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Epinay-sur-Seine

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Epinay-sur-Seine
Épinay-sur-Seine
La mairie.
Blason de Épinay-sur-Seine
Blason
Épinay-sur-Seine
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Region Ile-de-France
Departement Seine-Saint-Denis
Arrondissement Saint-Denis
Intercommunalite Metropole du Grand Paris
EPT Plaine Commune
Maire
Mandat
Herve Chevreau ( DVD )
2020 -2026
Code postal 93800
Code commune 93031
Demographie
Gentile Spinassiens
Population
municipale
53 489  hab. (2021 en diminution de 2,46 % par rapport à 2015)
Densite 11 704  hab./km 2
Geographie
Coordonnees 48° 57′ 19″ nord, 2° 18′ 33″ est
Altitude Min. 22  m
Max. 60  m
Superficie 4,57  km 2
Type Commune urbaine
Unite urbaine Paris
( banlieue )
Aire d'attraction Paris
(commune du pole principal)
Elections
Departementales Cantons de Epinay-sur-Seine et de Saint-Ouen-sur-Seine
Legislatives 1 re  circonscription de la Seine-Saint-Denis
Localisation
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Epinay-sur-Seine
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Epinay-sur-Seine
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Epinay-sur-Seine
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Epinay-sur-Seine
Liens
Site web https://www.epinay-sur-seine.fr

Epinay-sur-Seine est une commune francaise , situee dans le departement de la Seine-Saint-Denis en region Ile-de-France . Elle se trouve a l'extremite occidentale du departement, a la limite des Hauts-de-Seine et du Val-d'Oise .

Ses habitants sont appeles les Spinassiens .

Geographie [ modifier | modifier le code ]

Localisation [ modifier | modifier le code ]

Carte de la petite couronne parisienne, avec le territoire d'Épinay-sur-Seine en rouge.
Localisation d'Epinay-sur-Seine dans la petite couronne .

Epinay-sur-Seine est une ville de la banlieue nord de Paris , situee a une dizaine de kilometres du centre de Paris , le long d'un meandre de la Seine .

Communes limitrophes [ modifier | modifier le code ]

La commune d'Epinay-sur-Seine est la plus occidentale du departement de la Seine-Saint-Denis . Situee a 6  km au nord de Paris sur la rive droite de la Seine , elle est limitrophe des communes de Saint-Denis , Villetaneuse et L'Ile-Saint-Denis dans le meme departement de la Seine-Saint-Denis , et de celles d' Argenteuil , Saint-Gratien , Enghien-les-Bains , Deuil-la-Barre et Montmagny dans le departement du Val-d'Oise .

Hydrographie [ modifier | modifier le code ]

Le territoire communal est limite au sud par la Seine . Le territoire presente une denivellation progressive du nord vers le sud, des versants du plateau de Montmorency en direction de la Seine . Trois ruisseaux s'ecoulent sur le territoire communal : le ru des Econdeaux a l'ouest, il est egalement traverse sur toute sa longueur du nord au sud-est par un petit cours d'eau : le ru d'Enghien , ainsi que par son affluent, le ru des Haras ou ru d'Arra . Ces ruisseaux ont ete enterres dans les annees 1960 et leurs eaux n'alimentent le reseau d'ecoulement vers la Seine que lors des periodes de pluie. La rue de l'etang garde le souvenir d'un etang s'etendait a leur confluent [ 1 ] .

D'une longueur de 14,2 kilometres, le ru d'Enghien prend sa source en foret de Montmorency au nord de la commune dans le Val-d'Oise et se jette dans la Seine apres avoir traverse, canalise pour l'essentiel, les territoires de Montlignon , Margency , Enghien-les-Bains et Epinay-sur-Seine et alimente l'etang de la chasse, en amont en foret, puis les etangs du parc de Maugarny (en limite de Montlignon et Margency), ceux du parc de Bury a Margency et le bassin de retenue des Moulinets a Eaubonne. Il se dirige ensuite vers le lac d'Enghien avant d'atteindre Epinay [ 2 ] .

Le ru des Haras ou ru d'Arra , d'une longueur de 6,3 kilometres, nait dans le vallon des Haras a l'est de Montmorency (Val-d'Oise) et se jette dans le ru d'Enghien a peu de distance de la Seine apres avoir traverse, en souterrain pour une grande part, les territoires de Groslay , Montmagny et Villetaneuse [ 3 ] . La Direction de l'eau et de l'assainissement du departement de la Seine-Saint-Denis a engage plusieurs etudes en vue de la requalification de ce ruisseau, notamment dans sa partie ou il se trouve en limite communale de Montmagny et de Villetaneuse. La realisation de ce projet implique une amelioration significative de la qualite de l'eau en amont [ 4 ] .

Climat [ modifier | modifier le code ]

En 2010, le climat de la commune est de type climat oceanique degrade des plaines du Centre et du Nord , selon une etude du CNRS s'appuyant sur une serie de donnees couvrant la periode 1971-2000 [ 5 ] . En 2020, Meteo-France publie une typologie des climats de la France metropolitaine dans laquelle la commune est exposee a un climat oceanique altere et est dans la region climatique Sud-ouest du bassin Parisien , caracterisee par une faible pluviometrie, notamment au printemps (120 a 150  mm ) et un hiver froid ( 3,5  °C ) [ 6 ] .

Pour la periode 1971-2000, la temperature annuelle moyenne est de 11,9  °C , avec une amplitude thermique annuelle de 15,4  °C . Le cumul annuel moyen de precipitations est de 647  mm , avec 10,3 jours de precipitations en janvier et 7,6 jours en juillet [ 5 ] . Pour la periode 1991-2020, la temperature moyenne annuelle observee sur la station meteorologique la plus proche, situee sur la commune de Bonneuil-en-France a 9  km a vol d'oiseau [ 7 ] , est de 12,1  °C et le cumul annuel moyen de precipitations est de 616,3  mm [ 8 ] , [ 9 ] . Pour l'avenir, les parametres climatiques de la commune estimes pour 2050 selon differents scenarios d' emission de gaz a effet de serre sont consultables sur un site dedie publie par Meteo-France en novembre 2022 [ 10 ] .

Urbanisme [ modifier | modifier le code ]

Typologie [ modifier | modifier le code ]

Epinay-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densite intermediaire, au sens de la grille communale de densite de l' Insee [ Note 1 ] , [ 11 ] , [ 12 ] , [ 13 ] .

Elle appartient a l' unite urbaine de Paris , une agglomeration inter-departementale regroupant 411 communes [ 14 ] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue [ 15 ] , [ 16 ] .

Par ailleurs la commune fait partie de l' aire d'attraction de Paris , dont elle est une commune du pole principal [ Note 2 ] . Cette aire regroupe 1 929 communes [ 17 ] , [ 18 ] .

Morphologie urbaine [ modifier | modifier le code ]

Carte des quartiers.

La ville d'Epinay-sur-Seine est divisee en sept quartiers : Centre-Ville, Les Mobiles - La Briche - Les Beatus - Blumenthal, Les Econdeaux, La Source - Les Presles, Orgemont, Gros Buisson et Le Cygne d'Enghien [ 19 ] .

La commune est marquee par la presence de nombreux grands ensembles tels que les cites d'Orgemont, de la Source et des Presles, mais a conserve des zones pavillonnaires traditionnelles, comprenant egalement des cites-jardins ( Cite-jardin Blumenthal , en limite de Villetaneuse , Orgemont, en limite d' Argenteuil ) [ 20 ] .

La cite-jardin est imaginee et construite dans les annees 1910 et 1920 par le negociant en peaux Willy Blumenthal afin d'y loger les ouvriers de sa tannerie de Saint-Denis. Les occupants ont par la suite accede a la propriete avant la Seconde Guerre mondiale et ont modifie l'unite d'aspect des trois cents pavillons en meuliere construits a l'origine. Blumenthal ouvre egalement une salle des fetes, un dispensaire et une pouponniere [ 21 ] .

Le secteur du Cygne d'Enghien, bordant cette ville et son lac , est le quartier le plus cher de la ville avec le quartier Blumenthal, fort de ses maisons tres au calme, et qui constitue l'une des trois cites-jardins de la ville. Le quartier d'Orgemont est quant a lui le moins huppe de la ville. Un autre quartier tres residentiel, au calme et peu connu, se trouve le long des berges de Seine en suivant le chemin de halage.

Le centre-ville, urbanise dans les annees 1960-1980, extremement dense et complexe, fait l'objet d'un projet de tres profonde restructuration conventionnee avec l' ANRU . Ce projet de renovation urbaine concerne quatre quartiers, et concerne trois thematiques majeures : le centre-ville et son role central, la diversification de l'offre d'habitat et le renouvellement des espaces, equipements et services publics.

La restructuration d'Epicentre, le centre commercial du centre-ville, est un element incontournable de la renovation du centre-ville.

Dans ce cadre, le grand ensemble du 77 avenue d'Enghien est restructure en 2008 . Le programme de demolition de 323 logements du bailleur OGIF est engage, et 455 logements (maisons de ville, appartements locatifs et en accession a la propriete) sont en construction [ 22 ] .

Retenue au titre de la politique de la ville , la commune compte une zone franche urbaine (ZFU) a savoir Orgemont et trois quartiers prioritaires de la politique de la ville , a savoir Centre-ville, La Source-Les Presles et Orgemont [ 23 ] .

Par ailleurs, la ville, qui a une longue facade sur la Seine , beneficie d'un atout majeur pour son cadre de vie : ses berges. Preservees de toute voirie routiere, la ville profite d'un des plus longs lineaires de berges preservees et transformees d'une part en parc de la proche couronne parisienne et d'autre part en un habitat residentiel a l'abri des nuisances sonores. Elles sont d'ailleurs protegees de toute urbanisation et classees en zone naturelle au plan local d'urbanisme de la ville et au schema de coherence territoriale (SCOT) de Plaine Commune , et font l'objet de plusieurs programmes de rehabilitation avec le soutien de la Region d'Ile-de-France. Elles sont le lieu d'animations tout au long de l'annee. L'ambition du projet de ville est notamment de ≪ tourner la ville vers la Seine ≫, en ouvrant des perspectives vers le fleuve.

Un autre des volets novateur de cette demarche est la construction, route de Saint-Leu, d'un programme d'une quinzaine de maisons a 100 000 euros du programme eponyme de Jean-Louis Borloo , livre fin 2008. L'ensemble de ces projets est porte par la Plaine Commune, en accord avec la Ville.

Habitat et logement [ modifier | modifier le code ]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune etait de 21 952, alors qu'il etait de 21 043 en 2013 et de 20 241 en 2008 [ I 1 ] .

Parmi ces logements, 92,9 % etaient des residences principales , 0,8 % des residences secondaires et 6,3 % des logements vacants. Ces logements etaient pour 15 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 83,3 % des appartements [ I 1 ] .

Le tableau ci-dessous presente la typologie des logements a Epinay-sur-Seine en 2018 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entiere. Une caracteristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de residences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) inferieure a celle du departement (1,1 %) et a celle de la France entiere (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 37,4 % des habitants de la commune sont proprietaires de leur logement (34 % en 2013), contre 38,8 % pour la Seine-Saint-Denis et 57,5 % pour la France entiere [ I 2 ] .

Le logement a Epinay-sur-Seine en 2018.
Typologie Epinay-sur-Seine [ I 1 ] Seine-Saint-Denis [ I 3 ] France entiere [ I 4 ]
Residences principales (en %) 92,9 93 82,1
Residences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 1,1 9,7
Logements vacants (en %) 6,3 5,9 8,2

Voies de communication et transports [ modifier | modifier le code ]

Reseau routier [ modifier | modifier le code ]

La commune est desservie par l'autoroute A 15 , l' A 86 passant a proximite, ainsi que par les RN 14 (qui constitue l'axe principal de la ville), RN 214 , RN 310 et RN 328 , sur laquelle circule depuis le la ligne 8 du tramway d'Ile-de-France .

Transports en commun [ modifier | modifier le code ]

La station Rose Bertin de T8 dessert le centre-ville et le centre commercial Ilo, inaugure fin 2013 dans le cadre du projet de renovation urbaine d'Epinay-sur-Seine.

Epinay-sur-Seine est desservie par la ligne C du RER et la ligne H du Transilien . Entre 2014 et 2017, la desserte s'est considerablement renforcee avec la mise en service du tramway T8 et du tram T11 express .

La gare d'Epinay - Villetaneuse se trouve en limite nord de la commune.

Les deux principaux poles de transports sont :

Le tramway T8, depuis le , relie le terminus le quartier d'Orgemont a la station de metro Saint-Denis - Porte de Paris en tangentant le centre-ville, avec une branche vers Villetaneuse-Universite .

Le tramway 11 express, depuis le relie les deux gares d'Epinay a celle du Bourget , et permet des correspondances avec d'autres lignes de RER sans passer par Paris. Ce tram express est amene a devenir une ligne de rocade reliant Sartrouville a Noisy-le-Sec [ 24 ] .

Epinay est egalement desservie par les bus des reseaux RATP , Argenteuil - Boucles de Seine , Vallee de Montmorency et la nuit par Noctilien .

Toponymie [ modifier | modifier le code ]

Le nom est atteste sous les formes Spinogelo au VII e  siecle et Spinogilium 862 [ 25 ] . Ipinacum est une mauvaise latinisation du VII e  siecle, par confusion avec le suffixe *-ACU .

Albert Dauzat et Charles Rostaing [ 26 ] expliquent cet archetype toponymique frequent par le terme roman epinay signifiant ≪ lieu plante d'(arbres a) epines ≫. On disait en ancien francais un epinay , comme on disait un chesnay , un saussay , etc.

Pour eux, les Epinay (homonymie) (cf. Epinay , Spinetum XII e  siecle) de la partie nord de la France et les Epinoy du Nord (cf. Epinoy , Spinetum 880) remontent tous au gallo-roman *SPINETU , base sur les deux elements d'origine latine spina , epine et -etu(m) suffixe collectif servant a designer un ensemble d'arbres appartenant a la meme espece. Ce suffixe explique les terminaisons -ey , -ay , (parfois -et , et -oy ). Il est devenu feminin en francais moderne -aie ( Chenaie , Saulaie , etc.).

Cependant, pour Ernest Negre [ 27 ] , les differents Epinay de l'Ile-de-France et du Centre admettent une autre explication, d'apres leurs formes anciennes latinisees. En effet, on y distingue une autre finale -gelo, -olium , -gilo qui renvoie a l'evidence aux noms en -ueil / -euil (Type Verneuil ≪ clairiere des aulnes ≫), issu de l'appellatif gaulois ialon 'clairiere', 'defrichement', puis 'village' [ 28 ] . Xavier Delamarre [ 29 ] souligne l'extension recente de cet appellatif en Gaule qui a bien pu se combiner avec un element d'origine latine.

Cependant, il est probable qu'il n'ait plus ete compris au Haut Moyen Age , d'ou son remplacement par -ay.

Histoire [ modifier | modifier le code ]

Prehistoire [ modifier | modifier le code ]

La presence humaine en ces lieux est attestee des l' age du fer celtique par la decouverte au XIX e  siecle d'epees en fer et en bronze dans le lit de la Seine.

Moyen Age [ modifier | modifier le code ]

Le plus ancien etablissement atteste sur le site de la commune remonte a l'epoque merovingienne au VII e  siecle. Le lieu est mentionne dans un document redige en latin medieval pour la premiere fois l'existence du village de Spinogelum par le chroniqueur Fredegaire , en l'an 638.

Dagobert I er fit son testament a ≪ Ipinacum ≫ ; il donna sa terre a l' abbaye de Saint-Denis , mais les Montmorency en volerent une partie [ 30 ] .

Au XII e  siecle, les Spinassiens vivent des activites portuaires sur la Seine , ainsi que des cultures maraicheres et cerealieres et de la viticulture .

Temps modernes [ modifier | modifier le code ]

Les terroirs de Stains - Pierrefitte - Villetaneuse -Epinay en 1707
Epinay vers 1780 ( carte de Cassini ).

En 1741, la seigneurie d'Epinay est achetee par Louis Denis Lalive de Bellegarde , mais le prince de Conde , heritier des Montmorency , y conserve des droits feodaux , et donne des fonds pour reconstruire l'eglise terminee en 1743.

Au XVIII e  siecle, une societe brillante frequente les proprietes du lieu, les sejours de Diderot , Grimm ou encore Jean-Jacques Rousseau chez Madame d'Epinay (la femme de Denis-Joseph Lalive d'Epinay, son cousin germain, fils de Louis-Denis) sont frequents.

Par la suite, Gian Battista Sommariva achete la terre seigneuriale d'Epinay.

Epoque contemporaine [ modifier | modifier le code ]

Au XIX e  siecle, il y avait une ferme situee sur la commune d'Epinay du nom de Temps Perdu situee au nord du fort de la Briche [ 30 ] .

Au XIX e  siecle, la commune perd une partie de son territoire : le chateau de la Briche est transfere a Saint-Denis et la creation de la commune d' Enghien-les-Bains le lui faire perdre les rives sud du lac d'Enghien .

La Guerre de 1870 [ modifier | modifier le code ]

La ville a subi d'importants combats durant la guerre franco-prussienne de 1870 , dont le carrefour des Mobiles garde le souvenir.
Ici, une maison de l'ancien bourg qui gardait des impacts de balles, plus de 30 ans apres la fin des combats.

Apres guerre de 1870 et la bataille dite du Combat d'Epinay ( ), commemore au carrefour des Mobiles par un monument, et la difficile occupation par les Prussiens durant l'hiver 1870/1871, la commune s'industrialise peu a peu. Le maitre-verrier Charles Schneider cree en 1913 une usine des verreries de la gare et A.Belotte reunies .

La Grande Ceinture [ modifier | modifier le code ]

La ligne de Grande Ceinture , est une ligne de chemin de fer qui fait tout le tour de Paris et qui a ete mise en service au niveau d'Epinay-sur-Seine en 1882.

Epinay avait deux gares : celle dite Epinay-Grande Ceinture , qui etait sur le parvis de la gare d'Epinay - Villetaneuse , et Le Grand Sentier , a l'emplacement de l'actuelle station RER d' Epinay-sur-Seine .

Ce secteur de la ligne de Grande Ceinture a accueilli les voyageurs jusqu'au . Cette ligne est desormais reservee au trafic de fret [ 31 ] .

Le tramway Enghien-Trinite [ modifier | modifier le code ]

Billet du Tramway Enghien Trinite, montrant les principaux arrets desservis.

Le tramway Enghien (Cygne d'Enghien) - Trinite (Eglise de la Trinite a Paris) a ete mis en service par la Compagnie des Tramways electriques du Nord-Parisiens le . Il a ete prolonge le jusqu'a la Gare d'Enghien.

Lors de la fusion des diverses compagnies tramways parisiens [ 32 ] dans la STCRP , la ligne prit le n o  54.

Elle a ete supprimee le et remplacee par des lignes de bus. L'indice de ligne 54 sert neanmoins toujours, avec les lignes RATP actuelles 154 et 254, qui desservent toujours Epinay…

Le depot des trams etait appele le depot de la Briche et etait situe a proximite du Carrefour des Mobiles , sur l'actuel Boulevard Foch. Desaffecte le , puis loue a des entreprises, il a ete demoli en 1966 pour faire place a des logements [ 33 ] .

En 1921, la ligne de 14,9  km etait parcourue en 65 minutes par les 17 rames de tramway qui la desservaient, avec un intervalle minimal de 15 minutes a l'heure de pointe.

En 1902, la ligne transportait 6 626 000 voyageurs, puis, en 1909, 8 754 000 voyageurs, qui, en 1926, n'etaient plus que 6 376 000 [ 34 ] .

Les studios et laboratoires Eclair [ modifier | modifier le code ]

Les Laboratoires Eclair et les Studios Eclair etaient les plus connues des entreprises de la ville, compte tenu de leur role historique majeur dans l'histoire du film francais et, aujourd'hui, dans l'economie du cinema et de la production televisuelle. Ils comptent 400 emplois [ 35 ] . Dans les annees 1930 etaient installes egalement les studios cinematographiques de la societe des Films sonores Tobis [ 36 ] qui produisirent un certain nombre de film, notamment La Kermesse heroique en 1935 [ 37 ] .

La ville a ete marquee dans les annees 1960 et 1970 par la construction de Grands ensembles principalement dans les quartiers d'Orgemont, des Presles et de La Source, aujourd'hui la majorite des habitants de la commune vivent dans ces types de logements.

La commune est notamment connue pour avoir abrite en 1971 le 58 e  congres de la SFIO , dit Congres d'Epinay , qui vit la ≪ reunification ≫ de la ≪ famille ≫ socialiste.

Elle est aussi connue pour les Studios Eclair , reputes dans le cinema et pour le traitement des pellicules, etc.

Le , au premier jour des ≪  emeutes de 2005  ≫, Jean-Claude Irvoas, un employe d'une firme de mobilier urbain, est battu a mort par deux individus de 19 et 23 ans au moment des faits dans le quartier d'Orgemont. Il etait occupe a photographier un lampadaire pour le catalogue de la compagnie havraise ETI, qui fabrique des lampadaires anti-vandalisme [ 38 ] .

Politique et administration [ modifier | modifier le code ]

Rattachements administratifs et electoraux [ modifier | modifier le code ]

Rattachements administratifs [ modifier | modifier le code ]

Jusqu’a la loi du [ 39 ] , la commune faisait partie du departement de la Seine . Le redecoupage des anciens departements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient desormais a la Seine-Saint-Denis apres un transfert administratif effectif le .

De 1801 a 1893, la commune fait partie du canton de Saint-Denis , annee ou elle integre le canton de Saint-Ouen-sur-Seine du departement de la Seine avant de devenir en 1967 dans le cadre de la mise en place de la Seine-Saint-Denis le chef-lieu du canton d'Epinay-sur-Seine , qui n'etait constitue que de cette seule commune [ 40 ] .

Rattachements electoraux [ modifier | modifier le code ]

Pour les elections departementales , dans le cadre du redecoupage cantonal de 2014 en France , la commune est desormais partagee entre deux cantons : celui d' Epinay-sur-Seine , ou habitent 24 180 Spinassiens (recensement de 2012), et celui de Saint-Ouen-sur-Seine , ou resident 30 960 Spinassiens.

Pour l' election des deputes , elle fait partie de la premiere circonscription de la Seine-Saint-Denis .

Intercommunalite [ modifier | modifier le code ]

La ville etait membre fondateur de la communaute d'agglomeration Plaine Commune , un etablissement public de cooperation intercommunale (EPCI) a fiscalite propre cree en 2000 et auquel la commune avait transfere un certain nombre de ses competences, dans les conditions determinees par le code general des collectivites territoriales .

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonte gouvernementale de favoriser le developpement du centre de l'agglomeration parisienne comme pole mondial est creee, le , la metropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre [ 41 ] .

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la Republique du prevoit egalement la creation de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la metropole, constituees d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotees de nombreuses competences, les etablissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc egalement ete integree le a l' etablissement public territorial Plaine Commune , qui succede a la communaute d'agglomeration eponyme [ 42 ] .

Politique locale et resultats [ modifier | modifier le code ]

Lors des elections municipales de 2008 , la liste conduite par Herve Chevreau, maire sortant MoDem , a ete elue des le premier tour avec 60,3 % des suffrages exprimes [ 43 ] . La position de Bruno Le Roux , ancien maire, sur la liste du PS ne lui a pas permis d'etre elu conseiller municipal d'opposition.

Comme en 2008, la liste menee par Herve Chevreau est aisement reelue des le premier tour lors des elections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis avec 7 254 voix (65,03 % des suffrages exprimes, 39 conseillers municipaux elus, dont 8 communautaires), devancant tres largement les listes menees respectivement par [ 44 ] , [ 45 ]  :
- Yannick Trigance (PS-PCF-EELV, 3 037 voix, 27,22 %, 6 conseillers municipaux elus dont 1 communautaire) ;
- Daniel Rigault (Front de gauche, 470 voix , 4,21 %, pas d'elus) ;
- Oben Ayyildiz (DVD, 393 voix , 3,52 %, pas d'elus) ;
Lors de ce scrutin, 53,50 % des electeurs se sont abstenus.

Lors du premier tour des elections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis [ 44 ] , la liste UDI - SL menee par le maire sortant Herve Chevreau obtient la majorite absolue des suffrages exprimes, avec 5 169 voix (67,27 %, 39 conseillers municipaux elus dont 1 metropolitain), devancant tres largement les listes menees respectivement par [ 46 ]  :
- Salah Bourdi (LREM - AC - PE, 1 034 voix, 13,45 %, 3 conseillers municipaux elus) ;
- Pierre Tavares (LFI - PCF - G·s - GRS, 732 voix , 9,52 %, 2 conseillers municipaux elus) ;
- Madjid Challal (EELV - PS - ND - PP - PRG, 616 voix , 8,01 %, 1 conseiller municipal elu) ;
- Stephane Berger (POID, 132 voix , 1,71 %, pas d'elus).
Lors de ce scrutin, marque par la pandemie de Covid-19 en France , 69,04 % des electeurs se sont abstenus.

Liste des maires [ modifier | modifier le code ]

Liste des maires successifs de Epinay-sur-Seine [ 47 ]
Periode Identite Etiquette Qualite
janvier 1945 octobre 1947 Joanny Berlioz [ 52 ] , [ 53 ] PCF Professeur d'allemand
Depute de l'Isere (1945 → 1946)
Senateur de la Seine (1946 → 1958)
octobre 1947 fevrier 1956 Georges Martin [ 57 ] SFIO Instituteur et directeur d'ecole
Decede en fonction
1956 mars 1965 [ 58 ] Jean-Charles Privet SFIO
puis SE [ 59 ]
Mecanicien EDF
Depute de la Seine (1958 → 1962)
mars 1965 [ 60 ] aout 1967 Rene Desjames [ 61 ] SFIO Cadre GDF retraite, syndicaliste
Demissionnaire
octobre 1967 juin 1995 Gilbert Bonnemaison [ Note 3 ] SFIO
puis PS
Dessinateur industriel
Depute de la Seine-Saint-Denis ( 1 re  circ. ) (1981 → 1993)
Conseiller general d'Epinay-sur-Seine (1973 → 1988)
Conseiller regional d'Ile-de-France (1976 → 1983)
juin 1995 mars 2001 [ 62 ] Bruno Le Roux PS Consultant
Depute de la Seine-Saint-Denis ( 1 re  circ. ) (1997 → 2017)
Conseiller general d'Epinay-sur-Seine (1992 → 1997)
mars 2001 En cours
(au 2 septembre 2023)
Herve Chevreau UDF
puis MoDem
puis UDI puis
Centriste [ 44 ]
Chef d'entreprise
Conseiller general d'Epinay-sur-Seine (2011 → 2015)
Conseiller departemental de Saint-Ouen-sur-Seine (2015 → 2021)
Vice-president de Plaine Commune (2001 → )
Reelu pour le mandat 2020-2026 [ 63 ]

Jumelages [ modifier | modifier le code ]

En 2020, Epinay-sur-Seine indique etre jumelee avec [ 64 ]  :

Dans le cadre de la cooperation decentralisee, la ville d’Epinay-sur-Seine est en lien avec deux villes du Proche-Orient : Ramallah en Palestine et Mevasseret Tsion en Israel , ainsi qu'avec Tichy , en Algerie [ 65 ] .

Equipements et services publics [ modifier | modifier le code ]

Enseignement [ modifier | modifier le code ]

Deux lycees sont presents a Epinay :

  • le lycee d'enseignement general Jacques-Feyder , qui comprend 4 classes preparatoires aux etudes superieures, des classes de BTS et un partenariat avec Sciences Po .
  • le lycee professionnel et technique Louise-Michel ainsi que 4 colleges, 16 ecoles primaires et 14 ecoles maternelles [ 66 ] .

Equipements culturels [ modifier | modifier le code ]

La ville dispose de l' Espace lumiere (salle de spectacle de 650 places ), de la Maison du theatre et de la danse , d'un conservatoire de musique et de danse, du Pole musical d'Orgemont , ainsi que d'un multiplexe a l'enseigne CGR.

Trois mediatheques du reseau de lecture publique de Plaine Commune desservent la ville : la mediatheque Jules Valles, la mediatheque Colette et la mediatheque Albert Camus.

La ville abrite notamment le centre departemental d'archeologie de la Seine-Saint-Denis [ 67 ] .

Population et societe [ modifier | modifier le code ]

Demographie [ modifier | modifier le code ]

Evolution demographique [ modifier | modifier le code ]

L'evolution du nombre d'habitants est connue a travers les recensements de la population effectues dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annee a la suite d'une enquete par sondage aupres d'un echantillon d'adresses representant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement reel tous les cinq ans [ 68 ] , [ Note 4 ] .

En 2021, la commune comptait 53 489 habitants [ Note 5 ] , en diminution de 2,46 % par rapport a 2015 ( Seine-Saint-Denis  : +4,77 %, France hors Mayotte  : +1,84 %).

Evolution de la population   [  modifier  ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
851 745 805 756 866 1 069 1 119 1 176 1 038
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 238 1 290 1 584 1 526 1 698 2 307 2 362 2 591 2 860
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 438 4 222 5 912 8 912 11 475 14 505 15 889 16 269 17 611
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
34 167 41 774 46 578 50 314 48 762 46 409 51 598 54 540 55 593
2021 - - - - - - - -
53 489 - - - - - - - -
De 1962 a 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale .
(Sources : Ldh/ EHESS /Cassini jusqu'en 1999 [ 40 ] puis Insee a partir de 2006 [ 69 ] .)
Histogramme de l'evolution demographique

Immigration [ modifier | modifier le code ]

La ville fut marque par une forte presence d'immigration comme de nombreuses autres banlieues en Ile-de-France, surtout depuis les annees 1960 et 1970 avec la construction des grands ensembles, notamment par l'arrivee de populations originaires du Maghreb, puis plus recemment d'Afrique subsaharienne.

En 1999, 56,5 % des jeunes de moins de 18 ans etaient d' origine etrangere (au moins un parent immigre) et en 2005, les jeunes d’origine maghrebine , subsaharienne ou turque sont devenus majoritaires dans la commune [ 70 ] , [ 71 ] .

Cultes [ modifier | modifier le code ]

Catholicisme

La commune comprend plusieurs lieux de cultes catholiques :

Islam

La Mosquee Al-Arkam , situee Rue de Presles et fondee en 1986.

Economie [ modifier | modifier le code ]

Epinay est une commune principalement consacree au logement, mais comprend neanmoins un tissu economique significatif, avec ses 7 695 salaries [ 72 ] et 695 entreprises [ 35 ] .

On peut signaler certaines entreprises, telles que Naf Naf - Chevignon ( 300 emplois [ 35 ] ), la chimie (Seratec), le commerce international (Metalarc), l’ingenierie industrielle (Siderurgie Forges et Fonderies), l’alimentation (Gelati Marsala), le service (Star’s service), la Polyclinique des Presles… A noter qu'une ancienne carte postale attribue a tort a Epinay les gazometres de l'usine a gaz de Gennevilliers/Villeneuve-la-Garenne.

Toutefois, les entreprises de moins de cinq salaries sont majoritaires et on a connu une diminution de pres de 9 % du nombre d'etablissements au cours de la derniere decennie

La principale zone d'activite est situee en bordure de Saint-Denis avec une zone plus ancienne route de Saint-Leu ( RN 328 ), en limite de Villetaneuse . La creation d'une zone de bureaux a Epinay a ete tentee sous les precedentes municipalites (zone Epinay-Integral), mais s'est soldee par un echec.

La commune compte une zone franche urbaine (ZFU) dans le quartier d'Orgemont [ 35 ] .

Culture locale et patrimoine [ modifier | modifier le code ]

Lieux et monuments [ modifier | modifier le code ]

Hotel de ville [ modifier | modifier le code ]

L' Hotel-de-Ville occupe depuis le l'ancien hotel seigneurial du fief d' Ormesson . Depuis la disparition du chateau de la Briche en 1870 , c'est le seul survivant des anciens chateaux d'Epinay. L'existence d'une demeure a cet emplacement est mentionnee des 1306  ; les seigneurs du village y resident alors. Reconstruit en 1760 par le marquis du Terrail, fils d'un riche financier, en forme de ≪ T ≫ qui rappelle son nom, c'est une elegante construction caracteristique du XVIII e  siecle . Les fenetres de l'aile ouest sont ornees de mascarons sur les clefs de voute representant les quatre continents. D'importants travaux ont ete realises par l' architecte Bouwens de 1881 a 1889 (dont adjonction de marquises).

Apres la mort du roi-consort d'Espagne Francois d'Assise de Bourbon , qui l'avait acquis en 1881, le chateau et son parc sont achetes en 1906 par le maire de l'epoque Georges Thibout a titre personnel pour la somme de 210 000 francs. Il revend le chateau et la moitie du terrain (un hectare) a la commune pour la somme de 50 000 francs, et donne les communs du chateau a la commune pour y faire une ecole maternelle publique [ 73 ] . La commune installe la mairie dans le chateau (decor de la salle du conseil de 1911 [ 74 ] , anterieurement implantee dans une petite maison de deux etages situee pres de l'eglise Saint-Medard, rue de Paris [ 75 ] . La maison du concierge fut mise a disposition des anciens combattants d'Epinay par Georges Thibout et, apres la Seconde Guerre mondiale , donnee a la commune pour agrandir le parc de la mairie. C'est la Maison des combattants actuelle [ 76 ] .

Eglise Notre-Dame des Missions [ modifier | modifier le code ]

Ceremonie a Notre-Dame des Missions.
Eglise Saint-Medard.

L' eglise Notre-Dame-des-Missions [ 77 ] , situee au 102, avenue Joffre , etait la chapelle des missions catholiques, edifiee par l'architecte de l'archeveche Paul Tournon , presentee a l' exposition coloniale de 1931 au bois de Vincennes  : ≪ a la gloire de la conquete missionnaire de l'eglise catholique a travers les pays et les siecles ≫ .

Elle presente une etonnante diversite de styles, avec une facade mi- annamite , mi - Art deco . En 1932 , a la suite d'une souscription nationale lancee par le marechal Lyautey, le pavillon est reconstruit en beton arme (le pavillon d'origine etant en materiaux legers) a Epinay. Pour la facade, le maitre-verrier Marguerite Hure utilise un nouveau procede, la brique Hure , brevete en 1930 . Les vitraux, peintures et sculptures sont realises par des artistes des Ateliers d'Art sacre (fondes en 1919 par les peintres Maurice Denis et George Desvallieres ) sous la direction d' Henri de Maistre [ 74 ] .

Eglise Saint-Medard [ modifier | modifier le code ]

L' eglise Saint-Medard , edifiee en 1743 par le duc de Bourbon, prince de Conde et en partie detruite pendant la Guerre franco-prussienne de 1870 , lors du Combat d'Epinay.

Berges de Seine [ modifier | modifier le code ]

Les berges de Seine.
Acces au parc Lihou.

Les berges de Seine sont en cours de reconquete paysagere et environnementale. En 2008, 2,3  km sont ainsi accessibles au public apres leur requalification par le conseil general entre le port de Saint-Denis et Epinay, comprenant une consolidation des berges erodees. Ces amenagements, menes depuis une dizaine d'annees, ont valu a la municipalite de recevoir en 2008 le label villes Seine avec 3 ≪ canards ≫ (sur quatre possibles) de l'association La Seine en partage .

La creation d'une passerelle pour permettre aux pietons de rejoindre le parc departemental de l'Ile-Saint-Denis est envisagee [ 78 ] .

Usine Mokarex [ modifier | modifier le code ]

Bien que l'usine de cafe Mokarex soit fermee et desaffectee, ses vestiges sont encore visible au 101, avenue Jean-Jaures.

Autres [ modifier | modifier le code ]

Epinay-sur-Seine dans les arts et la culture [ modifier | modifier le code ]

Outre le role notable des Studios et laboratoires Eclair pour l'histoire du cinema en France, Epinay a ete le sujet de nombreux artistes.

Plusieurs films ont eu des sequences tournees a Epinay, parmi lesquels Leon Morin, pretre , de Jean-Pierre Melville avec Jean-Paul Belmondo , Le Mouton , de Pierre Chevalier avec Fernand Raynaud et Le Plus Beau Metier du monde de Gerard Lauzier avec Gerard Depardieu . Les deux premiers montrent la pittoresque eglise avec son arche ronde marquee DOMUS DEI (la maison du Seigneur). Egalement une courte scene du film Gas-Oil , de Gilles Grangier avec Jean Gabin et Jeanne Moreau , fut tournee rue de Paris et une autre dans le cimetiere.

Personnalites liees a la commune [ modifier | modifier le code ]

L'avion de Vedrines apres son crash.

Heraldique [ modifier | modifier le code ]

Blason de Épinay-sur-Seine Blason
Coupe : au premier d'or a la croix de gueules cantonnee de seize alerions d'azur ordonnes 2 et 2, au second d'argent au pin arrache de sinople accoste de deux etoiles de six rais de gueules [ 81 ] .
Details
Le statut officiel du blason reste a determiner.

Pour approfondir [ modifier | modifier le code ]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

  • Epinay-sur-Seine : notice historique et renseignements administratifs , Paris, Impr. de l'ecole d'Alembert (Montevrain), coll.  ≪ Etat des communes du departement de la Seine a la fin du XIX e  siecle ≫, , 71  p. ( lire en ligne )
  • Andre Clipet, Epinay-sur-Seine. Son histoire. De l'origine jusqu'a notre epoque avec ceux qui l'ont aime ou hai dans ses bons et ses mauvais jours. , Epinay-sur-Seine, Maison d'edition propre, , 350  p.
  • Jacques Delattre, Histoire d'Epinay par le Document. Preface de Georges Poisson, conservateur au Musee de l'Ile de France , Epinay-sur-Seine, 1er trimestre 1963 ( reimpr.  Entre Jeunes, 13, rue Lacepede, Epinay-sur-Seine, No Editeur 25 793), 62  p.
  • Roger Mansuy, Epinay-sur-Seine. Ma Ville , Epinay-sur-Seine, Editions Ipanema, Michel Duplessier. Pour le compte de la ville d'Epinay-sur-Seine, ( reimpr.  la Ville d'Epinay-sur-Seine), 232  p. ( ISBN   978-2-36478-006-4 )
  • Le patrimoine des Communes de la Seine-saint-Denis , Flohic editions, 1994, ( ISBN   2-908958-77-5 )
  • Fernand Bournon  : Notice historique et renseignements administratifs d'Epinay

Articles connexes [ modifier | modifier le code ]

Liens externes [ modifier | modifier le code ]

Notes et references [ modifier | modifier le code ]

Notes [ modifier | modifier le code ]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publie en novembre 2020, en application de la nouvelle definition de la ruralite validee le en comite interministeriel des ruralites.
  2. La notion d' aire d'attraction des villes a remplace, en , celle d' aire urbaine afin de permettre des comparaisons coherentes avec les autres pays de l' Union europeenne .
  3. Une station de la ligne de tramway T8 porte le nom de ce maire.
  4. Par convention dans Wikipedia, le principe a ete retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations legales posterieures a 1999, que les populations correspondant a une enquete exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annees 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniere population legale publiee par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  5. Population municipale legale en vigueur au 1 er  janvier 2024, millesimee 2021, definie dans les limites territoriales en vigueur au 1 er  janvier 2023, date de reference statistique : 1 er  janvier 2021.

References [ modifier | modifier le code ]

Site de l'Insee [ modifier | modifier le code ]

Autres sources [ modifier | modifier le code ]

  1. Les cartographies du Val-d'Oise le denomment Ru des Haras, alors qu'en Seine-Saint-Denis , il est appele Ru d'Arra
  2. SANDRE - Cours d'eau : ru d'Enghien
  3. SANDRE - Cours d'eau : ru des haras
  4. ≪  Son cri d'alerte sur l'etat du ru des Haras / La Gazette du Val d'Oise  ≫, sur actu.fr , (consulte le ) .
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Herve Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, ≪  Les types de climats en France, une construction spatiale  ≫, Cybergeo, revue europeenne de geographie - European Journal of Geography , n o  501,‎ ( DOI   10.4000/cybergeo.23155 , lire en ligne , consulte le )
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  16. Vianney Costemalle, ≪  Toujours plus d’habitants dans les unites urbaines  ≫, sur Institut national de la statistique et des etudes economiques , (consulte le ) .
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  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pegaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), ≪  En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville  ≫, sur Institut national de la statistique et des etudes economiques , (consulte le ) .
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  33. Source :Jean Robert, les depots de tramways a Paris, dossier dans la revue Chemins de fer regionaux et urbains n o  117 (1973), edite par la FACS-UNECTO
  34. Source : Jean Robert, Les tramways parisiens , edition Jean Robert Paris 1992
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  36. Studios de ciema a Epinay-sur-Seine
  37. Realisation du flm La Kermesse heroique
  38. ≪  2 a 15 ans de prison ferme pour le meurtre d'Epinay  ≫, sur L'Obs (consulte le ) .
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  41. Decret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le perimetre, fixant le siege et designant le comptable public de la metropole du Grand Paris , sur Legifrance
  42. Decret n° 2015-1659 du 11 decembre 2015 relatif a la metropole du Grand Paris et fixant le perimetre de l'etablissement public territorial dont le siege est a Saint-Denis sur Legifrance .
  43. Resultats des elections municipales 2008 - 1 er  tour
    Votants 57,1 %
    Exprimes 55,9 %
    Liste Trigance ( PS ) - 32,8 % des exprimes - 7 elus
    Liste Tavares (Divers Gauche) - 6,9 % des exprimes - 1 siege
    Liste Herve Chevreau ( MoDem ) - 60,3 % des exprimes - 35 sieges
    Source Le Parisien
  44. a b et c Anthony Lieures, ≪  Municipales a Epinay : Herve Chevreau, le centriste, vise un quatrieme mandat : Depuis 2001, le centriste Herve Chevreau enchaine les reelections des le 1 er  tour. Il compte ≪poursuivre le travail≫, avec notamment la renovation attendue du quartier Orgemont. Il fera face a trois listes, dont l’une menee par un ancien adjoint LREM  ≫, Le Parisien , edition de Seine-Saint-Denis ,‎ ( lire en ligne , consulte le ) ≪ C'est l'histoire d'une ville qui vote a gauche sur la plupart des scrutins nationaux (Jean-Luc Melenchon y est arrive en tete au 1 er tour de la presidentielle de 2017, avec 36,3 % des voix, NDLR), mais qui s'est choisi un maire venu de la droite, en 2001, et qui semble ne plus vouloir en changer. (…) Le centriste, qui a range definitivement ses anciennes etiquettes (UDF, Modem), s'appuie d'abord sur son bilan ≫ .
  45. Resultats officiels pour la commune Epinay-sur-Seine
  46. ≪  Resultats par commune. Seine-Saint-Denis (93) - Epinay-sur-Seine  ≫, sur interieur.gouv.fr , (consulte le ) .
  47. Liste des maires de Epinay-sur-Seine sur www.francegenweb.org
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  49. [PDF] Du XVIIe au XXIe siecle, histoire d’une belle maison, p. 29
  50. ≪  Gorges Thibout (1878 - 1951  ≫, sur Sycomore , base de donnees des deputes de l' Assemblee nationale .
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  52. a et b ≪  Joanny Berlioz dit Berlioz-Benier (1892 - 1965)  ≫, sur Sycomore , base de donnees des deputes de l' Assemblee nationale .
  53. a et b Claude Pennetier , ≪  BERLIOZ-BENIER Johanny, dit BERLIOZ Joanny (version Dictionnaire du Komintern) : Ne le 7 juillet 1892 a Saint-Priest (Isere), mort le 18 mars 1965 a l’hopital Broussais (Paris) ; professeur de langues vivantes (anglais, allemand) dans les ecoles primaires superieures et les ecoles normales ; journaliste ; membre du comite central de1925 a 1959 ; secretaire du Bureau latin d’information de l’Internationale syndicalerouge (ISR)  ≫, Le Maitron en ligne , (consulte le ) .
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  55. a et b ≪  Maires des communes suburbaines de la Seine  ≫, Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris , n o  131,‎ , p.  391 ( lire en ligne , consulte le ) , lire en ligne sur Gallica .
  56. Notice JULLIEN Antoine par Claude Pennetier, version mise en ligne le 24 novembre 2010, derniere modification le 8 octobre 2012
  57. Notice MARTIN Georges, Louis par Jacques Girault, version mise en ligne le 3 mai 2012, derniere modification le 3 mai 2012
  58. Jacqueline Sainclivier et Olivier Dard, Les partis et la Republique : La recomposition du systeme partisan, 1956-1967 : Oui, c'est vous qui elirez le President de la Republique , Rennes, Presses universitaires de Rennes , , 325  p. ( ISBN   978-2-7535-3024-9 et 2-7535-3024-6 , lire en ligne ) , p.  19-21 ≪ En octobre 1964, dans la perspective des municipales, la federation socialiste de la Seine engage des negociations avec les communistes. Fin novembre, le conseil national de la SFIO decide d'approuver ≪ la constitution de listes de coalition avec les democrates de gauche partout ou cela serait absolument necessaire pour battre l'UNR ≫ et d'admettre ≪ des ententes avec des communistes ou avec des republicains qui, bien qu'eloignes du socialisme, sont opposes sans equivoque au regime actuel ≫. Les negociations sont difficiles, compte tenu des de la disproportion des forces dans la Seine. Le 7 janvier 1965, communistes et socialistes annoncent qu'ils presenteront des listes communes, justifiant leur position par la nouvelle loi electorale : ≪ Le gouvernement a voulu empecher l'union des forces republicaines en interdisant la constitution de coalitions entre les deux tours de scrutin ≫. Ainsi, pour la premiere fois depuis la guerre froide, un accord de type ≪ Front populaire ≫ ? qui sera etendu aux radicaux de gauche et au PSU ? est conclu dans l'ensemble d'un departement. Pourtant, si des listes d'≪ union democratique ≫ sont presentes dans l'ensemble eds quatorze secteurs parisiens, la situation est plus confuses en banlieue, notamment du refus de certains maires socialistes. (...) La victoire du ≪ Front populaire ≫ est acquise ainsi a Alfortville au detriment de Raoul Bleuse, ex-PSU, qui s'etait allie au MRP, a Epinay-sur-Seine au detriment du maire sortant Privet qui, refusant l'alliance avec les communistes, s'etait represente contre son adjoint socialiste, Desjames qui conduisait la liste d'Union democratique. ≫ .
  59. ≪  La federation S.F.I.O. de la Seine exclut M. J.C. Privet maire d'Epinay  ≫, Le Monde ,‎ ( lire en ligne ) .
  60. ≪  Profession de foi de la liste d’Union democratique conduite par Rene Desjames et Fernand Belino, 21 mars 1965  ≫, Musee de la Resistance 1940-1945 (consulte le ) .
  61. ≪  DESJAMES Rene  ≫, Le Maitron en ligne , (consulte le ) .
  62. Ariane Chemin, ≪  Les Verts conquierent leur espace au sein de la gauche plurielle : Il n'a qu'un souvenir diffus d'un tres ancien chagrin d'amour, mais ≪ ca doit ressembler a quelque chose comme ca ≫, dit Bruno Le Roux. Son desespoir tourne autour des memes symptomes de ≪ vide ≫. Un regard approximatif, un sourire tardif et indefini. Une insomnie tenace pendant pres d'une semaine, ces scenes qui repassent ≪ au moment ou vous allez fermer l’œil ≫.  ≫, Le Monde ,‎ ( lire en ligne ) .
  63. ≪  Extrait du registre des deliberations du conseil municipal - seance du 28 mai 2020  ≫ [PDF] , Publications , sur epinay-sur-seine.fr (consulte le ) .
  64. ≪  Les villes jumelles  ≫, Epinay a l’international , sur epinay-sur-seine.fr (consulte le ) .
  65. ≪  Les cooperations  ≫, Epinay a l’international , sur epinay-sur-seine.fr (consulte le ) .
  66. Portail des ecoles d'Epinay-sur-Seine - Epinay-sur-Web
  67. Cet equipement n'est pas ouvert au public.
  68. L'organisation du recensement , sur insee.fr .
  69. Fiches Insee - Populations legales de la commune pour les annees 2006 , 2007 , 2008 , 2009 , 2010 , 2011 , 2012 , 2013 , 2014 , 2015 , 2016 , 2017 , 2018 , 2019 , 2020 et 2021 .
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  73. Bulletin municipal d'Epinay-sur-Seine n o  72 de fevrier 2008. p.  30
  74. a et b ≪  Hotel de ville  ≫, notice n o  PA00079933 .
  75. Service des Beaux-Arts du Departement de la Seine, Inventaire general des œuvres d'art decorant les edifices du departement de la Seine , vol.  1 : Arrondissement de Saint-Denis , Chaix et Cie, .
  76. Memoires et Conseils du Docteur Georges Thibout (non publie)
  77. ≪  Eglise Notre-Dame-des-Missions  ≫, notice n o  PA00079970 .
  78. Eric Bureau, ≪  Les nouvelles berges de Seine plaisent aux promeneurs  ≫, Le Parisien edition Seine-Saint-Denis ,‎ .
  79. Notice n o  PA00079934 .
  80. ≪  Sur le sentier du Grand Paris (6/6) : D’Epinay a Enghien, gratte-ciel, jardin en friche et casino  ≫, Le Monde.fr ,‎ ( lire en ligne , consulte le )
  81. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f93031