한국   대만   중국   일본 
Calendrier de Coligny ? Wikipedia Aller au contenu

Calendrier de Coligny

Un article de Wikipedia, l'encyclopedie libre.

Calendrier de Coligny
Calendrier de Coligny,Musée Lugdunum à Lyon.
Calendrier de Coligny,
Musee Lugdunum a Lyon.
Periode II e  siecle
Culture gauloise
Date de decouverte novembre 1897
Lieu de decouverte Coligny , France
Coordonnees 46° 22′ 59″ nord, 5° 20′ 46″ est
Conservation Musee gallo-romain de Fourviere
Geolocalisation sur la carte : France

Le calendrier de Coligny , ou ≪ calendrier gaulois ≫, est une grande table de bronze trouvee en morceaux a Coligny , dans l' Ain , en France , et datee du II e  siecle. Sa reconstitution a revele qu'il s'agit d'un calendrier servant a fixer les dates des fetes religieuses ainsi que les jours fastes et nefastes. Il est expose au Lugdunum , le musee des antiquites gallo-romaines de Lyon .

C'est une source epigraphique capitale pour la connaissance de l’ Antiquite celtique, qui renseigne sur la conception que les Celtes avaient du temps, leurs connaissances en astronomie et la tradition druidique [ 1 ] . Plus long texte ecrit en gaulois qui nous soit parvenu, c'est aussi un document linguistique qui contribue a la connaissance du vocabulaire de cette langue.

Decouverte [ modifier | modifier le code ]

Le dieu a taille d'homme trouve avec le calendrier et reconstitue par A. Andre.

En novembre 1897, au lieu-dit ≪ Verpoix ≫ sur la commune de Coligny dans l’ Ain , le long de l'antique route de Lugdunum a Lons-le-Saunier a un peu plus de vingt kilometres au nord de Bourg-en-Bresse , Alphonse Roux, un agriculteur, trouve dans un champ qu'il est en train de miner [ 2 ] , ce qui ressemble au contenu d'une hotte dont les fibres ont ete dissoutes par le temps. Ce sont 550 fragments de bronze enfouis a une trentaine de centimetres sous terre [ 2 ] .

Le travail d’assemblage mene par Paul Dissard , conservateur des Musees de Lyon qui en font l'acquisition [ 2 ] , revele qu’il s’agit de deux objets distincts :

  • une statue [ 3 ] gallo-romaine [ 4 ] d'un metre soixante dix [ 5 ] fondue entre la fin du I er  siecle  av. J.-C. et le debut du II e  siecle apr. J.-C. [ 6 ] (environ 400 pieces),
  • un calendrier dont il manque environ la moitie (149 pieces, dont 126 portent une inscription [ 7 ] ).

La statue en bronze represente un dieu [ 2 ] nu, glabre et chevelu, levant une main droite [ 8 ] qui devait tenir une lance [ 4 ] . Un hypothetique casque disparu l'identifie [ 4 ] a Mars [ 6 ] , possible avatar du dieu a la lance Lug , la divinite eponyme de la ville de Lyon que le Livre de Leinster qualifie ≪ d'au long bras ≫ (La??ada). Sa destruction et celle du calendrier sont rapprochees d'une razzia conduite par Chrocus en 275 [ 6 ] .

Les fouilles recentes menees sur les lieux n'ont pas permis de retrouver d'autres fragments. Pour eviter des fouilles sauvages, la zone a ete classee . Le calendrier et la statue sont exposes au Musee gallo-romain de Fourviere . Une reconstitution a l'identique du calendrier est visible a la mairie de Coligny .

Presentation [ modifier | modifier le code ]

Fac-simile du calendrier de Coligny publie par Seymour de Ricci en 1926.

Reconstitue par Paul Dissard en une quinzaine de jours [ 7 ] , le calendrier se presente sous la forme d’une table aux dimensions de 1,48  m sur 0,90  m [ 9 ] , les cent quarante neuf fragments assembles couvrant moins des deux tiers de la surface totale.

Graphiquement, le calendrier s'organise en 16 colonnes de 8 blocs quinzaines, representant 62 mois, et non 64. En effet, chaque colonne contient 4 mois sauf la premiere et la neuvieme qui n'en contiennent que 3 : ce sont en effet les deux mois intercalaires, qui occupent, dans la moitie haute de la table, un espace double des mois normaux [ 10 ] .

Calendrier de Coligny (reconstitue).

Comme sur d'autres calendriers trouves a Rome , a chaque jour correspond un trou, ou l’on place une goupille pour indiquer la date du jour [ 2 ] . Au-dela de ce constat, le calendrier pose des questions, en particulier sur sa fonction, perpetuelle ou pas, son utilisation eventuelle a des fins civiles inconnues, questions qui restent sans reponses [ 11 ] , mais son caractere druidique est indeniable [ Passage contradictoire ] [ 12 ] .

Les lettres et chiffres sont graves en caracteres latins , mais la langue est gauloise . Le document comporte environ 2 000 mots, avec environ 130 lignes par colonne, soit environ 2200 cellules : c'est le plus long connu en cette langue. L'etude apporte une soixantaine de mots nouveaux dont le sens, base essentiellement sur la philologie comparee aux langues gaeliques , reste tres incertain en l'etat actuel des connaissances.

60 mois lunaires plus 2 pour 5 annees solaires [ modifier | modifier le code ]

Detail du calendrier de Coligny :
le mois ( mid ) de Samonios .

Les douze mois de l'annee [ modifier | modifier le code ]

C’est un calendrier luni-solaire , semblable a tous les calendriers protohistoriques des zones temperees , depuis la Chine jusqu'a Rome [ 13 ] , qui presente un cycle de 5 annees [ 9 ] de 12 mois de 29 ou 30 jours, chaque mois etant divise en deux quinzaines [ 2 ] . On remarque que les mois de 29 jours sont notes ≪ anmatu ≫ et que les mois notes ≪ matu ≫ sont de 30 jours.

Les noms des douze mois avec leur duree et leur attribut seraient :

Deux mois intercalaires par lustre [ modifier | modifier le code ]

S'y ajoutent deux mois [ 2 ] intercalaires [ 9 ] , dont nous ignorons les noms exacts, leurs en-tetes n'ayant pu etre reconstitues completement :

  • Qvimon (d'apres le dernier mot de son en-tete) entre Cantlos et Samonios (30 jours, matu)
  • Ciallos (d'apres le premier mot de son en-tete) entre Cvtios et Giamonios (30 jours, matu)

L’ajout d'un mois intercalaire au debut de la premiere annee, et d'un second au milieu de la troisieme, soit en fait un tous les deux ans et demi, aboutit au terme d’une periode de trente ans, periode qui correspond a un ≪ siecle ≫ gaulois de six lustres romains , a un nouveau decalage entre le calendrier lunaire et le calendrier solaire . On compte en effet par rapport a l' annee tropique un retard de 4,789 jours par lustre de 5 ans (5x365,2422 - 1831), qui aboutissent a un ecart de 28,734 jours par ≪ siecle ≫ de 30 ans. Le siecle gaulois pourrait alors se marquer par l'absence d'un de ces deux mois intercalaires [ 17 ] pour retablir l'alignement avec les saisons, ce qui s'accorderait avec l'inscription sonnocingos ? traduite par ≪ course du soleil ≫, composee de sonno ≪ Soleil ≫ (cf. gall. huan ) et cing- ≪ courir, marcher ≫ (cf. v.irl. cingid ≪ il marche ≫, racine retrouvee dans ≪  Vercingetorix  ≫) ? sur le second mois intercalaire.

Ainsi, pour un lustre d'un nombre de jours toujours identique, les annees, elles, ne comptent pas le meme nombre de jours.

Alternances propitiatoires [ modifier | modifier le code ]

Les mots ≪  matu  ≫ (issu du celtique *matos , breton mad ) et ≪  anmatu  ≫ (* an , marque du contraire) indiquent certainement les periodes (jours et mois) fastes et nefastes. Le mois d'Eqvos, note ≪ anmatv ≫, rompt la regularite de l'alternance. Les fragments sur lesquels etaient inscrits trois des cinq occurrences de ce mois n'ont pas ete retrouves. Sur les deux qui l'ont ete (annees 1 et 5), Eqvos compte 30 jours. Comme, pour la troisieme annee, ou le fragment portant Eqvos manque, l'en-tete du mois intercalaire evoque une duree de 385 jours, on conclut que cette troisieme occurrence d'Eqvos compte egalement 30 jours.

Le mystere de cette apparente irregularite trouve une explication avec l'hypothese emise en 1924 par l'Irlandais Eoin Mac Neill qu'Eqvos ne compte habituellement que 28 jours, en particulier pour la deuxieme et la quatrieme annee dont on ne possede pas l'inscription [ 18 ] . Une serie de notations de jours (≪ ivos ≫) comptent en effet un nombre variable de jours, de 5 a 9. Or ce ≪ ivos ≫ est allonge de 2 jours la seconde annee autour du mois ≪ Eqvos ≫ incomplet [ 19 ] . Ce comput aurait l'avantage de donner un lustre de 1831 jours, tres proche des 62 lunaisons de 1830,89 jours.

Le nycthemere gaulois, appele ≪ latis ≫ (pluriel ≪ lates ≫), se compose d’une nuit suivie d’un jour, et non l'inverse. Le changement de date intervient au coucher du soleil.

Les mois sont divises en deux quinzaines numerotant les jours de un a quinze, ou quatorze pour la seconde. Chaque quinzaine est separee par le mot ≪  atenoux  ≫, qui a ete envisage comme un ≪  ateno VX  ≫, au sens de nouvelle quinzaine (en breton , gallois et irlandais quinze, XV, se dit cinq dix, VX) [ 20 ]  ; cependant la numerotation du dernier jour de chaque quinzaine est notee "XV". Ce mot a d'abord ete compris comme designant la pleine lune [ 21 ] , mais Pline l'Ancien [ 22 ] indique que les Gaulois demarrent leur mois le sixieme jour de la lune montante, ce qui correspond au premier quartier . Etant situe quinze jours plus tard, "atenoux" indiquerait donc le dernier quartier et le passage a la moitie "obscure" du temps.

Les mois de vingt-neuf jours se terminent par une indication ≪  divertomv  ≫ qui signifie peut etre sans ultime , sous entendu sans jour ultime [ 20 ] . Deux indications recurrentes, ≪  prinni lovdin  ≫ et ≪  prinni laget  ≫, semblent donner les dates de lancer et de depose des des pour le tirage des sorts [ 20 ] .

Remanence des fetes [ modifier | modifier le code ]

La fete de Samain , Samonios en gaulois ou Trinox samoni (les ≪ Trois nuits de Samonios ≫ [ 23 ] ), se passe lors des trois premieres nuits de la deuxieme quinzaine du mois (en 2015 donc lors des nuits du 4 au 5 novembre, du 5 au 6 et du 6 au 7), marque le debut de l’annee gauloise. Tous les cinq ans donc, ce temps de passage d'une annee a l'autre est precede du mois intercalaire Qvimon .

Cette identification de Samain sur le calendrier de Coligny autorise d'y projeter aux jours notes ≪  ivos  ≫ les autres fetes traditionnelles [ 24 ] , celles dont les moines irlandais ont transmis le souvenir dans leurs efforts de christianisation , Beltaine [ 25 ] , Imbolc [ 26 ] , Lugnasad [ 26 ] , aussi bien que celles dont les ethnologues ont retrouve les traces, Eginane (≪  Au gui l'an neuf!  ≫ [ 27 ] ), douze jours suivant le solstice d'hiver [ 14 ] , ou Calan haf au premier mai [ 25 ] . Cependant, le calendrier de Coligny demontre que c'est une erreur de vouloir fixer les dates de ces fetes sur le calendrier solaire . Parce que calculees a partir de cycles lunaires, elles y etaient mobiles , comme l'est Paques . Ces fetes perdurent en de multiples rituels et conceptions traditionnels pratiques dans toute l' Europe occidentale [ 26 ] .

La tromenie de Locronan n'est pas le moindre exemple d'une christianisation d'un rituel fixe par un calendrier semblable a celui de Coligny. Son deroulement sextennal lui-meme est une projection, dans un paysage compose d'une vallee ombree et d'un coteau situe au midi, de la representation resumee du cycle alterne de l'annee luni-solaire telle que la decrit le calendrier de Coligny [ 28 ] . Sur le parcours suivi par les pelerins durant la tromenie, chaque station correspond a un des mois et chacun des quatre virages de l'itineraire a un ≪  ivos  ≫ [ 28 ] .

Signes triples [ modifier | modifier le code ]

A plusieurs endroits du calendrier figurent des marques constituees de trois traits verticaux, dont l'un, plus long que les deux autres, est barre. Ces triples hastes surviennent generalement, mais pas toujours, sur trois jours continus et, dans ce cas, le grand trait se decale d'une position chaque jour.

Leur signification est inconnue mais elles notent vraisemblablement un evenement, fete ou ceremonie, dont la date se decale d'un lustre a l'autre. Trois lustres faisant un ≪ demi-siecle ≫ (soit une periode de quinze ans), il est possible [ 29 ] que les evenements notes par ces triples hastes aient servi egalement de repere pour l'annee en cours dans le ≪ siecle ≫ gaulois, de la meme facon qu'un eqvos de trente jours ou qu'un un mois intercalaire permettent de situer l'annee dans le lustre. Cette hypothese expliquerait l'existence averee d'une triple haste isolee : elle marquerait un evenement unique par demi siecle, voire par siecle, comme le calendrier romain comptait des fetes seculaires .

Datation [ modifier | modifier le code ]

Une pierre calendaire de Knowth montre l'heritage neolithique du comput de Coligny.

La graphie latine et les artefacts trouves alentour indiquent un contexte gallo-romain de la fin du II e  siecle apr. J.-C. , epoque retenue pour dater la fabrication du calendrier. Cette date tardive est corroboree par la repugnance des druides a consigner leur savoir par ecrit. La contextualisation archeologique a partir d'autres fragments de calendriers (sites du lac d'Antre sur la commune de Villards-d'Heria , d' Andesine , de Bibracte ) [ 30 ] revele la resilience des conceptions religieuses celtiques dans la Gaule romaine [ 30 ] . La grande similarite des deux calendriers a ete etablie des 1898 par Antoine Heron de Villefosse [ 31 ] .

La complexite du calendrier [ 32 ] denote de bonnes connaissances astronomiques , ainsi qu’une lente elaboration, probablement en plusieurs phases [ 33 ] . Le rapprochement avec une gravure du tumulus de Knowth en Irlande , date de -2500 a -2200, renvoie a des concepts tres anterieurs a la civilisation celtique de La Tene , a savoir une alternance de mois lunaires de vingt-neuf et trente jours repartis en deux quinzaines centrees sur les trois jours de la nouvelle lune et un cycle lustral de cinq annees [ 30 ] .

Etapes du dechiffrement [ modifier | modifier le code ]

Jusqu'aux annees 1920 [ modifier | modifier le code ]

Des sa decouverte en 1897 , le calendrier de Coligny est reconstitue par Paul Dissard , conservateur de musee. C'est a lui que revient la premiere publication sur ce sujet : Compte-rendu a l' Academie des inscriptions et belles-lettres , tome XXV (1897) et XXVI (1898).

Cette premiere publication fait connaitre le calendrier aux specialistes de la langue et de la civilisation celtiques. Plusieurs parutions suivront :

  • Seymour de Ricci , Revue celtique , tome XIX (1898), et tome XXI (1900).
  • Emile Esperandieu , Fac-simile du calendrier, publie dans la Revue celtique , tome XXI (1900).
  • Nicholson, Zeitschrift fur Celtische Philologie , 1901.
  • Joseph Loth , Compte-rendu a l'Academie des Inscriptions et Belles Lettres , 1904.
  • Joseph Loth, Revue celtique , tome XXV (1904).

De 1920 aux annees 1970 [ modifier | modifier le code ]

L'annee 1920 voit la premiere transcription complete des inscriptions figurant sur le calendrier. C'est Georges Dottin qui la publie dans La langue gauloise (Paris, Klincksieck, 1920).

Plusieurs chercheurs vont alors tenter l'elucidation complete de ce calendrier : sur le plan de la langue, sur le plan historique, et sur le plan astronomique :

  • Francoise Le Roux , Le calendrier gaulois de Coligny et la fete irlandaise de Samain (Samonios) , Ogam IX (1957).

De 1970 au XXI e  siecle [ modifier | modifier le code ]

Les annees 1970 et suivantes voient une nouvelle reprise de l'approche scientifique. Il faut noter les travaux de plusieurs chercheurs :

  • Paul-Marie Duval  : Observations sur le calendrier de Coligny , in Hommages a Albert Grenier , Latomus, tome LVIII (1962).
  • Christian-J. Guyonvarc'h, Francoise Le Roux et Georges Pinault, Le calendrier gaulois de Coligny , Ogam XIII.
  • Georges Pinault , qui a travaille avec les deux precedents : P.-M. Duval et G. Pinault, Les calendriers (Coligny, Villards d'Heria). Recueil des Inscriptions gauloises , volume III, CNRS , 1988.
  • Pierre-Yves Lambert Un calendrier gaulois , in  La langue gauloise , Errance, 1997.
  • Jean-Michel Le Contel et P. Verdier : Un calendrier celtique, le calendrier gaulois de Coligny , editions Errance, 1998.

Les travaux de ces chercheurs se recoupent malgre quelques divergences. Ces etudes de base ont recemment servi a des publications en langues etrangeres, et a des reconstitutions qui se veulent definitives :

  • Hans-Rudolf Hitz : Der gallo-lateinische Mond- und Sonnen-Kalender von Coligny , 1991.
  • Garrett S. Olmsted : The Gaulish calendar , 1992.
  • Annemarie Bernecker : Der galloroemische Tempelkalender von Coligny , 1998.
  • Garrett S. Olmsted : A definitive reconstructed text of the Coligny calendar , 2001.
  • Adolfo Zavaroni : On the structure and terminology of the Gaulish Calendar , 2007.

Recuperation astrologique [ modifier | modifier le code ]

Les recherches scientifiques menees sur le calendrier de Coligny ont donne prise a la recuperation de ces donnees par differentes associations astrologiques et mouvements neo-druidiques [ 34 ] . Certains ont tente de mettre a jour ce calendrier, et de s'en servir pour renommer les jours et mois du XXI e  siecle . Quoi qu'il en soit de cette recuperation, cela ne remet pas en cause les travaux scientifiques sur lesquels elle pretend s'appuyer.

Annexes [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

Presentations et etudes du calendrier
Le calendrier dans la mythologie celtique

Sources [ modifier | modifier le code ]

  1. P.M. Duval et G. Pinault, Les calendriers (Coligny, Villars d'Heria). Recueil des Inscriptions gauloises , vol. III, CNRS , Paris , 1988.
  2. a b c d e f et g A. Heron de Villefosse , cite in Seance du 17 decembre 1897 , in Comptes rendus des seances de l' Academie des inscriptions et belles-lettres , 41 e  annee, n° 6, pp. 703-705, Paris , 1897.
  3. Photographie in Ch. Picard , Le bronze de Coligny , op. cite infra, p. 11.
  4. a b et c Ch. Picard , Le bronze de Coligny , in L. Rosenthal, "Florilege des musees" du Palais des Arts de Lyon , p. 10, Mairie de Lyon , [s.d.] (1920<>1932).
  5. Ch. Picard , Le bronze de Coligny , in L. Rosenthal, "Florilege des musees" du Palais des Arts de Lyon , p. 9, Mairie de Lyon , [s.d.] (1920<>1932).
  6. a b et c Joseph Buche, Le Mars de Coligny (Musee de Lyon) , in Monunments et Memoires de la Fondation Eugene Piot , X, pp. 61-90, Academie des inscriptions et belles-lettres , Paris, 1904, en ligne sur Persee .
  7. a et b A. Heron de Villefosse , cite in Seance du 29 decembre 1897 , in Comptes rendus des seances de l' Academie des inscriptions et belles-lettres , 41 e  annee, n° 6, pp. 730-732, Paris , 1897 (comprend une reproduction du calendrier).
  8. A. Heron de Villefosse , cite in Seance du 24 octobre 1902 , in Comptes rendus des seances de l' Academie des inscriptions et belles-lettres , 46 e  annee, n° 5, p. 550, Paris , 1902.
  9. a b et c A. Allmer & P. Dissard , Inscriptions antiques de Lyon n° 87, I, Musee des beaux-arts de Lyon , Lyon , 1898.
  10. Jean Lefort, La saga des calendriers , Paris, Belin , coll.  ≪ Pour la science ≫, , 192  p. ( ISBN   2-84245-003-5 ) , p.  172-178
  11. D. Laurent , [ Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique.] , p.  5, Agence Bretagne Presse , Pouldreuzic , novembre 2007.
  12. P.-Y. Lambert , Un calendrier gaulois , in La langue gauloise , p. 115, Errance , 1997 ( ISBN   2-87772-089-6 ) .
  13. D. Laurent , Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique. , p.  8 & p.   9-10 , Agence Bretagne Presse , Pouldreuzic , novembre 2007.
  14. a b c et d C. Laine Kerjean , in Zeitschrift fur keltische Philologie und Volksforschung n° 23, pp. 249-284, universite Frederic-Guillaume , Berlin , 1943.
  15. a b c d et e P.-Y. Lambert , Un calendrier gaulois , in La langue gauloise , p. 110, Errance , 1997 ( ISBN   2-87772-089-6 ) .
  16. P.-Y. Lambert , Un calendrier gaulois , in La langue gauloise , p. 111, Errance , 1997 ( ISBN   2-87772-089-6 ) .
  17. Keltia Magazine
  18. E. Mac Neill , On the Notation and Chronology of the Calendar of Coligny , Eriu n° X, pp. 1-67, Academie royale d’Irlande , Dublin , 1928.
  19. Eoin MacNeill, ≪  On the Notation and Chronology of the Calendar of Coligny  ≫, Eriu , n o  10,‎ 1926-1928, p.  1-67 .
  20. a b et c P.-Y. Lambert , Un calendrier gaulois , in La langue gauloise , p. 112, Errance , 1997 ( ISBN   2-87772-089-6 ) .
  21. Francisco Marco Simon, ≪ Entre chaque periode de quinze jours des mois du calendrier de Coligny, le mot atenoux est inscrit (interprete comme renaissance ou la nuit qui revient ) ; atenoux indique la nuit de la pleine lune, l'equivalent du romain idus  ≫, Celtic Ritualism from the (Graeco)-Roman Point of View , in Rites et croyances dans les religions du monde romain ; Huit exposes suivis de discussions , Vandoeuvres, Fondation Hardt , coll.  ≪  Entretiens sur l'Antiquite classique LIII ≫, , 329  p. ( ISBN   978-2-600-00753-5 , lire en ligne ) , p.  174 ).
  22. Histoire Naturelle, XVI, 249-251, trad. Jacques Andre, 1962, Paris, Les Belles Lettres.
  23. Christian-J. Guyonvarc'h, Francoise Le Roux, Les druides , Ouest-France Universite, 1986, p.  448.
  24. D. Laurent , Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique. , pp. 5-6, Agence Bretagne Presse , Pouldreuzic , novembre 2007.
  25. a et b D. Laurent , Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique. , p.  8, Agence Bretagne Presse , Pouldreuzic , novembre 2007.
  26. a b et c D. Laurent , Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique. , p.  7, Agence Bretagne Presse , Pouldreuzic , novembre 2007.
  27. Th. Hersart de la Villemarque , La tournee de l'Aguilaneuf , in Barzaz Breiz , II, 7, note p. 452, Librairie academique Perrin , Paris , 1963.
  28. a et b D. Laurent , Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique. , pp. 8 & 9, Agence Bretagne Presse , Pouldreuzic , novembre 2007.
  29. Gregory Luguet, La societe gauloise (Keltia Magazine) , Editions du Nemeton, ( ISSN   1779-2126 ) .
  30. a b et c D. Laurent , Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique. , p.  15, Agence Bretagne Presse , Pouldreuzic , novembre 2007.
  31. Antoine Heron de Villefosse , ≪  Le calendrier du lac d'Antre  ≫, Comptes-rendus des seances de l annee - Academie des inscriptions et belles-lettres , vol.  42, n o  2,‎ , p.  264?272 ( DOI   10.3406/crai.1898.71173 , lire en ligne , consulte le )
  32. ≪  "Les Celtes" (le calendrier de Coligny explique des 16:51 au compteur)  ≫, sur YouTube (consulte le ) .
  33. http://www.david-romeuf.fr/Archeologie/CalendrierGaulois/SyntheseRestitutionsCalendrierGaulois.html
  34. Le calendrier celtique de Coligny in F. Dupuy-Pacherand & G.A. Mathis, Atlantis n o  247 Les calendriers Luni-solaires antiques , aout 1968.

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Sur les autres projets Wikimedia :

Voir aussi [ modifier | modifier le code ]