 .

Les Russes ont les memes privileges que les autres pays et la Chine reconnait formellement leur annexion de plus d'un million de kilometres carres de territoires.

La seconde partie de la guerre [ modifier | modifier le code ]

Prise des forts du Pei-Ho le .

En 1859 , apres le refus de la Chine d’autoriser l’etablissement d’ambassades a Pekin, comme stipule dans le traite de Tianjin, une force navale sous le commandement de l’amiral Sir James Hope   (en) encercle les forts gardant l’embouchure de la riviere Hai He , mais subit des dommages et fait retraite sous la couverture d’un escadron naval commande par Josiah Tattnall .

La force francaise arrive devant Pekin le 7 octobre 1860 au soir, suivie par les Britanniques le lendemain. Nommant son frere, le prince Gong   (en) comme negociateur, l’empereur chinois Xianfeng se refugie dans son palais d’ete de Chengde . Les troupes franco-britanniques pillent et saccagent le Palais d'Ete [ 5 ] ulterieurement, des le 7 au soir, avant qu'il ne soit incendie le 18 octobre par les Anglais en represailles a la torture et a l'execution d'une vingtaine de prisonniers europeens et indiens (dont deux envoyes et un journaliste britannique du journal The Times ). L'incendie dure trois jours et le vieux palais d'ete est totalement detruit. La majeure partie des tresors s'y trouvant sont prealablement repertories par le general francais et son homologue britannique, et rapportes a Paris et Londres pour entrer dans des collections d'Etat ou des ventes aux encheres. Cependant, Pekin elle-meme n'est pas prise, les troupes restant cantonnees en-dehors de la ville.

La convention de Pekin [ modifier | modifier le code ]

Apres la fuite de Pekin de l’empereur Xianfeng et de sa suite, en juin 1858, le traite de Tianjin est finalement ratifie par le frere de l’empereur, le prince Gong, lors de la convention de Pekin le 18 octobre 1860, mettant un terme a la seconde guerre de l’opium.

Le commerce de l’opium est legalise et les chretiens voient leurs droits civils pleinement reconnus, incluant le droit de propriete privee et celui d’ evangeliser .

La convention de Pekin inclut :

  1. La reconnaissance par la Chine de la validite du traite de Tianjin ;
  2. L’ouverture de Tianjin en tant que port commercial, destine au commerce avec Pekin ;
  3. La cession du district de Kowloon au Royaume-Uni ;
  4. La liberte de culte en Chine. Les missionnaires catholiques francais ont le droit d’acheter des terres et de construire des eglises ;
  5. L’autorisation pour les navires britanniques d’emmener de la main-d’œuvre chinoise a l'etranger pour remplacer les esclaves recemment affranchis. Ces coolies partiront pour les mines ou les plantations de Malaisie, d’Australie, d’Amerique latine, des Etats-Unis ;
  6. Le paiement aux Britanniques et aux Francais d’une indemnite augmentee a huit millions de taels d’argent chacun.

Les consequences [ modifier | modifier le code ]

Les consequences de la seconde guerre de l’opium sont :

Sur le plan economique, l’empire doit donner de grosses sommes d’argent aux pays contre lesquels il a ete en guerre. De plus, la balance commerciale du pays est devenue deficitaire, car le prix tres bas des exportations de the ne suffit plus a equilibrer l’argent que les Chinois doivent payer pour acheter l’opium qui est vendu tres cher. Durant les guerres de l’opium, les Russes profitent du chaos regnant dans le pays pour envahir quelques territoires chinois. La Chine doit verser 50 millions de roubles [ 6 ] au tsar pour recuperer ces terres.

La Chine est considerablement affaiblie par les deux guerres qui viennent de la ravager, mais aussi la revolte des Taiping qui continue a faire rage jusqu'en 1864. Les puissances de l’epoque en profitent pour s'emparer de territoires. Ainsi, la Chine perd l’Annam au profit de la France, la Coree devient independante, suivie par beaucoup d’autres regions du grand empire chinois [ 7 ] .

Sur le plan culturel, les pays qui ont gagne la guerre ont pille de nombreux tresors comme les objets du ≪  Palais d’Ete  ≫, qui, sur ordre de Lord Elgin , a meme ete brule par l'armee anglaise par la suite.

Sur le plan societal, les pays vainqueurs peuvent imposer l'importation et la consommation de l'opium, ce qui fait que la consommation sort de la clandestinite.

La Chine vit une periode difficile a surmonter et l’ imperatrice Cixi decide qu’il est temps que la Chine commence a se moderniser en prenant exemple sur les pays plus developpes. Elle s’ industrialise , commence a creer des armes, ses ports se developpent et les bateaux a vapeur apparaissent, les lignes de chemin de fer arrivent dans le pays… Une des consequences principales de la deuxieme guerre de l’opium est donc la modernisation de la Chine, qui s’ouvre alors sur le monde exterieur, ce qui lui permet de se developper.

L’empire chinois perd donc toute sa puissance a cause des guerres de l’opium. Leurs consequences sont catastrophiques pour le pays, qui mettra des decennies a s’en remettre.

Reportages photographiques [ modifier | modifier le code ]

Cette guerre est l'une des premieres guerres a etre suivie et documentee par des photographes, parmi lesquels Felice Beato , le britannique John Papillon et le francais Antoine Fauchery .

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

Notes [ modifier | modifier le code ]

  1. Officiellement neutres, les Etats-Unis soutinrent l'armee britannique lors de la bataille de la riviere des Perles (1856) et de la seconde bataille des forts de Taku (1859).

References [ modifier | modifier le code ]

  1. L’opium dans la mondialisation : le cas du Triangle d’Or , erudit, 31 octobre 2016
  2. Les guerres de l'opium dans la Chine du XIX e  siecle, page 61 , sinoptic, 1991, consulte le 30 juillet 2021
  3. Alexander Zevin, ≪  Le libre-echange a la canonniere  ≫, sur monde-diplomatique.fr ,
  4. Hanes et Sanello 2004 , p.  176?77.
  5. L'actuel Palais d'Ete fut construit plus a l'ouest par l'imperatrice Cixi a partir de 1886
  6. Jose Freches , Il etait une fois la Chine : 4 500 ans d’histoire . Saint-Amand-Montrond : XO editions, 2005, p.  381.
  7. Alain Peyrefitte , L’empire Immobile : le Choc des Mondes . Paris : Fayard, 1989. 558 p.

Sources [ modifier | modifier le code ]

  • Jean Meyer et Martine Acerra , Histoire de la marine francaise : des origines a nos jours , Rennes, Ouest-France , , 427  p. [ detail de l’edition ] ( ISBN   2-7373-1129-2 , BNF   35734655 )
  • Remi Monaque , Une histoire de la marine de guerre francaise , Paris, editions Perrin, , 526  p. ( ISBN   978-2-262-03715-4 )
  • Michel Verge-Franceschi ( dir. ), Dictionnaire d'Histoire maritime , editions Robert Laffont, coll.  ≪ Bouquins ≫,
  • Guy Le Moing , Les 600 plus grandes batailles navales de l'Histoire , Rennes, Marines Editions, , 620  p. ( ISBN   9782357430778 )
  • Alain Peyrefitte, L’empire Immobile : le Choc des Mondes . Paris : Fayard, 1989. 558 p.
  • Freches Jose, Il etait une fois la Chine : 4500 ans d’histoire . Saint-Armad-Montrond : XO editions, 2005. 381 p.
  • Bernard Brizay, Le Sac du palais d'ete : seconde guerre de l'opium , editions du Rocher, 2011, 653 p.
  • Jiang Tianyue, Doctorant en histoire, Universite normale de Pekin. Article corrige et condense par Alexandre Sheldon- Duplaix, chercheur au SHD., ≪ La marine imperiale dans l’expedition de Chine ≫, Revue historique des armees [Online], 273 |2014. Lire en ligne .

Annexes [ modifier | modifier le code ]

Recits de la campagne [ modifier | modifier le code ]

  • La Campagne de Chine de 1860 vecue et racontee par un soldat du 102 e  regiment d’infanterie de ligne.
  • Lettre de Victor Hugo, datee du 25 novembre 1861, critiquant la mise a sac du palais Yuanmingyuan le 17 octobre 1860
  • Ch. Cousin-Montauban, L’expedition de Chine de 1860. Souvenirs du general Cousin-Montauban, comte de Palikao publies par son petit-fils, le comte de Palikao , Paris : Plon, 1932
  • Comte d’Herisson, Journal d’un interprete en Chine , Paris : Ollendorff, 1886.
  • Capitaine Labbe, Expedition des mers de Chine. Rapports adresses a S.E. le Ministre de la Guerre , Paris : Imprimerie Imperiale, 1858.* Armand Lucy, Lettres intimes sur la campagne de Chine , Marseille, Barile, 1861.
  • Emile Maison, Lettre d'un volontaire au 102 e (expedition de Chine) , Paris : Benjamin Dupat, 1861.
  • Charles de Mutrecy, Journal de la campagne de Chine 1859-1860-1861 , Paris, Librairie nouvelle, 1861, 2 vol., 387 et 412 p. tome 1), [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6364681b tome 2
  • de Negroni, Souvenirs de la campagne de Chine , Paris, Imprimerie Renou et Maulde, 1864.
  • Lieutenant de vaisseau Pallu, Relation de l'expedition de Chine en 1860 , Paris : Imprimerie Imperiale, 1863, 236p.
  • Lieutenant de vaisseau Pallu, Examen critique et refutation d'une relation de l'expedition de Chine en 1860 , Paris : Dentu, 1864, 35p. [cote 29 965].
  • J. Saint-Martin, Le Comte d'Escayrac de Lauture, sa captivite chez les Chinois, 1859-1860 , Noyon : G. Andrieux, 1885, 51 p.
  • Cesar de Bazancourt, Les expeditions de Chine et de Cochinchine, d'apres les documents officiels par le Baron de Bazancourt , Paris : Amyot, 1861-1862, 2 vol.
  • Henri Begouen , ≪ La France et l'Angleterre en Chine, d'apres la correspondance du General de Palikao ≫, in Le Correspondant , 10 octobre 1891.
  • Ch. de Chassiron, Notes sur le Japon, la Chine et l'Inde Paris : Dentu, 1861.
  • Henri Cordier, L’expedition de chine de 1860. Histoire diplomatique , Paris : Felix Alcan, 1906, 460 p.
  • Lord Jocelyn, La campagne de Chine ou 6 mois avec l'expedition anglaise , trad. Xavier Raymond, Paris : Delloye, 1841, carte et dessins.
  • Pierre Maidiere, De Paris a Palikao, expedition de Chine, 1860, Paris : Tallandier, 1933, 92 p.
  • Paul Tain, L’Expedition de Chine , Paris : Michel Levis editeurs, 1862.* P. VARIN, Expedition de Chine , Paris : Michel Levy freres, 1862.
  • Journal de voyage de Jean Louis Isaac Tardy http://www.histoire-genealogie.com/spip.php?article1337
  • Herve Bernard, Amiral Henri Rieunier - La vie d'un grand marin (1833-1918) , Atlantica 2005.

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]